R.O.C. 06
26Mai/11Off

La Toma de las Plazas Públicas. (La prise des places publiques)

Nous ne sommes pas des marchandises dans les mains des politiciens et des banquiers

Traduction d'un article écrit par Paco Puche paru sur "Decrecimiento" les décroissants en Espagne. "Nous nous excusons de la traduction approximative." Menos para vivir mejor (moins pour vivre mieux).

http://www.decrecimiento.info/2011/05/15-m-la-toma-de-las-plazas-publicas.html

Si le symbole d'autres révolutions ont été « les barricades »,celle-ci que nous jouons est la prise pacifique et ordonnée des places publiques et ses rues adjacentes. De plus, on dit, que celles-là déborde  de créativité sociale qui est résumé par toutes les parties, qu'immédiatement après leurs prise elles produisent sa recréation : rapidement la place publiques cessent d'être des lieux de siège, de paiement et d'exposition du pouvoir (dont on délogeait les jeunes et anciens chômeurs et pensionnés, passants et vagabonds), pour reprendre son utilisation publique, collective et non-discriminée ce pourquoi elles étaient destinées.

La place dans les villages et les villes représente l'espace de ce qui est commun par excellence : le lieu du secteur politique et par conséquent de la démocratie, du gouvernement du peuple, de tous, comme le terme ne peut pas cesser de signifier.

Devoir ajouter « réel » n'est qu'un kidnapping d'un terme de plus (comme liberté, ou aptitude à soutenir des opérations prolongées, par exemple) par les pouvoirs politiques et économiques que nous rejetons et que nous nous voyons obligés de nuancer.

Démocratie sans plus. Ce nom implique déjà d'y participé, d'être directe et authentique. L'autre est oligarchie, ploutocratie, partitocratie  ou merchancratie, dans lequel « demo »est absent. Si le capitalisme a été possible (et il l'est encore) par la dépossession des biens communs, la démocratie sera possible par le sauvetage et l'autogestion de de ces derniers. Le premier bien commun est l'espace public réflexion et rencontre : la rue et la place. C'est pourquoi cette révolution de printemps est accompagnée d'air frais, d'air libre. Il est aéré dans l'intempérie. La rue a cessé d'être à Fraga (Fraga Iribarne quand il disait « la rue est mienne »,lors de son investiture au Ministère de l'Intérieur) et il est maintenant au peuple. On a entendu dire dans une de ces places il y a quelques jours : « l'Assemblée Électorale Centrale a décidé que nous ne pouvions pas camper sur les places le jour de réflexion, le peuple a décidé que l'Assemblée Électorale Centrale ne nous représente pas ». Acte de souveraineté par excellence, de pouvoir constitutif qui est solennellement proclamé dans les lieux publics. On a aussi dit que ce n'est pas d'une représentation  que nous ne voulions pas (quelqu'un devra l'avoir), mais de QUI nous représente. Il ne faut pas ajouter plus, ou est qu'il s'agit de celui-là « envoyer en obéissant » comme ils proclament ce qui est zapatistas. ET nous voulons beaucoup de démocratie directe, depuis l'entreprise à la mairie, depuis les associations au Parlement ; dans tout groupe humain qui doit résoudre des affaires en commun, qui sont presque tous. Comme il commence à se profiler dans les propositions qui apparaissent des places publiques de tout le pays depuis le 15 Mai Si ceci est ainsi, maintenir les places et les rues pour les gens - n'arrête pas les voitures, ni les affaires, ni les défilés militaires sera le signal évident que la révolution récemment étrennée marche sur un bon chemin.

Salutations fraternelles. Sur la place nous nous verrons.

