R.O.C. 06
27Mai/11Off

Décroissance versus développement durable [Yves-Marie Abraham, Louis Marion et Hervé Philippe]

Le modèle de société issu de la Révolution industrielle, fondé sur le dogme de la croissance économique infinie, s’essouffle. La course effrénée à la production de richesses matérielles, censée satisfaire toujours plus de besoins, entraîne une dégradation de la biosphère très préoccupante pour la survie des générations futures, sans pour autant garantir des conditions de vie décentes aux générations actuelles.

Les auteurs de cet ouvrage collectif, issus d’horizons très variés, se demandent comment nous en sommes arrivés là et ce qu’il convient de faire « pour la suite du monde ». S’ils partagent un même souci d’agir avant qu’il ne soit trop tard, ils ne s’accordent pas en revanche sur les moyens à mettre en oeuvre. Le salut passe-t-il, comme le proposent les partisans d’un « développement durable », par un effort de conciliation entre respect de l’environnement, croissance économique et progrès social ? Ou bien doit-on absolument rompre avec l’impératif de la croissance et remettre en question des institutions telles que l’entreprise, l’innovation technologique, le salariat et même la recherche scientifique, comme le soutiennent les promoteurs d’une « décroissance soutenable » ?

« Toute croissance exponentielle, quel que soit le taux de l’exposant, est invivable à long terme, et le long terme n’est jamais si long que cela… », écrit Michel Freitag. Et s’il fallait, comme le suggère Yves-Marie Abraham, dépasser cette perspective dualiste en allant jusqu’à repenser notre idée même de Nature et réinventer une nouvelle cosmologie ?

27Mai/11Off

Objecteurs de croissance, Pour sortir de l’impasse : la décroissance [Serge Mongeau]

Les objecteurs de croissance refusent de se laisser enrôler dans une machine économique vouée à une quête incessante de croissance, rentabilité, productivité. Aujourd’hui, nous ne pouvons plus nier qu’une croissance infinie, objectif de tous nos gouvernements, est impossible sur une planète aux ressources limitées. Si les impacts environnementaux de l’activité humaine sont maintenant reconnus, la population mondiale continue pourtant de produire et de consommer comme si nous disposions d’une planète et demie.

À cette crise écologique s’ajoute une kyrielle de crises. Une crise sociale exacerbée par un modèle néolibéral générateur d’inégalités croissantes entre les riches et les pauvres ; une crise culturelle, qui renvoie à une perte de sens, de repères et de valeurs au sein de sociétés privilégiant le consumérisme à tout crin. Enfin, conséquence directe des trois précédentes, la crise démocratique se manifeste par un désintérêt inquiétant des citoyens pour le politique conjugué à une perte de confiance envers les politiciens.

Le concept de décroissance dénonce ces crises écologiques, sociales, économiques et démocratiques que nous vivons actuellement tout en étant porteur d’un projet de société solidaire et démocratique. Les auteurEs d’Objecteurs de croissance dressent un état des lieux du concept de décroissance afin de « décoloniser les imaginaires ». Chaque auteurE s’attaque, dans son domaine, à déconstruire les mythes tenaces de la croissance et propose une voie alternative via le concept de décroissance : rompre avec le consensuel mais peu efficace concept de développement durable, tordre le cou à la théorie économique de la rareté, établir une continuité avec la simplicité volontaire. À ces thèmes s’ajoutent des questions plus pragmatiques telles que comment appliquer l’idée de décroissance à l’agriculture, la santé, la représentation politique ?

Autant de sujets abordés dans ce petit essai qui, en 144 pages, questionne en profondeur la validité de la croissance économique et nous offre de véritables pistes de réflexions pour construire une société viable et conviviale.

Sous la direction de Serge Mongeau, auteur de plus de 25 livres, dont La simplicité volontaire, plus que jamais..., Moi, ma santé, L’écosophie ou la sagesse de la nature (Écosociété). Avec Yves-Marie Abraham, professeur à HEC Montréal; Jean-Claude Besson-Girard, directeur d’Entropia, Revue d’étude théorique et politique de la décroissance et auteur de Decrescendo cantabile, petit manuel pour une décroissance harmonique (Parangon); Jean-Marc Fontan, chercheur en économie sociale; Anna Kruzynski, militante féministe et libertaire, professeure à l’École des affaires publiques et communautaires de l’Université Concordia; Lucie Sauvé est titulaire de la Chaire de recherche du Canada en éducation relative à l’environnement de l’UQAM et co-auteure de Porcheries ! (Écosociété); Marcel Sévigny, libertaire, écologiste et auteur de Trente ans de politique municipale (Écosociété); Marco Silvestro, sociologue, et membre du Collectif d’étude sur les pratiques solidaire, a participé à la rédaction de La consommation responsable. Entre bonne conscience individuelle et transformations collectives (Écosociété); et Daniela Stan, membre du Réseau québécois pour la simplicité volontaire.

27Mai/11Off

« Los Indignados ! »

Traduction française des propositions de l’Assemblée réunie place de Catalogne (Catalunya) à Barcelone.

