R.O.C. 06
30Mai/11Off

Nous aussi nous somme « Indignatos ».

Fin 2010 Stéphane Hessel écrivez : Indignez Vous!!! Avec  5 axes : Trouver un motif d'indignation, Changer de système économique,Mettre fin au conflit israélo-palestinien, Choisir la non-violence, Endiguer le déclin de notre société. Il a été entendue en Espagne. Il y a deux semaines de cela, le mouvement espagnol des Indignatos ou du 15 Mayo,  s'est  propagé dans tous le bassin méditerranéen, en italie, en grece mais aussi en France. A nice la semaine dernière ils était 25, ce dimanche nous étions 120, sur une place symbolique de Nice : la Place Garibaldi. Un rythme de deux rendez vous par semaine, avec un prochain rendez vous ce Mercredi à 19H00 place Garibaldi. Le mouvement est informel, des militants, des habitants de nice, qui exprime leurs visions et leurs idées, sans dieu ni chef. Ne serait-ce pas là le commencement, de ce que l'on pourrait appeler un forum citoyen? Nous mettions dans un article du 27 mai certaines de leurs revendications http://www.roc06.fr/?p=866. A savoir le respect des droits de base : le logement, le travail, la culture, la santé, l'éducation, la participation politique, la liberté de développement personnel et le droit à des produits de première nécessité. Le mouvement n'est pas apolitique, mais il s'agit d'un rassemblement de personne affirmant la richesse qui nait des diversités individuelles, il demande donc que les participants n'amène pas de signe distinctif affirmant leur appartenance politique, syndicale, religieuse, associative ou autre, peut être une nouvelle façon de faire entendre sa propre voix.

30Mai/11Off

Une pétition contre les brutalités policières en Espagne

Une pétition contre les brutalités policières, demandant la démission du ministre régional de l’intérieur, est lancée.

http://www.change.org/petitions/exige-la-dimisin-fulminante-del-conseller-de-interior-por-la-violencia-utilizada-en-pza-catalunya

Plus de 60 000 signatures vers 23 H 00

a lire: http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/05/27/printemps-de-reves-en-espagne_1528095_3232.html

À Barcelone « les indignés » reprennent la place de Catalogne à la police

 

Seulement quelques heures après l’évacuation d’hier matin, la police n’a pas pu contenir la foule à l’extérieur de la place de Catalogne. Après avoir ouvert une brèche vers midi, les manifestants ont réussi à réinvestir la place. En une après-midi, la cuisine, l’antenne médicale, la bibliothèque, le potager, etc., détruits le matin, ont été remis en service. Samedi soir, des milliers de manifestants se sont rassemblés pour continuer à montrer leur indignation et dénoncer les violences.

Montpellier journal, Samedi 28 mai 2011

http://www.montpellier-journal.fr/2011/05/a-barcelone-les-indignes-reprennent-la-place-de-catalogne-a-la-police.html


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27Mai/11Off

Pic-Nic géant sur le plateau de caussols dimanche !

26Mai/11Off

La Ferme du collet

http://www.ouvertour.org/lieux-visites/ferme-numero-1

A La Penne, en plein cœur de la montagne de l'arrière pays niçois, la ferme du Collet expérimente l'autonomie vivrière et économique en agro-écologie et la vie en harmonie avec la nature. Depuis sept ans déjà, ses résidents y développent de nombreuses alternatives en s'appuyant sur le concept de la permaculture ou « culture du permanent ». Le partage de deux semaines de vie avec les familles présentes sur le lieu a été pour nous l'occasion de mieux appréhender les facettes de ce projet, nous enrichir de leur expérience et découvrir des pratiques écologiques originales.

Mais alors qui sont exactement les habitants de ce lieu collectif ?