Si le symbole d'autres révolutions ont été « les barricades », celui de de celle-ci celui que nous jouons est la prise pacifique et ordonnée des places publiques et ses rues adjacentes. De plus, on dit, dans celui-là débordée créativité sociale qui rezuma par toutes parties, qu'immédiatement après celui-là « prise » il est produit sa récréation : rapide de la place publiques ils cessent d'être celles-là les lieux siège et paiement et d'exposition du pouvoir (dont on délogeait à enfants et à personnes, chômeurs et pensionnés, paseantes et à vagabonds), pour reprendre son utilisation publique, collective et non-discriminée ce pourquoi elles étaient destinées. La place dans les peuples et les villes représente l'espace de de ce qui est commun par excellence : le lieu de du secteur politique et par conséquent de la démocratie, du gouvernement du peuple, de de tous, comme le terme ne peut pas cesser de signifier. Devoir ajouter « réel » n'est qu'un kidnapping d'un terme de plus (comme liberté, ou aptitude à soutenir des opérations prolongées, par exemple) par les pouvoirs politiques et économiques que nous rejetons et que nous nous voyons obligés de nuancer. Démocratie sans plus. Ce nom implique déjà ce qui est de de participante, de directe et authentique. L'autre est oligocracia, plutocracia, partitocracia ou mercadocracia, dans lequel « demo » il est absent. Si le capitalisme a été possible (et l'il est encore) par la desposesión des biens communs, la démocratie sera possible par le sauvetage et l'autogestion de de ces derniers. Le premier bien commun est l'espace public réflexion et rencontre : la rue et la place. C'est pourquoi cette révolution de printemps est accompagnée d'air frais, d'air libre. Il est aéré dans l'intempérie. La rue a cessé d'être de Framboisier (rappellent-ils à Framboisier Iribarne quand disait « la rue est la mien », investi de Ministre d'Intérieur ?) et il est du peuple. On a entendu dire dans une de ces places quelques de ces jours : « l'Assemblée Électorale Centrale a décidé que nous ne pouvons pas camper dans les places le jour de réflexion, le peuple a décidé que l'Assemblée Électorale Centrale ne nous représente pas ». Acte de souveraineté par excellence, de pouvoir constitutif qui est solennellement proclamé dans les lieux publics. On a aussi dit qu'il n'est pas que nous ne voulions pas une représentation (quelqu'un devra avoir), mais qui nous représente. Il ne faut pas ajouter plus, ou est qu'il s'agit de de celui-là « envoyer en obéissant » comme ils proclament ce qui est zapatistas. ET nous voulons beaucoup de démocratie directe, depuis l'entreprise à la mairie, depuis les associations au Parlement ; dans tout groupe humain qui doit résoudre des affaires en commun, qui sont presque tous. Comme il commence à se profiler dans les propositions qui apparaissent des places publiques de tout le pays depuis les 15 M Si ceci est ainsi, maintenir les places et les rues pour les gens - n'arrête les voitures, ni les affaires, ni les défilés militaires sera le signal évident que la révolution récemment étrennée marche par bon chemin. Salutations fraternelles. Dans la place nous nous voyonsSi le symbole d'autres révolutions ont été « les barricades », celui de de celle-ci celui que nous jouons est la prise pacifique et ordonnée des places publiques et ses rues adjacentes. De plus, on dit, dans celui-là débordée créativité sociale qui rezuma par toutes parties, qu'immédiatement après celui-là « prise » il est produit sa récréation : rapide de la place publiques ils cessent d'être celles-là les lieux siège et paiement et d'exposition du pouvoir (dont on délogeait à enfants et à personnes, chômeurs et pensionnés, paseantes et à vagabonds), pour reprendre son utilisation publique, collective et non-discriminée ce pourquoi elles étaient destinées. La place dans les peuples et les villes représente l'espace de de ce qui est commun par excellence : le lieu de du secteur politique et par conséquent de la démocratie, du gouvernement du peuple, de de tous, comme le terme ne peut pas cesser de signifier. Devoir ajouter « réel » n'est qu'un kidnapping d'un terme de plus (comme liberté, ou aptitude à soutenir des opérations prolongées, par exemple) par les