"Los Indignados !" Le mouvement du 15 mai en Espagne continue par l’occupation permanente de l’espace public.

À Barcelone, en rassemblant le savoir et les apports de centaines de personnes, nous avons rédigé collectivement plusieurs documents de travail au sujet des différents niveaux sur lesquels nous allons agir pour obtenir le changement. Tous ces documents sont ouverts aux modifications et améliorations constantes.

Le texte qui suit n’est que l’un de ceux-là.

Nous sommes en train de changer le monde. Complètement.

Pendant ce temps, les politiques qui ne nous représentent pas sont toujours là, changeant sans cesse d’avis et légiférant sur nos vies.

C’est pourquoi nous leur écrivons ici quelques mesures qu’ils peuvent facilement comprendre, et que nous voulons voir appliquées immédiatement.

Attention ! Ce programme est minimal. En réalité ce que nous voulons est beaucoup plus grand, quelque chose qu’ils ne comprendront possiblement jamais. Ce texte sera présenté aux maires élus demain - 22 mai - et à leurs conseillers municipaux.

Nous leur demanderons point par point d’appliquer ce qui suit, en commençant par le point 1.

1 – ABOLITION DES PRIVILEGES DES HOMMES ET FEMMES POLITIQUES, A COMMENCER PAR BARCELONE :

- Une coupe drastique dans les revenus des hommes et des femmes politiques, les ajustant au revenu moyen de la population.
- La suppression des privilèges concernant les impôts, les indemnités, les années de cotisation et les retraites (rien qu’à Barcelone l’économie serait au minimum d’un demi-million d’euros par mois.)
- Le plafonnement des retraites sur la base de la pension maximale établie pour les autres citoyens et citoyennes.
- La suppression de l’immunité juridique et de la prescription pour les cas de corruption. La révocation des hommes et femmes politiques corrompu-e-s.

2 – ABOLITION DES PRIVILEGES DES BANQUIERS ET BANQUIERES :

- La prohibition de tout type de sauvetage ou d’injection de capital dans les entités bancaires et les caisses d’épargne : ces entités, en difficulté, doivent faire faillite ou être nationalisées pour constituer une banque publique sous contrôle social.
- La restitution transparente et immédiate aux coffres publics, de la part des banques, de tout le capital public apporté.
- La régulation des mouvements spéculatifs et des sanctions envers les mauvaises pratiques bancaires. La prohibition des placements dans les paradis fiscaux.
- Que tous les logements acquis via des opérations hypothécaires abritent sous un régime de loyer social les familles expulsées.

3 – ABOLITION DES PRIVILEGES DES GRANDES FORTUNES :

[Il suffirait d’appliquer la coupe de 5% des revenus, qui fut appliquée aux fonctionnaires, aux 50 plus grandes fortunes et le problème de déficit de l’Etat espagnol serait résolu.]
- L’augmentation du taux d’imposition des grandes fortunes et entités bancaires, l’élimination des SICAV.
- Non à l’élimination des droits de succession. Pour le retour de l’impôt sur le patrimoine.
- Le contrôle réel et effectif de la fraude fiscale et de la fuite de capitaux vers les paradis fiscaux.
- La promotion au niveau international de l’adoption d’une taxe des transactions financières (taxe Tobin.)
De par l’application de ces 3 points on obtient le budget pour les quatre suivants. Parce que l’argent ne manque pas, il est évident qu’il existe des moyens.

4 – REVENUS DIGNES ET QUALITE DE VIE POUR TOUT LE MONDE :

- L’économie au service des personnes et non le contraire.
- L’établissement d’un salaire maximum tout comme il existe un salaire minimum.
- La réduction de temps de travail quotidien, de façon que tout le monde puisse profiter, prendre le temps de penser et concilier sa vie personnelle avec la vie professionnelle, sans réduction de revenu.
- Le retrait de la réforme des retraites.
- La sécurité de l’emploi : l’impossibilité d’effectuer des licenciements économiques dans les grandes entreprises réalisant des bénéfices ; le contrôle financier des grandes entreprises pour s’assurer qu’elles n’embauchent pas en CDD lorsqu’elles pourraient le faire en CDI.
- La reconnaissance du travail domestique, reproductif et de soins.

5 - DROIT AU LOGEMENT :

- L’expropriation des logements inoccupés n’ayant pas été vendus pour augmenter le parc public de logements en régime de loyer social.
- La déclaration que les villes sont libérées des expulsions de locataires et de squatteurs.
- La pénalisation du mobbing.
- La dation en paiement des logements pour annuler les hypothèques, de manière rétroactive depuis le début de la crise.
- La prohibition de la spéculation immobilière.

