R.O.C. 06
25Juin/14Off

Rencontre nationale des jardins partagés

Le 4 juillet 2014 à Lille
Le réseau national des jardins partagés (JTSE) invite jardiniers et porteurs de projet à participer à une journée de rencontres et d’échanges entre acteurs des jardins partagés.

PDFRetrouvons-nous au Jardin des Drôles d’Waz’eaux à Lille le 4 juillet pour enrichir ensemble la dynamique nationale de nos jardins, accueillis par l’association des Amis des Jardins Ouverts et Néanmoins Clôturés (A.J.O.N.C.)

Au programme

  • Echanges d’expériences
  • Présentation de la charte La terre en partage
  • Repas partagé (apportez une spécialité de votre région à manger ou à boire) - Four à pain - Musique
  • Découverte de jardins partagés à vélo, en métro ou en voiture
  • Fête en soirée au Jardin des Re)trouvailles (lectures musicales, grillades, bar bio...)
  • Possibilité de prolonger la journée le lendemain avec d’autres fêtes sur d’autres jardins...

Informations

  • Le vendredi 4 juillet 2014 à partir de 10h
  • Jardin des Drôles d’Waz’eaux, rue de l’Hôpital St-Roch à Lille-Wazemmes.
  • Possibilité d’être hébergé chez l’habitant
  • Renseignements sur l’accueil et la programmation : A.J.O.N.C - 03 28 550 330
24Juin/14Off

Une douce révolte.

Une douce révolte Bande Annonce from LUX FUGIT FILM on Vimeo.

Voyage dans les interstices d’un monde parallèle à celui du capitalisme dominant.

unedoucerevolte.com

Nous vivons sans doute la crise globale la plus importante de l’histoire de l’humanité: à la fois écologique, financière, sociale, sanitaire, humaine et démographique.

« UNE DOUCE REVOLTE » va tenter de décrire, de comprendre et de questionner les démarches qui se développent sous différentes formes et qui visent à une transformation de la société dans ses fondamentaux : l’économie, le politique, la finance et l’action citoyenne. Des démarches qui n’en restent pas à l’indignation mais qui passent à l’action…

Encore plus d'infos sur le film ici : unedoucerevolte.com
Vous aimez le projet ?? Dites le autour de vous 🙂 et aussi ici : facebook.com/unedoucerevolte

22Juin/14Off

Demain la décroissance n°13 [Michel Lepesant]

Vidéo enregistré ce mois de mai 2013 par Christian Laurut dans le cadre d'une série d'enregistrement qu'il fait sur la question de la décroissance. Disons d'emblée que pour Michel la décroissance, ce n'est pas "demain" mais dès aujourd'hui, sans attendre, dans les alternatives concrètes et les expérimentations minoritaires.

22Juin/14Off

Le grand réinventaire : [Buen vivir]


Buen vivir - Corinne Morel-Darleux par legrandreinventaire

Le grand réinventaire est un abécédaire vidéo en ligne. Des contributions politiques sensibles pour mettre en commun les pensées et les engagements de la gauche radicale, des luttes sociales et de l'écologie politique.
L'idée est pour le moins très originale de faire revisité par des personnes publiques de gauche certain concept et pendant quelques jours nous mettrons certains de ces mots sur notre site. Ca aide à resituer certains concepts, certains arguments dans nos têtes bien souvent a la mémoire fragile. Nous souhaitons longue vie au grand reinventaire et le remercions de ce travail.

www.legrandreinventaire.fr

21Juin/14Off

Le grand réinventaire : [Gros mots]


Gros mots - Paul Ariès par legrandreinventaire

Le grand réinventaire est un abécédaire vidéo en ligne. Des contributions politiques sensibles pour mettre en commun les pensées et les engagements de la gauche radicale, des luttes sociales et de l'écologie politique.
L'idée est pour le moins très originale de faire revisité par des personnes publiques de gauche certain concept et pendant quelques jours nous mettrons certains de ces mots sur notre site. Ca aide à resituer certains concepts, certains arguments dans nos têtes bien souvent a la mémoire fragile. Nous souhaitons longue vie au grand reinventaire et le remercions de ce travail.