A l'initiative du projet, deux couples et une retraitée dynamique aux histoires bien différentes :

La famille Arias:
Après 12 ans de vie en communauté itinérante à travers l'Europe, Diego et Françoise décident de rompre avec les complications liées à la vie à 80 et au déracinement permanent pour se mettre en quête d'un lieu ou s'installer et travailler la terre pour en vivre simplement. Après deux ans dans le Gers ils partent s'installer à la ferme du Collet avec leurs deux enfants (Aorinco et Nadiesca).
La famille Ollivier.
Ayant finit leurs études d'économie et d'architecture à Paris, Bertrand et Katia décident de quitter la ville et partent à la recherche d'un éco village dans un souci d'assurer à leurs enfants (Léon et Olga) une éducation la plus écologique possible. Ils s'installent un moment dans le hameau de Boussac, éco-hameau du Lot et Garonne, mais déçu de la baisse de dynamique collective du lieu, ils cherchent assez rapidement à créer leur propre lieu de vie.
Marie-Thérèse Desbuissons.
A bientôt 70 ans, Marie-Thérèse est la dernière venue à la ferme du Collet (2006). Après une vie d'agricultrice maraîchère dans le nord de la France et dix ans d'activité salariée sur la cote d'azur, elle souhaitait retrouver la terre et les valeurs qui y sont liées.

Quelles volontés et quelles valeurs les réunissent ?

Le désir premier de ces trois foyers est de se donner les moyens d'accéder au bonheur et à l'épanouissement par la satisfaction des seuls besoins fondamentaux, et ce, en harmonie avec la nature.

Pour atteindre cet objectif, s'associer avec d'autres familles dans un esprit de solidarité, d'entre-aide, d'échange et de construction mutuelle est pour chaque foyer un élément essentiel. Collectivement ils souhaitent réapprendre les multiples savoir-faire de l'auto-subsistance dans un esprit de simplicité volontaire et d'écologie pratique.

Au-delà d'un accomplissement personnel ce projet est pour chacun un acte politique de militantisme. Mettant directement en pratique leurs convictions écologiques, ils veulent démontrer la viabilité d'un retour rural par une économie paysanne pluri-active et innovante et promouvoir de nouveaux comportements et modes de vie.

Ils espèrent ainsi pouvoir contribuer à une progression de la société vers un équilibre entre la nature, la technique et les êtres vivants.

Suite de l'article : http://www.ouvertour.org/lieux-visites/ferme-numero-1

26Mai/11Off

La Toma de las Plazas Públicas. (La prise des places publiques)

Nous ne sommes pas des marchandises dans les mains des politiciens et des banquiers

Traduction d'un article écrit par Paco Puche paru sur "Decrecimiento" les décroissants en Espagne. "Nous nous excusons de la traduction approximative." Menos para vivir mejor (moins pour vivre mieux).

http://www.decrecimiento.info/2011/05/15-m-la-toma-de-las-plazas-publicas.html

Si le symbole d'autres révolutions ont été « les barricades »,celle-ci que nous jouons est la prise pacifique et ordonnée des places publiques et ses rues adjacentes. De plus, on dit, que celles-là déborde  de créativité sociale qui est résumé par toutes les parties, qu'immédiatement après leurs prise elles produisent sa recréation : rapidement la place publiques cessent d'être des lieux de siège, de paiement et d'exposition du pouvoir (dont on délogeait les jeunes et anciens chômeurs et pensionnés, passants et vagabonds), pour reprendre son utilisation publique, collective et non-discriminée ce pourquoi elles étaient destinées.

La place dans les villages et les villes représente l'espace de ce qui est commun par excellence : le lieu du secteur politique et par conséquent de la démocratie, du gouvernement du peuple, de tous, comme le terme ne peut pas cesser de signifier.

Devoir ajouter « réel » n'est qu'un kidnapping d'un terme de plus (comme liberté, ou aptitude à soutenir des opérations prolongées, par exemple) par les pouvoirs politiques et économiques que nous rejetons et que nous nous voyons obligés de nuancer.