LES POINTS SUIVANTS RESTENT A DISCUTER EN ASSEMBLEE :

6 – SERVICES PUBLICS DE QUALITE :

- Le retrait des propositions de coupes budgétaires du Gouvernement de la Généralitat.
- Le rétablissement des services de santé et d’éducation qui ont subi les coupes budgétaires.
- L’engagement du personnel sanitaire jusqu’à la fin des listes d’attente.
- L’engagement de la profession enseignante pour garantir le ratio d’élèves par salle, les groupes dédoublés et les groupes de soutien.
- La garantie réelle de l’égalité des chances pour l’accès à tous les niveaux d’éducation, indépendamment de l’origine sociale. Enseignement laïc.
- Le financement public de la recherche afin de garantir son indépendance.
- Des transports publics de qualité et écologiquement soutenables.
- Des services publics et gratuits de soins à l’enfance et aux personnes nécessitant de soins particuliers.
- La prohibition de la privatisation des services publics.

7 – LIBERTES ET DEMOCRATIE PARTICIPATIVE :

- Non au contrôle d’Internet. Abolition de la loi Sinde. Non à ACTA.
- La protection de la liberté d’information et du journalisme d’investigation ainsi que de son indépendance.
L’élimination des obstacles légaux entravant le droit d’émission des médias communautaires libres et à but non lucratif. L’élimination des monopoles de fait des espaces radio.
- L’utilisation de logiciels libres dans les institutions publiques afin de les adapter à l’ère digitale, à coûts soutenables.
- Le retrait de l’ordonnance sur le civisme ; le retrait de toute ordonnance qui limite les libertés de mouvement et d’expression.
- Des référendums obligatoires et inaliénables pour les questions de grande ampleur (dont les directives européennes.)
- L’élimination des rafles d’immigrés en situation irrégulière et le retrait de la loi relative au statut des étrangers. La fermeture des centres d’identification et d’expulsion (CIE) et le droit de vote pour les immigrés.
- Une modification de la loi électorale pour garantir un système authentiquement représentatif et proportionnel, qui ne discrimine aucune force politique ni volonté sociale – dans lequel le vote blanc et le vote nul trouvent également une forme de représentant et où l’abstention active puisse avoir son espace d’auto-organisation dans les quartiers.
- L’établissement de dispositifs effectifs qui garantissent la démocratie interne aux partis politiques, listes ouvertes, élection directe des conseillers municipaux et transparence sur le financement des partis.
- Budget participatif.
- Respect de la planète et de tous les êtres qui l’habitent. Consommation responsable.
- Défense du droit des peuples à décider de la gestion des ressources naturelles.
- La monarchie est un anachronisme qui ne nous représente pas et qui, de là-haut, ne paie pas d’impôts.

8 – REDUCTION DE LA DEPENSE MILITAIRE

Voici donc les revendications minimales et d’application immédiate. Demain, les autres.

Parce que les gens doivent pouvoir organiser leur vie en coopération et en liberté.

Traducción francesa de las propuestas del ACAMPADA BCN.

26Mai/11Off

La Ferme du collet

http://www.ouvertour.org/lieux-visites/ferme-numero-1

A La Penne, en plein cœur de la montagne de l'arrière pays niçois, la ferme du Collet expérimente l'autonomie vivrière et économique en agro-écologie et la vie en harmonie avec la nature. Depuis sept ans déjà, ses résidents y développent de nombreuses alternatives en s'appuyant sur le concept de la permaculture ou « culture du permanent ». Le partage de deux semaines de vie avec les familles présentes sur le lieu a été pour nous l'occasion de mieux appréhender les facettes de ce projet, nous enrichir de leur expérience et découvrir des pratiques écologiques originales.

Mais alors qui sont exactement les habitants de ce lieu collectif ?

A l'initiative du projet, deux couples et une retraitée dynamique aux histoires bien différentes :

La famille Arias:
Après 12 ans de vie en communauté itinérante à travers l'Europe, Diego et Françoise décident de rompre avec les complications liées à la vie à 80 et au déracinement permanent pour se mettre en quête d'un lieu ou s'installer et travailler la terre pour en vivre simplement. Après deux ans dans le Gers ils partent s'installer à la ferme du Collet avec leurs deux enfants (Aorinco et Nadiesca).
La famille Ollivier.
Ayant finit leurs études d'économie et d'architecture à Paris, Bertrand et Katia décident de quitter la ville et partent à la recherche d'un éco village dans un souci d'assurer à leurs enfants (Léon et Olga) une éducation la plus écologique possible. Ils s'installent un moment dans le hameau de Boussac, éco-hameau du Lot et Garonne, mais déçu de la baisse de dynamique collective du lieu, ils cherchent assez rapidement à créer leur propre lieu de vie.
Marie-Thérèse Desbuissons.
A bientôt 70 ans, Marie-Thérèse est la dernière venue à la ferme du Collet (2006). Après une vie d'agricultrice maraîchère dans le nord de la France et dix ans d'activité salariée sur la cote d'azur, elle souhaitait retrouver la terre et les valeurs qui y sont liées.

Quelles volontés et quelles valeurs les réunissent ?

Le désir premier de ces trois foyers est de se donner les moyens d'accéder au bonheur et à l'épanouissement par la satisfaction des seuls besoins fondamentaux, et ce, en harmonie avec la nature.