pouvoirs politiques et économiques que nous rejetons et que nous nous voyons obligés de nuancer. Démocratie sans plus. Ce nom implique déjà ce qui est de de participante, de directe et authentique. L'autre est oligocracia, plutocracia, partitocracia ou mercadocracia, dans lequel « demo » il est absent. Si le capitalisme a été possible (et l'il est encore) par la desposesión des biens communs, la démocratie sera possible par le sauvetage et l'autogestion de de ces derniers. Le premier bien commun est l'espace public réflexion et rencontre : la rue et la place. C'est pourquoi cette révolution de printemps est accompagnée d'air frais, d'air libre. Il est aéré dans l'intempérie. La rue a cessé d'être de Framboisier (rappellent-ils à Framboisier Iribarne quand disait « la rue est la mien », investi de Ministre d'Intérieur ?) et il est du peuple. On a entendu dire dans une de ces places quelques de ces jours : « l'Assemblée Électorale Centrale a décidé que nous ne pouvons pas camper dans les places le jour de réflexion, le peuple a décidé que l'Assemblée Électorale Centrale ne nous représente pas ». Acte de souveraineté par excellence, de pouvoir constitutif qui est solennellement proclamé dans les lieux publics. On a aussi dit qu'il n'est pas que nous ne voulions pas une représentation (quelqu'un devra avoir), mais qui nous représente. Il ne faut pas ajouter plus, ou est qu'il s'agit de de celui-là « envoyer en obéissant » comme ils proclament ce qui est zapatistas. ET nous voulons beaucoup de démocratie directe, depuis l'entreprise à la mairie, depuis les associations au Parlement ; dans tout groupe humain qui doit résoudre des affaires en commun, qui sont presque tous. Comme il commence à se profiler dans les propositions qui apparaissent des places publiques de tout le pays depuis les 15 M Si ceci est ainsi, maintenir les places et les rues pour les gens - n'arrête les voitures, ni les affaires, ni les défilés militaires sera le signal évident que la révolution récemment étrennée marche par bon chemin. Salutations fraternelles. Dans la place nous nous voyonsSi le symbole d'autres révolutions ont été « les barricades », celui de de celle-ci celui que nous jouons est la prise pacifique et ordonnée des places publiques et ses rues adjacentes. De plus, on dit, dans celui-là débordée créativité sociale qui rezuma par toutes parties, qu'immédiatement après celui-là « prise » il est produit sa récréation : rapide de la place publiques ils cessent d'être celles-là les lieux siège et paiement et d'exposition du pouvoir (dont on délogeait à enfants et à personnes, chômeurs et pensionnés, paseantes et à vagabonds), pour reprendre son utilisation publique, collective et non-discriminée ce pourquoi elles étaient destinées. La place dans les peuples et les villes représente l'espace de de ce qui est commun par excellence : le lieu de du secteur politique et par conséquent de la démocratie, du gouvernement du peuple, de de tous, comme le terme ne peut pas cesser de signifier. Devoir ajouter « réel » n'est qu'un kidnapping d'un terme de plus (comme liberté, ou aptitude à soutenir des opérations prolongées, par exemple) par les pouvoirs politiques et économiques que nous rejetons et que nous nous voyons obligés de nuancer. Démocratie sans plus. Ce nom implique déjà ce qui est de de participante, de directe et authentique. L'autre est oligocracia, plutocracia, partitocracia ou mercadocracia, dans lequel « demo » il est absent. Si le capitalisme a été possible (et l'il est encore) par la desposesión des biens communs, la démocratie sera possible par le sauvetage et l'autogestion de de ces derniers. Le premier bien commun est l'espace public réflexion et rencontre : la rue et la place. C'est pourquoi cette révolution de printemps est accompagnée d'air frais, d'air libre. Il est aéré dans l'intempérie. La rue a cessé d'être de Framboisier (rappellent-ils à Framboisier Iribarne quand disait « la rue est la mien », investi de Ministre d'Intérieur ?) et il est du peuple. On a entendu dire dans une de ces places quelques de ces jours : « l'Assemblée Électorale Centrale a décidé que nous ne pouvons pas camper dans les places le jour de réflexion, le peuple a décidé que l'Assemblée Électorale