Démocratie sans plus. Ce nom implique déjà d'y participé, d'être directe et authentique. L'autre est oligarchie, ploutocratie, partitocratie  ou merchancratie, dans lequel « demo »est absent. Si le capitalisme a été possible (et il l'est encore) par la dépossession des biens communs, la démocratie sera possible par le sauvetage et l'autogestion de de ces derniers. Le premier bien commun est l'espace public réflexion et rencontre : la rue et la place. C'est pourquoi cette révolution de printemps est accompagnée d'air frais, d'air libre. Il est aéré dans l'intempérie. La rue a cessé d'être à Fraga (Fraga Iribarne quand il disait « la rue est mienne »,lors de son investiture au Ministère de l'Intérieur) et il est maintenant au peuple. On a entendu dire dans une de ces places il y a quelques jours : « l'Assemblée Électorale Centrale a décidé que nous ne pouvions pas camper sur les places le jour de réflexion, le peuple a décidé que l'Assemblée Électorale Centrale ne nous représente pas ». Acte de souveraineté par excellence, de pouvoir constitutif qui est solennellement proclamé dans les lieux publics. On a aussi dit que ce n'est pas d'une représentation  que nous ne voulions pas (quelqu'un devra l'avoir), mais de QUI nous représente. Il ne faut pas ajouter plus, ou est qu'il s'agit de celui-là « envoyer en obéissant » comme ils proclament ce qui est zapatistas. ET nous voulons beaucoup de démocratie directe, depuis l'entreprise à la mairie, depuis les associations au Parlement ; dans tout groupe humain qui doit résoudre des affaires en commun, qui sont presque tous. Comme il commence à se profiler dans les propositions qui apparaissent des places publiques de tout le pays depuis le 15 Mai Si ceci est ainsi, maintenir les places et les rues pour les gens - n'arrête pas les voitures, ni les affaires, ni les défilés militaires sera le signal évident que la révolution récemment étrennée marche sur un bon chemin.

Salutations fraternelles. Sur la place nous nous verrons.