Pour atteindre cet objectif, s'associer avec d'autres familles dans un esprit de solidarité, d'entre-aide, d'échange et de construction mutuelle est pour chaque foyer un élément essentiel. Collectivement ils souhaitent réapprendre les multiples savoir-faire de l'auto-subsistance dans un esprit de simplicité volontaire et d'écologie pratique.

Au-delà d'un accomplissement personnel ce projet est pour chacun un acte politique de militantisme. Mettant directement en pratique leurs convictions écologiques, ils veulent démontrer la viabilité d'un retour rural par une économie paysanne pluri-active et innovante et promouvoir de nouveaux comportements et modes de vie.

Ils espèrent ainsi pouvoir contribuer à une progression de la société vers un équilibre entre la nature, la technique et les êtres vivants.

Suite de l'article : http://www.ouvertour.org/lieux-visites/ferme-numero-1

26Mai/11Off

La Toma de las Plazas Públicas. (La prise des places publiques)

Nous ne sommes pas des marchandises dans les mains des politiciens et des banquiers

Traduction d'un article écrit par Paco Puche paru sur "Decrecimiento" les décroissants en Espagne. "Nous nous excusons de la traduction approximative." Menos para vivir mejor (moins pour vivre mieux).

http://www.decrecimiento.info/2011/05/15-m-la-toma-de-las-plazas-publicas.html

Si le symbole d'autres révolutions ont été « les barricades »,celle-ci que nous jouons est la prise pacifique et ordonnée des places publiques et ses rues adjacentes. De plus, on dit, que celles-là déborde  de créativité sociale qui est résumé par toutes les parties, qu'immédiatement après leurs prise elles produisent sa recréation : rapidement la place publiques cessent d'être des lieux de siège, de paiement et d'exposition du pouvoir (dont on délogeait les jeunes et anciens chômeurs et pensionnés, passants et vagabonds), pour reprendre son utilisation publique, collective et non-discriminée ce pourquoi elles étaient destinées.

La place dans les villages et les villes représente l'espace de ce qui est commun par excellence : le lieu du secteur politique et par conséquent de la démocratie, du gouvernement du peuple, de tous, comme le terme ne peut pas cesser de signifier.

Devoir ajouter « réel » n'est qu'un kidnapping d'un terme de plus (comme liberté, ou aptitude à soutenir des opérations prolongées, par exemple) par les pouvoirs politiques et économiques que nous rejetons et que nous nous voyons obligés de nuancer.

Démocratie sans plus. Ce nom implique déjà d'y participé, d'être directe et authentique. L'autre est oligarchie, ploutocratie, partitocratie  ou merchancratie, dans lequel « demo »est absent. Si le capitalisme a été possible (et il l'est encore) par la dépossession des biens communs, la démocratie sera possible par le sauvetage et l'autogestion de de ces derniers. Le premier bien commun est l'espace public réflexion et rencontre : la rue et la place. C'est pourquoi cette révolution de printemps est accompagnée d'air frais, d'air libre. Il est aéré dans l'intempérie. La rue a cessé d'être à Fraga (Fraga Iribarne quand il disait « la rue est mienne »,lors de son investiture au Ministère de l'Intérieur) et il est maintenant au peuple. On a entendu dire dans une de ces places il y a quelques jours : « l'Assemblée Électorale Centrale a décidé que nous ne pouvions pas camper sur les places le jour de réflexion, le peuple a décidé que l'Assemblée Électorale Centrale ne nous représente pas ». Acte de souveraineté par excellence, de pouvoir constitutif qui est solennellement proclamé dans les lieux publics. On a aussi dit que ce n'est pas d'une représentation  que nous ne voulions pas (quelqu'un devra l'avoir), mais de QUI nous représente. Il ne faut pas ajouter plus, ou est qu'il s'agit de celui-là « envoyer en obéissant » comme ils proclament ce qui est zapatistas. ET nous voulons beaucoup de démocratie directe, depuis l'entreprise à la mairie, depuis les associations au Parlement ; dans tout groupe humain qui doit résoudre des affaires en commun, qui sont presque tous. Comme il commence à se profiler dans les propositions qui apparaissent des places publiques de tout le pays depuis le 15 Mai Si ceci est ainsi, maintenir les places et les rues pour les gens - n'arrête pas les voitures, ni les affaires, ni les défilés militaires sera le signal évident que la révolution récemment étrennée marche sur un bon chemin.

Salutations fraternelles. Sur la place nous nous verrons.