Centrale ne nous représente pas ». Acte de souveraineté par excellence, de pouvoir constitutif qui est solennellement proclamé dans les lieux publics. On a aussi dit qu'il n'est pas que nous ne voulions pas une représentation (quelqu'un devra avoir), mais qui nous représente. Il ne faut pas ajouter plus, ou est qu'il s'agit de de celui-là « envoyer en obéissant » comme ils proclament ce qui est zapatistas. ET nous voulons beaucoup de démocratie directe, depuis l'entreprise à la mairie, depuis les associations au Parlement ; dans tout groupe humain qui doit résoudre des affaires en commun, qui sont presque tous. Comme il commence à se profiler dans les propositions qui apparaissent des places publiques de tout le pays depuis les 15 M Si ceci est ainsi, maintenir les places et les rues pour les gens - n'arrête les voitures, ni les affaires, ni les défilés militaires sera le signal évident que la révolution récemment étrennée marche par bon chemin. Salutations fraternelles. Dans la place nous nous voyonsSi le symbole d'autres révolutions ont été « les barricades », celui de de celle-ci celui que nous jouons est la prise pacifique et ordonnée des places publiques et ses rues adjacentes. De plus, on dit, dans celui-là débordée créativité sociale qui rezuma par toutes parties, qu'immédiatement après celui-là « prise » il est produit sa récréation : rapide de la place publiques ils cessent d'être celles-là les lieux siège et paiement et d'exposition du pouvoir (dont on délogeait à enfants et à personnes, chômeurs et pensionnés, paseantes et à vagabonds), pour reprendre son utilisation publique, collective et non-discriminée ce pourquoi elles étaient destinées. La place dans les peuples et les villes représente l'espace de de ce qui est commun par excellence : le lieu de du secteur politique et par conséquent de la démocratie, du gouvernement du peuple, de de tous, comme le terme ne peut pas cesser de signifier. Devoir ajouter « réel » n'est qu'un kidnapping d'un terme de plus (comme liberté, ou aptitude à soutenir des opérations prolongées, par exemple) par les pouvoirs politiques et économiques que nous rejetons et que nous nous voyons obligés de nuancer. Démocratie sans plus. Ce nom implique déjà ce qui est de de participante, de directe et authentique. L'autre est oligocracia, plutocracia, partitocracia ou mercadocracia, dans lequel « demo » il est absent. Si le capitalisme a été possible (et l'il est encore) par la desposesión des biens communs, la démocratie sera possible par le sauvetage et l'autogestion de de ces derniers. Le premier bien commun est l'espace public réflexion et rencontre : la rue et la place. C'est pourquoi cette révolution de printemps est accompagnée d'air frais, d'air libre. Il est aéré dans l'intempérie. La rue a cessé d'être de Framboisier (rappellent-ils à Framboisier Iribarne quand disait « la rue est la mien », investi de Ministre d'Intérieur ?) et il est du peuple. On a entendu dire dans une de ces places quelques de ces jours : « l'Assemblée Électorale Centrale a décidé que nous ne pouvons pas camper dans les places le jour de réflexion, le peuple a décidé que l'Assemblée Électorale Centrale ne nous représente pas ». Acte de souveraineté par excellence, de pouvoir constitutif qui est solennellement proclamé dans les lieux publics. On a aussi dit qu'il n'est pas que nous ne voulions pas une représentation (quelqu'un devra avoir), mais qui nous représente. Il ne faut pas ajouter plus, ou est qu'il s'agit de de celui-là « envoyer en obéissant » comme ils proclament ce qui est zapatistas. ET nous voulons beaucoup de démocratie directe, depuis l'entreprise à la mairie, depuis les associations au Parlement ; dans tout groupe humain qui doit résoudre des affaires en commun, qui sont presque tous. Comme il commence à se profiler dans les propositions qui apparaissent des places publiques de tout le pays depuis les 15 M Si ceci est ainsi, maintenir les places et les rues pour les gens - n'arrête les voitures, ni les affaires, ni les défilés militaires sera le signal évident que la révolution récemment étrennée marche par bon chemin. Salutations fraternelles. Dans la place nous nous voyons
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