Si le symbole d'autres révolutions ont été « les barricades », celui de de celle-ci celui que nous jouons est la prise pacifique et ordonnée des places publiques et ses rues adjacentes. De plus, on dit, dans celui-là débordée créativité sociale qui rezuma par toutes parties, qu'immédiatement après celui-là « prise » il est produit sa récréation : rapide de la place publiques ils cessent d'être celles-là les lieux siège et paiement et d'exposition du pouvoir (dont on délogeait à enfants et à personnes, chômeurs et pensionnés, paseantes et à vagabonds), pour reprendre son utilisation publique, collective et non-discriminée ce pourquoi elles étaient destinées. La place dans les peuples et les villes représente l'espace de de ce qui est commun par excellence : le lieu de du secteur politique et par conséquent de la démocratie, du gouvernement du peuple, de de tous, comme le terme ne peut pas cesser de signifier. Devoir ajouter « réel » n'est qu'un kidnapping d'un terme de plus (comme liberté, ou aptitude à soutenir des opérations prolongées, par exemple) par les pouvoirs politiques et économiques que nous rejetons et que nous nous voyons obligés de nuancer. Démocratie sans plus. Ce nom implique déjà ce qui est de de participante, de directe et authentique. L'autre est oligocracia, plutocracia, partitocracia ou mercadocracia, dans lequel « demo » il est absent. Si le capitalisme a été possible (et l'il est encore) par la desposesión des biens communs, la démocratie sera possible par le sauvetage et l'autogestion de de ces derniers. Le premier bien commun est l'espace public réflexion et rencontre : la rue et la place. C'est pourquoi cette révolution de printemps est accompagnée d'air frais, d'air libre. Il est aéré dans l'intempérie. La rue a cessé d'être de Framboisier (rappellent-ils à Framboisier Iribarne quand disait « la rue est la mien », investi de Ministre d'Intérieur ?) et il est du peuple. On a entendu dire dans une de ces places quelques de ces jours : « l'Assemblée Électorale Centrale a décidé que nous ne pouvons pas camper dans les places le jour de réflexion, le peuple a décidé que l'Assemblée Électorale Centrale ne nous représente pas ». Acte de souveraineté par excellence, de pouvoir constitutif qui est solennellement proclamé dans les lieux publics. On a aussi dit qu'il n'est pas que nous ne voulions pas une représentation (quelqu'un devra avoir), mais qui nous représente. Il ne faut pas ajouter plus, ou est qu'il s'agit de de celui-là « envoyer en obéissant » comme ils proclament ce qui est zapatistas. ET nous voulons beaucoup de démocratie directe, depuis l'entreprise à la mairie, depuis les associations au Parlement ; dans tout groupe humain qui doit résoudre des affaires en commun, qui sont presque tous. Comme il commence à se profiler dans les propositions qui apparaissent des places publiques de tout le pays depuis les 15 M Si ceci est ainsi, maintenir les places et les rues pour les gens - n'arrête les voitures, ni les affaires, ni les défilés militaires sera le signal évident que la révolution récemment étrennée marche par bon chemin. Salutations fraternelles. Dans la place nous nous voyonsSi le symbole d'autres révolutions ont été « les barricades », celui de de celle-ci celui que nous jouons est la prise pacifique et ordonnée des places publiques et ses rues adjacentes. De plus, on dit, dans celui-là débordée créativité sociale qui rezuma par toutes parties, qu'immédiatement après celui-là « prise » il est produit sa récréation : rapide de la place publiques ils cessent d'être celles-là les lieux siège et paiement et d'exposition du pouvoir (dont on délogeait à enfants et à personnes, chômeurs et pensionnés, paseantes et à vagabonds), pour reprendre son utilisation publique, collective et non-discriminée ce pourquoi elles étaient destinées. La place dans les peuples et les villes représente l'espace de de ce qui est commun par excellence : le lieu de du secteur politique et par conséquent de la démocratie, du gouvernement du peuple, de de tous, comme le terme ne peut pas cesser de signifier. Devoir ajouter « réel » n'est qu'un kidnapping d'un terme de plus (comme liberté, ou aptitude à soutenir des opérations prolongées, par exemple) par les pouvoirs politiques et économiques que nous rejetons et que nous nous voyons obligés de nuancer. Démocratie sans plus. Ce nom implique déjà ce qui est de de participante, de directe et authentique. L'autre est oligocracia, plutocracia, partitocracia ou mercadocracia, dans lequel « demo » il est absent. Si le capitalisme a été possible (et l'il est encore) par la desposesión des biens communs, la démocratie sera possible par le sauvetage et l'autogestion de de ces derniers. Le premier bien commun est l'espace public réflexion et rencontre : la rue et la place. C'est pourquoi cette révolution de printemps est accompagnée d'air frais, d'air libre. Il est aéré dans l'intempérie. La rue a cessé d'être de Framboisier (rappellent-ils à Framboisier Iribarne quand disait « la rue est la mien », investi de Ministre d'Intérieur ?) et il est du peuple. On a entendu dire dans une de ces places quelques de ces jours : « l'Assemblée Électorale Centrale a décidé que nous ne pouvons pas camper dans les places le jour de réflexion, le peuple a décidé que l'Assemblée Électorale Centrale ne nous représente pas ». Acte de souveraineté par excellence, de pouvoir constitutif qui est solennellement proclamé dans les lieux publics. On a aussi dit qu'il n'est pas que nous ne voulions pas une représentation (quelqu'un devra avoir), mais qui nous représente. Il ne faut pas ajouter plus, ou est qu'il s'agit de de celui-là « envoyer en obéissant » comme ils proclament ce qui est zapatistas. ET nous voulons beaucoup de démocratie directe, depuis l'entreprise à la mairie, depuis les associations au Parlement ; dans tout groupe humain qui doit résoudre des affaires en commun, qui sont presque tous. Comme il commence à se profiler dans les propositions qui apparaissent des places publiques de tout le pays depuis les 15 M Si ceci est ainsi, maintenir les places et les rues pour les gens - n'arrête les voitures, ni les affaires, ni les défilés militaires sera le signal évident que la révolution récemment étrennée marche par bon chemin. Salutations fraternelles. Dans la place nous nous voyonsSi le