Si le symbole d'autres révolutions ont été « les barricades », celui de de celle-ci celui que nous jouons est la prise pacifique et ordonnée des places publiques et ses rues adjacentes. De plus, on dit, dans celui-là débordée créativité sociale qui rezuma par toutes parties, qu'immédiatement après celui-là « prise » il est produit sa récréation : rapide de la place publiques ils cessent d'être celles-là les lieux siège et paiement et d'exposition du pouvoir (dont on délogeait à enfants et à personnes, chômeurs et pensionnés, paseantes et à vagabonds), pour reprendre son utilisation publique, collective et non-discriminée ce pourquoi elles étaient destinées. La place dans les peuples et les villes représente l'espace de de ce qui est commun par excellence : le lieu de du secteur politique et par conséquent de la démocratie, du gouvernement du peuple, de de tous, comme le terme ne peut pas cesser de signifier. Devoir ajouter « réel » n'est qu'un kidnapping d'un terme de plus (comme liberté, ou aptitude à soutenir des opérations prolongées, par exemple) par les pouvoirs politiques et économiques que nous rejetons et que nous nous voyons obligés de nuancer. Démocratie sans plus. Ce nom implique déjà ce qui est de de participante, de directe et authentique. L'autre est oligocracia, plutocracia, partitocracia ou mercadocracia, dans lequel « demo » il est absent. Si le capitalisme a été possible (et l'il est encore) par la desposesión des biens communs, la démocratie sera possible par le sauvetage et l'autogestion de de ces derniers. Le premier bien commun est l'espace public réflexion et rencontre : la rue et la place. C'est pourquoi cette révolution de printemps est accompagnée d'air frais, d'air libre. Il est aéré dans l'intempérie. La rue a cessé d'être de Framboisier (rappellent-ils à Framboisier Iribarne quand disait « la rue est la mien », investi de Ministre d'Intérieur ?) et il est du peuple. On a entendu dire dans une de ces places quelques de ces jours : « l'Assemblée Électorale Centrale a décidé que nous ne pouvons pas camper dans les places le jour de réflexion, le peuple a décidé que l'Assemblée Électorale Centrale ne nous représente pas ». Acte de souveraineté par excellence, de pouvoir constitutif qui est solennellement proclamé dans les lieux publics. On a aussi dit qu'il n'est pas que nous ne voulions pas une représentation (quelqu'un devra avoir), mais qui nous représente. Il ne faut pas ajouter plus, ou est qu'il s'agit de de celui-là « envoyer en obéissant » comme ils proclament ce qui est zapatistas. ET nous voulons beaucoup de démocratie directe, depuis l'entreprise à la mairie, depuis les associations au Parlement ; dans tout groupe humain qui doit résoudre des affaires en commun, qui sont presque tous. Comme il commence à se profiler dans les propositions qui apparaissent des places publiques de tout le pays depuis les 15 M Si ceci est ainsi, maintenir les places et les rues pour les gens - n'arrête les voitures, ni les affaires, ni les défilés militaires sera le signal évident que la révolution récemment étrennée marche par bon chemin. Salutations fraternelles. Dans la place nous nous voyonsSi le symbole d'autres révolutions ont été « les barricades », celui de de celle-ci celui que nous jouons est la prise pacifique et ordonnée des places publiques et ses rues adjacentes. De plus, on dit, dans celui-là débordée créativité sociale qui rezuma par toutes parties, qu'immédiatement après celui-là « prise » il est produit sa récréation : rapide de la place publiques ils cessent d'être celles-là les lieux siège et paiement et d'exposition du pouvoir (dont on délogeait à enfants et à personnes, chômeurs et pensionnés, paseantes et à vagabonds), pour reprendre son utilisation publique, collective et non-discriminée ce pourquoi elles étaient destinées. La place dans les peuples et les villes représente l'espace de de ce qui est commun par excellence : le lieu de du secteur politique et par conséquent de la démocratie, du gouvernement du peuple, de de tous, comme le terme ne peut pas cesser de signifier. Devoir ajouter « réel » n'est qu'un kidnapping d'un terme de plus (comme liberté, ou aptitude à soutenir des opérations prolongées, par exemple) par les pouvoirs politiques et économiques que nous rejetons et que nous nous voyons obligés de nuancer. Démocratie sans plus. Ce nom implique déjà ce qui est de de participante, de directe et authentique. L'autre est oligocracia, plutocracia, partitocracia ou mercadocracia, dans lequel « demo » il est absent. Si le capitalisme a été possible (et l'il est encore) par la desposesión des biens communs, la démocratie sera possible par le sauvetage et l'autogestion de de ces derniers. Le premier bien commun est l'espace public réflexion et rencontre : la rue et la place. C'est pourquoi cette révolution de printemps est accompagnée d'air frais, d'air libre. Il est aéré dans l'intempérie. La rue a cessé d'être de Framboisier (rappellent-ils à Framboisier Iribarne quand disait « la rue est la mien », investi de Ministre d'Intérieur ?) et il est du peuple. On a entendu dire dans une de ces places quelques de ces jours : « l'Assemblée Électorale Centrale a décidé que nous ne pouvons pas camper dans les places le jour de réflexion, le peuple a décidé que l'Assemblée Électorale Centrale ne nous représente pas ». Acte de souveraineté par excellence, de pouvoir constitutif qui est solennellement proclamé dans les lieux publics. On a aussi dit qu'il n'est pas que nous ne voulions pas une représentation (quelqu'un devra avoir), mais qui nous représente. Il ne faut pas ajouter plus, ou est qu'il s'agit de de celui-là « envoyer en obéissant » comme ils proclament ce qui est zapatistas. ET nous voulons beaucoup de démocratie directe, depuis l'entreprise à la mairie, depuis les associations au Parlement ; dans tout groupe humain qui doit résoudre des affaires en commun, qui sont presque tous. Comme il commence à se profiler dans les propositions qui apparaissent des places publiques de tout le pays depuis les 15 M Si ceci est ainsi, maintenir les places et les rues pour les gens - n'arrête les voitures, ni les affaires, ni les défilés militaires sera le signal évident que la révolution récemment étrennée marche par bon chemin. Salutations fraternelles. Dans la place nous nous voyonsSi le