 

www.legrandreinventaire.fr

17Juin/14Off

LA POSSIBILITÉ D’ÊTRE HUMAIN [Pablo Girault, Thierry Kruger]

À travers l’art et les outils primitifs, nous découvrons les prémices de l’humanité. Puis le film, à l’instar de notre société moderne, opère un basculement : l’agriculture et son évolution, la révolution industrielle et la nouvelle ère techno-scientiste. Derrière la technique et les machines nous entrevoyons le travail, notamment le salariat intimement lié à la (sur)consommation.

Quelle est la place du travail ? L’argent est-il encore un moyen ? Le consumérisme est-il indissociable de notre monde ? L’écologie sincère peut-elle faire le poids face au greenwashing?

Un « docutopique » sur la société postmoderne par les auteurs de Sous les pavés, la terre !

« Lorsque l’Homme se résigne à ne plus être à la mesure de son monde, il se dépossède de toute mesure. » Jacques Ellul

Voici différentes bandes d'annonces :


La possibilité d'être humain - BANDE ANNONCE par docutopie


La possibilité d'être humain - BANDE ANNONCE 2 par docutopie


Interview de Thierry Kruger sur Aligre FM :

Entretien avec Thierry Kruger - La possibilité... par docutopie

14Juin/14Off

Le grand réinventaire : [Gratuité]

Gratuité - Paul Ariès par legrandreinventaire

Le grand réinventaire est un abécédaire vidéo en ligne. Des contributions politiques sensibles pour mettre en commun les pensées et les engagements de la gauche radicale, des luttes sociales et de l'écologie politique.
L'idée est pour le moins très originale de faire revisité par des personnes publiques de gauche certain concept et pendant quelques jours nous mettrons certains de ces mots sur notre site. Ca aide à resituer certains concepts, certains arguments dans nos têtes bien souvent a la mémoire fragile. Nous souhaitons longue vie au grand reinventaire et le remercions de ce travail.

www.legrandreinventaire.fr

12Juin/14Off

Le grand réinventaire : [Antiproductivisme]


Anti-productivisme - Paul Ariès par legrandreinventaire

Le grand réinventaire est un abécédaire vidéo en ligne. Des contributions politiques sensibles pour mettre en commun les pensées et les engagements de la gauche radicale, des luttes sociales et de l'écologie politique.
L'idée est pour le moins très originale de faire revisité par des personnes publiques de gauche certain concept et pendant quelques jours nous mettrons certains de ces mots sur notre site. Ca aide à resituer certains concepts, certains arguments dans nos têtes bien souvent a la mémoire fragile. Nous souhaitons longue vie au grand reinventaire et le remercions de ce travail.

www.legrandreinventaire.fr

8Nov/13Off

Quels sont les besoinS politiqueS de la décroissance ? [Michel Lepesant]

Un très bon article de notre ami Michel Lepesant, je vous recommande la lecture de son blog qui permet de garder la tête dans les nuages en ayant les pieds sur terre : http://decroissances.blog.lemonde.fr

Et si la « décroissance » cessait de n’être qu’un slogan ou un mot pour ambitionner de s’imposer dans toutes les discussions politiques, par des propositions à la fois enthousiasmantes et pragmatiques. Non pas pour se contenter de dire « objection », « adieu » ou « halte » à la croissance mais bien pour demander comment « dé-croître » : comment passer démocratiquement du monde de la croissance à d’autreS mondeS possibleS, ceux de l’a-croissance ?

Ne cachons pas qu’une telle « hégémonie culturelle » devrait d’emblée affronter deux variantes de l’à-quoi-bon-isme. Pour les « sécessionnistes », à quoi bon partir du monde tel qu’il existe pour penser les transitions et les transformations sociales et écologiques puisque, à ne refaire que ce qui a déjà été fait, on n’obtiendra que ce que l’on a toujours obtenu : rien. Pour les partisans de la capitulation, à quoi bon rêver d’autreS avenirS puisque les catastrophes, démographique, nucléaire, climatique rendent tous les projets vains ? La nécessité fera loi et le royaume de la liberté n’est qu’une chimère.

Dans les deux cas, le refus de « faire et penser la transition » se réduit au rejet de « la » politique. C’est, à la fois, contre le productivisme « et son monde » et contre ces à-quoi-bon-istes que nous proposons deS politiqueS de la décroissance.