symbole d'autres révolutions ont été « les barricades », celui de de celle-ci celui que nous jouons est la prise pacifique et ordonnée des places publiques et ses rues adjacentes. De plus, on dit, dans celui-là débordée créativité sociale qui rezuma par toutes parties, qu'immédiatement après celui-là « prise » il est produit sa récréation : rapide de la place publiques ils cessent d'être celles-là les lieux siège et paiement et d'exposition du pouvoir (dont on délogeait à enfants et à personnes, chômeurs et pensionnés, paseantes et à vagabonds), pour reprendre son utilisation publique, collective et non-discriminée ce pourquoi elles étaient destinées. La place dans les peuples et les villes représente l'espace de de ce qui est commun par excellence : le lieu de du secteur politique et par conséquent de la démocratie, du gouvernement du peuple, de de tous, comme le terme ne peut pas cesser de signifier. Devoir ajouter « réel » n'est qu'un kidnapping d'un terme de plus (comme liberté, ou aptitude à soutenir des opérations prolongées, par exemple) par les pouvoirs politiques et économiques que nous rejetons et que nous nous voyons obligés de nuancer. Démocratie sans plus. Ce nom implique déjà ce qui est de de participante, de directe et authentique. L'autre est oligocracia, plutocracia, partitocracia ou mercadocracia, dans lequel « demo » il est absent. Si le capitalisme a été possible (et l'il est encore) par la desposesión des biens communs, la démocratie sera possible par le sauvetage et l'autogestion de de ces derniers. Le premier bien commun est l'espace public réflexion et rencontre : la rue et la place. C'est pourquoi cette révolution de printemps est accompagnée d'air frais, d'air libre. Il est aéré dans l'intempérie. La rue a cessé d'être de Framboisier (rappellent-ils à Framboisier Iribarne quand disait « la rue est la mien », investi de Ministre d'Intérieur ?) et il est du peuple. On a entendu dire dans une de ces places quelques de ces jours : « l'Assemblée Électorale Centrale a décidé que nous ne pouvons pas camper dans les places le jour de réflexion, le peuple a décidé que l'Assemblée Électorale Centrale ne nous représente pas ». Acte de souveraineté par excellence, de pouvoir constitutif qui est solennellement proclamé dans les lieux publics. On a aussi dit qu'il n'est pas que nous ne voulions pas une représentation (quelqu'un devra avoir), mais qui nous représente. Il ne faut pas ajouter plus, ou est qu'il s'agit de de celui-là « envoyer en obéissant » comme ils proclament ce qui est zapatistas. ET nous voulons beaucoup de démocratie directe, depuis l'entreprise à la mairie, depuis les associations au Parlement ; dans tout groupe humain qui doit résoudre des affaires en commun, qui sont presque tous. Comme il commence à se profiler dans les propositions qui apparaissent des places publiques de tout le pays depuis les 15 M Si ceci est ainsi, maintenir les places et les rues pour les gens - n'arrête les voitures, ni les affaires, ni les défilés militaires sera le signal évident que la révolution récemment étrennée marche par bon chemin. Salutations fraternelles. Dans la place nous nous voyonsSi le symbole d'autres révolutions ont été « les barricades », celui de de celle-ci celui que nous jouons est la prise pacifique et ordonnée des places publiques et ses rues adjacentes. De plus, on dit, dans celui-là débordée créativité sociale qui rezuma par toutes parties, qu'immédiatement après celui-là « prise » il est produit sa récréation : rapide de la place publiques ils cessent d'être celles-là les lieux siège et paiement et d'exposition du pouvoir (dont on délogeait à enfants et à personnes, chômeurs et pensionnés, paseantes et à vagabonds), pour reprendre son utilisation publique, collective et non-discriminée ce pourquoi elles étaient destinées. La place dans les peuples et les villes représente l'espace de de ce qui est commun par excellence : le lieu de du secteur politique et par conséquent de la démocratie, du gouvernement du peuple, de de tous, comme le terme ne peut pas cesser de signifier. Devoir ajouter « réel » n'est qu'un kidnapping d'un terme de plus (comme liberté, ou aptitude à soutenir des opérations prolongées, par exemple) par les pouvoirs politiques et économiques que nous rejetons et que nous nous voyons obligés de nuancer. Démocratie sans plus. Ce nom implique déjà ce qui est de de participante, de directe et authentique. L'autre est oligocracia, plutocracia, partitocracia ou mercadocracia, dans lequel « demo » il est absent. Si le capitalisme a été possible (et l'il est encore) par la desposesión des biens communs, la démocratie sera possible par le sauvetage et l'autogestion de de ces derniers. Le premier bien commun est l'espace public réflexion et rencontre : la rue et la place. C'est pourquoi cette révolution de printemps est accompagnée d'air frais, d'air libre. Il est aéré dans l'intempérie. La rue a cessé d'être de Framboisier (rappellent-ils à Framboisier Iribarne quand disait « la rue est la mien », investi de Ministre d'Intérieur ?) et il est du peuple. On a entendu dire dans une de ces places quelques de ces jours : « l'Assemblée Électorale Centrale a décidé que nous ne pouvons pas camper dans les places le jour de réflexion, le peuple a décidé que l'Assemblée Électorale Centrale ne nous représente pas ». Acte de souveraineté par excellence, de pouvoir constitutif qui est solennellement proclamé dans les lieux publics. On a aussi dit qu'il n'est pas que nous ne voulions pas une représentation (quelqu'un devra avoir), mais qui nous représente. Il ne faut pas ajouter plus, ou est qu'il s'agit de de celui-là « envoyer en obéissant » comme ils proclament ce qui est zapatistas. ET nous voulons beaucoup de démocratie directe, depuis l'entreprise à la mairie, depuis les associations au Parlement ; dans tout groupe humain qui doit résoudre des affaires en commun, qui sont presque tous. Comme il commence à se profiler dans les propositions qui apparaissent des places publiques de tout le pays depuis les 15 M Si ceci est ainsi, maintenir les places et les rues pour les gens - n'arrête les voitures, ni les affaires, ni les défilés militaires sera le signal évident que la révolution récemment étrennée marche par bon chemin. Salutations fraternelles. Dans la place nous nous voyons
26Mai/11Off