symbole d'autres révolutions ont été « les barricades », celui de de celle-ci celui que nous jouons est la prise pacifique et ordonnée des places publiques et ses rues adjacentes. De plus, on dit, dans celui-là débordée créativité sociale qui rezuma par toutes parties, qu'immédiatement après celui-là « prise » il est produit sa récréation : rapide de la place publiques ils cessent d'être celles-là les lieux siège et paiement et d'exposition du pouvoir (dont on délogeait à enfants et à personnes, chômeurs et pensionnés, paseantes et à vagabonds), pour reprendre son utilisation publique, collective et non-discriminée ce pourquoi elles étaient destinées. La place dans les peuples et les villes représente l'espace de de ce qui est commun par excellence : le lieu de du secteur politique et par conséquent de la démocratie, du gouvernement du peuple, de de tous, comme le terme ne peut pas cesser de signifier. Devoir ajouter « réel » n'est qu'un kidnapping d'un terme de plus (comme liberté, ou aptitude à soutenir des opérations prolongées, par exemple) par les pouvoirs politiques et économiques que nous rejetons et que nous nous voyons obligés de nuancer. Démocratie sans plus. Ce nom implique déjà ce qui est de de participante, de directe et authentique. L'autre est oligocracia, plutocracia, partitocracia ou mercadocracia, dans lequel « demo » il est absent. Si le capitalisme a été possible (et l'il est encore) par la desposesión des biens communs, la démocratie sera possible par le sauvetage et l'autogestion de de ces derniers. Le premier bien commun est l'espace public réflexion et rencontre : la rue et la place. C'est pourquoi cette révolution de printemps est accompagnée d'air frais, d'air libre. Il est aéré dans l'intempérie. La rue a cessé d'être de Framboisier (rappellent-ils à Framboisier Iribarne quand disait « la rue est la mien », investi de Ministre d'Intérieur ?) et il est du peuple. On a entendu dire dans une de ces places quelques de ces jours : « l'Assemblée Électorale Centrale a décidé que nous ne pouvons pas camper dans les places le jour de réflexion, le peuple a décidé que l'Assemblée Électorale Centrale ne nous représente pas ». Acte de souveraineté par excellence, de pouvoir constitutif qui est solennellement proclamé dans les lieux publics. On a aussi dit qu'il n'est pas que nous ne voulions pas une représentation (quelqu'un devra avoir), mais qui nous représente. Il ne faut pas ajouter plus, ou est qu'il s'agit de de celui-là « envoyer en obéissant » comme ils proclament ce qui est zapatistas. ET nous voulons beaucoup de démocratie directe, depuis l'entreprise à la mairie, depuis les associations au Parlement ; dans tout groupe humain qui doit résoudre des affaires en commun, qui sont presque tous. Comme il commence à se profiler dans les propositions qui apparaissent des places publiques de tout le pays depuis les 15 M Si ceci est ainsi, maintenir les places et les rues pour les gens - n'arrête les voitures, ni les affaires, ni les défilés militaires sera le signal évident que la révolution récemment étrennée marche par bon chemin. Salutations fraternelles. Dans la place nous nous voyonsSi le symbole d'autres révolutions ont été « les barricades », celui de de celle-ci celui que nous jouons est la prise pacifique et ordonnée des places publiques et ses rues adjacentes. De plus, on dit, dans celui-là débordée créativité sociale qui rezuma par toutes parties, qu'immédiatement après celui-là « prise » il est produit sa récréation : rapide de la place publiques ils cessent d'être celles-là les lieux siège et paiement et d'exposition du pouvoir (dont on délogeait à enfants et à personnes, chômeurs et pensionnés, paseantes et à vagabonds), pour reprendre son utilisation publique, collective et non-discriminée ce pourquoi elles étaient destinées. La place dans les peuples et les villes représente l'espace de de ce qui est commun par excellence : le lieu de du secteur politique et par conséquent de la démocratie, du gouvernement du peuple, de de tous, comme le terme ne peut pas cesser de signifier. Devoir ajouter « réel » n'est qu'un kidnapping d'un terme de plus (comme liberté, ou aptitude à soutenir des opérations prolongées, par exemple) par les pouvoirs politiques et économiques que nous rejetons et que nous nous voyons obligés de nuancer. Démocratie sans plus. Ce nom implique déjà ce qui est de de participante, de directe et authentique. L'autre est oligocracia, plutocracia, partitocracia ou mercadocracia, dans lequel « demo » il est absent. Si le capitalisme a été possible (et l'il est encore) par la desposesión des biens communs, la démocratie sera possible par le sauvetage et l'autogestion de de ces derniers. Le premier bien commun est l'espace public réflexion et rencontre : la rue et la place. C'est pourquoi cette révolution de printemps est accompagnée d'air frais, d'air libre. Il est aéré dans l'intempérie. La rue a cessé d'être de Framboisier (rappellent-ils à Framboisier Iribarne quand disait « la rue est la mien », investi de Ministre d'Intérieur ?) et il est du peuple. On a entendu dire dans une de ces places quelques de ces jours : « l'Assemblée Électorale Centrale a décidé que nous ne pouvons pas camper dans les places le jour de réflexion, le peuple a décidé que l'Assemblée Électorale Centrale ne nous représente pas ». Acte de souveraineté par excellence, de pouvoir constitutif qui est solennellement proclamé dans les lieux publics. On a aussi dit qu'il n'est pas que nous ne voulions pas une représentation (quelqu'un devra avoir), mais qui nous représente. Il ne faut pas ajouter plus, ou est qu'il s'agit de de celui-là « envoyer en obéissant » comme ils proclament ce qui est zapatistas. ET nous voulons beaucoup de démocratie directe, depuis l'entreprise à la mairie, depuis les associations au Parlement ; dans tout groupe humain qui doit résoudre des affaires en commun, qui sont presque tous. Comme il commence à se profiler dans les propositions qui apparaissent des places publiques de tout le pays depuis les 15 M Si ceci est ainsi, maintenir les places et les rues pour les gens - n'arrête les voitures, ni les affaires, ni les défilés militaires sera le signal évident que la révolution récemment étrennée marche par bon chemin. Salutations fraternelles. Dans la place nous nous voyons
26Mai/11Off