TCHERNOBYL BIS REPETITA ?

La CRIIRAD publie ce jour la carte qui prouve que la France a été contaminée dès le 22 mars 2011 : les masses d’air contaminé par les rejets radioactifs de la centrale nucléaire de FUKUSHIMA DAIICHI sont arrivées 2 jours avant la date indiquée par l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) ; elles ont affecté les trois quarts de la France (et non pas le seul sommet du Puy-de-Dôme) ; l’activité
de l’iode 131 particulaire était plus de 20 fois supérieure à celle annoncée pour le 24 mars.
La France métropolitaine n’a pas été touchée 48 heures après l’Europe septentrionale mais simultanément. Pour établir sa cartographie, la CRIIRAD s’est basée sur les chiffres de l’IRSN et de certains exploitants, chiffres qui ne figurent pas sur le site CRITER où se trouve, de source officielle, « l’ensemble des résultats de la surveillance spécifique du territoire français (métropole et DROM-COM) effectuée par l’IRSN dans le cadre du suivi de l’impact à très longue distance des rejets radioactifs de l’accident de Fukushima » mais sur le site du Réseau National de Mesure de l’environnement (RNM), curieusement délaissé au profit du premier en pleine gestion de crise.
La CRIIRAD a saisi ce jour, le Premier ministre, M. François FILLON, et le président de l’Autorité de Sûreté Nucléaire, M. André-Claude LACOSTE, d’une DEMANDE D’ENQUETE sur la chronologie des faits et les différents niveaux de responsabilités. Placé sous la tutelle conjointe de cinq ministères, l’IRSN intervient, en effet, comme appui technique du gouvernement et de l’ASN pour toutes les questions relatives à la radioprotection et à la surveillance radiologique du territoire français. Sur financement public, il est notamment chargé de « rendre compte de la réalité des contaminations de l'environnement et des risques associés ».