TCHERNOBYL BIS REPETITA ?

La CRIIRAD publie ce jour la carte qui prouve que la France a été contaminée dès le 22 mars 2011 : les masses d’air contaminé par les rejets radioactifs de la centrale nucléaire de FUKUSHIMA DAIICHI sont arrivées 2 jours avant la date indiquée par l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) ; elles ont affecté les trois quarts de la France (et non pas le seul sommet du Puy-de-Dôme) ; l’activité
de l’iode 131 particulaire était plus de 20 fois supérieure à celle annoncée pour le 24 mars.
La France métropolitaine n’a pas été touchée 48 heures après l’Europe septentrionale mais simultanément. Pour établir sa cartographie, la CRIIRAD s’est basée sur les chiffres de l’IRSN et de certains exploitants, chiffres qui ne figurent pas sur le site CRITER où se trouve, de source officielle, « l’ensemble des résultats de la surveillance spécifique du territoire français (métropole et DROM-COM) effectuée par l’IRSN dans le cadre du suivi de l’impact à très longue distance des rejets radioactifs de l’accident de Fukushima » mais sur le site du Réseau National de Mesure de l’environnement (RNM), curieusement délaissé au profit du premier en pleine gestion de crise.
La CRIIRAD a saisi ce jour, le Premier ministre, M. François FILLON, et le président de l’Autorité de Sûreté Nucléaire, M. André-Claude LACOSTE, d’une DEMANDE D’ENQUETE sur la chronologie des faits et les différents niveaux de responsabilités. Placé sous la tutelle conjointe de cinq ministères, l’IRSN intervient, en effet, comme appui technique du gouvernement et de l’ASN pour toutes les questions relatives à la radioprotection et à la surveillance radiologique du territoire français. Sur financement public, il est notamment chargé de « rendre compte de la réalité des contaminations de l'environnement et des risques associés ».

25Mai/11Off

Verso Venezia 2012 !!! (vers Venise 2012)

Il est vrai que 2012 c'est pas demain, mais la décroissance est un projet qui voit loin. Loin dans le future et loin dans le monde. La décroissance est obligatoirement internationaliste.

(Traduction italienne non garantie)

La IIIème Conférence internationale sur la décroissance se tiendra en Italie, à Venise, du 19 aux 23 Septembre 2012 ! ! ! L'association pour la Decrescita  portera en Italie l'édition du 2012 de la Conférence internationale sur la décroissance, pour la soutenabilité et l'équité sociale. Ils ajouterons un détail thématique pour l'édition italienne : LA GRANDE TRANSITION. La décroissance comme passage de civilisation. Nous entamons à imaginer " Verso Venezia 2012"  , le parcours qui en un an et les moyens qui nous porterons à la Conférence ! Pour participer à la construction de ce parcours écrivez nous à : venezia2012@decrescita.it. Ici tu peux télécharger le projet synthétique de la Conférence. Ici tu peux voir un écran qui montre les premiers pas de l'organisation de la conférence.