25Mai/11Off

Verso Venezia 2012 !!! (vers Venise 2012)

Il est vrai que 2012 c'est pas demain, mais la décroissance est un projet qui voit loin. Loin dans le future et loin dans le monde. La décroissance est obligatoirement internationaliste.

(Traduction italienne non garantie)

La IIIème Conférence internationale sur la décroissance se tiendra en Italie, à Venise, du 19 aux 23 Septembre 2012 ! ! ! L'association pour la Decrescita  portera en Italie l'édition du 2012 de la Conférence internationale sur la décroissance, pour la soutenabilité et l'équité sociale. Ils ajouterons un détail thématique pour l'édition italienne : LA GRANDE TRANSITION. La décroissance comme passage de civilisation. Nous entamons à imaginer " Verso Venezia 2012"  , le parcours qui en un an et les moyens qui nous porterons à la Conférence ! Pour participer à la construction de ce parcours écrivez nous à : venezia2012@decrescita.it. Ici tu peux télécharger le projet synthétique de la Conférence. Ici tu peux voir un écran qui montre les premiers pas de l'organisation de la conférence.

Le ROC06 se prend à rêver qu'il pourrat, nous l'espérons, y participer. Mais nous restons certainement les Objectrices et Objecteurs Français les plus proches.

23Mai/11Off

RENDEZ-VOUS DES OBJECTEURS DE CROISSANCE PACA EN JUILLET

Le Réseau Objection de Croissance des Alpes Maritimes participera certainement au rendez-vous des objectrices et objecteurs de croissance. Nous organiserons un coovoiturage qui partira de Nice le 22 et reviendra à Nice le 24. Pour tous renseignement sur ce coovoiturage laissez un message sur le répondeur du ROC06 : 09.72.25.52.01 ou envoyez un mail à contact@roc06.fr.

Voici l'invitation qui nous a été envoyez par Caroline Sarrion et Jean-Luc Danneyrolles.

Nous vous invitons à nous retrouver le week-end du 22 23 24 juillet dans le Lubéron à Saignon La Molière Saignon - 84400 Apt
le plan est ici sur un campement autogéré. Afin de partager nos expériences de transition, nos combats, nos idées dans une ambiance festive et pleine d'étoiles.
Atelier prévu pour l'instant : comment sortir du nucléaire maintenant.
D'autres ateliers sont possibles, à vous de les proposer.
Nul besoin d'être spécialiste, vous pourrez simplement proposer une tribune de discussion qui vous tient à cœur.
Nous croiserons l'Alter Tour le 22 juillet.
Merci de vous inscrire pour que nous puissions compter les repas en envoyant un mail à paca@lesobjecteursdecroissance.org

Pour tout renseignement complémentaire :

Contactez :

Caroline Sarrion du Mouvement des Objecteurs de Croissance au 06 03 42 63 37 ou par mail : ocmars@free.fr

ou

Jean-Luc Danneyrolles au 06 87 25 40 74 ou par mail : lepotager@wanadoo.fr, Jean-Luc qui nous recevra dans son Potager d'un Curieux, qui est un curieux potager.

23Mai/11Off

La transition énergétique

Lors de l'émission radiophonique sur la transition énergétique du  7 mai à 9H00, Caroline Sarrion du Mouvement des "Objecteurs de Croissance" en PACA présentez "La transition énergétique pour le magazine hébdomadaire "Demain la Terre" de Gille Nalbonne sur La radio Chretienne de Marseille Provence "DIALOGUE". Caroline Sarrion militante sur Marseille est pour nous les OC de tous poils, notre lanterne qui nous éclaire dans ce monde parfois sombre. Cet émission à été enregistré et vous pouvez l'écouter ici : http://ocmars.free.fr/la-transition-energetique-mai-2011-radio.mp3 .

Nous envoyons encore milles mercis à Caroline pour son dévouement, son engagement aux objectifs de la décroissance.

http://lesobjecteursdecroissance.org


16Mai/11Off

Menace sur le Centre Hospitalier Sainte-Marie à Nice : la lutte continue !

Les 5 000 salariéEs des 5 établissements psychiatriques de l’Association Hospitalière de Sainte Marie, refusent la remise en cause de l’accord d’entreprise négocié en 1973.

Après 2001 et 2009, l’Inspection Générale des Affaires sociales (IGAS) remettait en 2010 son troisième rapport concernant la situation de l’hôpital de Nice. Ce document soulignait la mise en insécurité des patientEs et du personnel, et dénonçait des conditions d’hébergement jugées indignes. Ce rapport soulignait également clairement que le CH de Nice ne continuait de fonctionner que grâce au travail et au professionnalisme des personnels soignants et techniques, soit environ 1100 employéEs.

Malgré ces constats alarmants, la Direction Générale de Sainte-Marie préféra pratiquer la politique de l’autruche et ignorer les injonctions de l’IGAS, menaçant directement l’établissement de Nice de fermeture.

Face au déficit du Centre Hospitalier de Nice, l’unique solution jusqu’alors proposée par la Direction Générale et l’Autorité Régional de Santé (ARS), a été de s’attaquer à l’accord d’entreprise afin de faire payer la note à l’ensemble des salariéEs. S’est ensuite ajouté, un plan de redressement, prévoyant la fermeture d’environ 200 lits sur 480 qui entrainerait la suppression de postes et nuirait gravement à la qualité des soins
apportés aux patientEs hospitaliséEs en psychiatrie.

Cette situation catastrophique est pourtant la conséquence directe de l’incompétence et de l’irresponsabilité de la Direction et des sous-dotations accordées par les pouvoirs publics.

Face au danger, l’intersyndicale (CGT-CFDT-FO-CFE-CGC) de Nice a décidé d’une première manifestation le 9 mai dernier. A cette occasion, plus de 250 employéEs (personnels technique et soignant rassemblés) se sont mobiliséEs bloquant la circulation routière aux abords de l’hôpital Sainte Marie.

Le 11 mai, plus de 1200 salariéEs, venuEs de l’ensemble des hôpitaux psychiatriques de l’association : Clermont Ferrand, Privas, le Puy en Velay, Rodez et Nice ont convergé à Chamalières au siège de Sainte Marie pour manifester leur colère et leur inquiétude.

L’intersyndicale reçue en commission paritaire, a essuyé un premier refus de négociation de la part de la Direction. Les salariéEs ont alors réussi à forcer les grilles sous les gaz lacrymogènes des CRS et à pénétrer dans l’enceinte de l’établissement.

Face à la détermination des employéEs, la Direction a tout d’abord demandé à la Directrice du Centre Hospitalier de Nice de se retirer de la table des négociations et finalement annoncé que l’accord d’entreprise ne serait pas dénoncé.

C’est une première et belle victoire pour l’ensemble des salariéEs de Sainte Marie, même s’il ne faut pas oublier que l’établissement de Nice reste toujours menacé.

Le ROC06 soutient les salariéEs du Centre Hospitalier Sainte-Marie dans leur action et leur détermination, lorsque la société mets au banc les patientEs et les employéEs du secteur médico-social, on est en droit de se demander quelles urgences et quelle avenir on nous réserve.