Le ROC06 se prend à rêver qu'il pourrat, nous l'espérons, y participer. Mais nous restons certainement les Objectrices et Objecteurs Français les plus proches.

24Mai/11Off

Le livre noir de l’agriculture [Isabelle Saporta]

Vous souvenez-vous des Shadoks, ces étranges oiseaux qui passaient leur vie à pomper, pomper, pomper et à inventer des machines toujours plus absurdes ? Les Shadoks, aujourd’hui, c’est nous, ou plutôt notre agriculture. Malgré son coût prohibitif, celle-ci ne respecte ni le pacte social qui la lie aux paysans, ni le pacte environnemental qui la lie aux générations futures, ni même le pacte de santé publique qui la lie à chacun de nous. Les ressources d’eau sont gaspillées, polluées. Nous recevons chaque jour dans nos assiettes notre dose de pesticides et autres résidus médicamenteux. L’agriculteur ne s’en sort plus, et il est injustement voué aux gémonies, lui qui n’est que le bouc émissaire d’un système qu’il subit. La confiance est rompue.
Pendant deux ans, Isabelle Saporta a parcouru les campagnes françaises. Dans cette enquête, elle met au jour l’absurdité du système, en le remontant de la fourche à la fourchette, du cours d’eau pollué aux cancers environnementaux provoqués par les pesticides, des animaux trop traités à l’antibiorésistance.
La conclusion semble s’imposer : puisque notre agriculture pose plus de problèmes qu’elle n’en résout, il est urgent de changer de cap et de revenir à davantage de raison. Mais si tout le monde s’accorde sur le constat d’échec, aucun responsable politique ne veut prendre le risque de s’attaquer aux fondements de l’agriculture intensive.
Loin de se contenter de brosser un tableau alarmiste, Isabelle Saporta avance des solutions simples. Pour les trouver, il suffit de savoir écouter ceux qui connaissaient le monde avant son délire productiviste. Ceux qui, aujourd’hui, travaillent d’arrache-pied à remettre les champs dans les sillons du bon sens paysan.

Isabelle Saporta est journaliste. Elle a longtemps préparé les émissions de Jean-Pierre Coffe sur France Inter. Elle est l’auteur de documentaires, dont Manger peut-il nuire à notre santé ? et collabore à Marianne. Isabelle Soporta à rédigé un très bon article dans le Sarkophage de ce mois de mai sur le productivisme agricole du cochon.

Disponible chez Jhon

23Mai/11Off

RENDEZ-VOUS DES OBJECTEURS DE CROISSANCE PACA EN JUILLET

Le Réseau Objection de Croissance des Alpes Maritimes participera certainement au rendez-vous des objectrices et objecteurs de croissance. Nous organiserons un coovoiturage qui partira de Nice le 22 et reviendra à Nice le 24. Pour tous renseignement sur ce coovoiturage laissez un message sur le répondeur du ROC06 : 09.72.25.52.01 ou envoyez un mail à contact@roc06.fr.

Voici l'invitation qui nous a été envoyez par Caroline Sarrion et Jean-Luc Danneyrolles.

Nous vous invitons à nous retrouver le week-end du 22 23 24 juillet dans le Lubéron à Saignon La Molière Saignon - 84400 Apt
le plan est ici sur un campement autogéré. Afin de partager nos expériences de transition, nos combats, nos idées dans une ambiance festive et pleine d'étoiles.
Atelier prévu pour l'instant : comment sortir du nucléaire maintenant.
D'autres ateliers sont possibles, à vous de les proposer.
Nul besoin d'être spécialiste, vous pourrez simplement proposer une tribune de discussion qui vous tient à cœur.
Nous croiserons l'Alter Tour le 22 juillet.
Merci de vous inscrire pour que nous puissions compter les repas en envoyant un mail à paca@lesobjecteursdecroissance.org

Pour tout renseignement complémentaire :

Contactez :

Caroline Sarrion du Mouvement des Objecteurs de Croissance au 06 03 42 63 37 ou par mail : ocmars@free.fr

ou

Jean-Luc Danneyrolles au 06 87 25 40 74 ou par mail : lepotager@wanadoo.fr, Jean-Luc qui nous recevra dans son Potager d'un Curieux, qui est un curieux potager.

23Mai/11Off

La transition énergétique

Lors de l'émission radiophonique sur la transition énergétique du  7 mai à 9H00, Caroline Sarrion du Mouvement des "Objecteurs de Croissance" en PACA présentez "La transition énergétique pour le magazine hébdomadaire "Demain la Terre" de Gille Nalbonne sur La radio Chretienne de Marseille Provence "DIALOGUE". Caroline Sarrion militante sur Marseille est pour nous les OC de tous poils, notre lanterne qui nous éclaire dans ce monde parfois sombre. Cet émission à été enregistré et vous pouvez l'écouter ici : http://ocmars.free.fr/la-transition-energetique-mai-2011-radio.mp3 .

Nous envoyons encore milles mercis à Caroline pour son dévouement, son engagement aux objectifs de la décroissance.

http://lesobjecteursdecroissance.org