Ecrivons tout cela autrement : je n’ai pas découvert la « décroissance » en lisant des livres ou en écrivant sur des listes internet. Engagé dans des expérimentations minoritaires, amap, coopérative de producteurs-consommateurs, monnaie locale complémentaire, j’ai très vite osé prendre conscience que, malgré toute la révérence que je portais au socialisme utopique, l’essaimage de nos alternatives concrètes n’était qu’une fable. Mais, chut, surtout faire attention à ne désespérer ni les colibris, ni Notre-Dame des Landes…

Et pourtant je sais que dans une époque obscure[1], il faut sans illusion et sans attendre passer par les alternatives concrètes à taille humaine. Il n’est plus temps pour jouer les prophètes (de bonheur comme de malheur), il n’est plus temps de s’en remettre aux lendemains des victoires électorales ou insurrectionnelles (victoires qui ne viennent jamais ; car, une victoire, faute d’hégémonie culturelle, n’est en réalité qu’un soin palliatif).

Une « alternative concrète », c’est d’abord une « expérimentation minoritaire » qui porte sur les besoins humains essentiels, y compris ceux de « haute nécessité » : alimentation, logement, santé, éducation, culture, toutes ces interdépendances qui conditionnent une autonomie généralisée de la vie… Mais, ces expérimentations, qui sont nécessaires, sont insuffisantes et c’est pourquoi elles doivent s’articuler avec un « travail idéologique de projet » et avec des « visibilités » : leS politiqueS de la décroissance. Le « terrain » à lui seul est insuffisant.
Nous n’avons pas seulement besoin de vivre autrement, nous avons aussi besoin de penser autrement et d’agir autrement.
Chacun de ces trois « pieds » (même pratiqué de façon ascendante), s’il se croit suffisant, devient « abstrait ». Explicitement, cela signifie que la cohérence d’un projet idéologique (le « nouveau paradigme ») est peine perdue si elle ne se nourrit pas de la pratique des expérimentations sociales et des dissensus propres aux débats politiques. Cela signifie qu’il est bien inutile de battre les estrades électorales si les revendications ne sont articulées ni à des pratiques déjà réelles et désirables ni à la cohérence d’un projet radical de transition.

 

La suite c'est ici : http://decroissances.blog.lemonde.fr/2013/11/05/zindignees-8/

30Août/13Off

3è FORUM SUR LA DESOBEISSANCE

LE 26 OCTOBRE 2013 A GRIGNY (RHONE)

René BALME, maire de Grigny et Paul ARIES, directeur de publication de La Vie est à nous/Le Sarkophage, renouvellent leur association pour l’organisation du 3è Forum sur la Désobéissance. Le Bien Vivre, les Jours Heureux du programme du Conseil national de la Résistance et la Biennale d’art contemporain seront à l’honneur pour cette édition 2013.
APPEL de René BALME, maire de Grigny (Rhône) et Paul ARIES, directeur de publication de La Vie est à nous/Le Sarkophage

La France, à genoux économiquement mais debout politiquement, avait su en 1944 inventer des « Jours heureux » (titre du programme du Conseil national de la Résistance). Le monde est aujourd’hui assez riche pour écrire de nouveaux jours heureux. Nous devons pour cela être à l’écoute de tous les nouveaux gros mots qui se cherchent internationalement pour dire les nouveaux chemins de l’émancipation :

Le « sumak kaway » des indigènes indiens, le « buen vivir » des gouvernements équatoriens, boliviens, la « vie pleine » de Rigoberta Menchu (Prix Nobel de la paix 1992), le « bonheur national brut » en Asie, la « sobriété prospère », la « frugalité joyeuse » ou encore les « besoins de haute urgence » des poètes liés au mouvement social en Guadeloupe, etc.

A l’occasion des 70 ans du programme du Conseil national de la Résistance, la Ville de Grigny (Rhône) et le journal La Vie est à nous/Le Sarkophage appellent à imaginer ensemble ce que pourrait être un bien vivre à la française :

Parce que désobéir c’est ne pas désespérer et dire qu’un autre monde est possible
Parce que désobéir c’est vouloir chanter au présent plutôt que de croire aux lendemains qui chantent
Parce que désobéir c’est se mettre à l’écoute des plus pauvres, pays ou individus
Parce que désobéir c’est accepter les cadeaux que nous font les pays du Sud, avec des concepts comme le buen vivir, l’anti-extractivisme, le pachamamisme
Parce que désobéir c’est inventer notre propre version de ces concepts en construction
Parce que désobéir c’est construire ce pont entre résistants d’hier et d’aujourd’hui

Ce grand forum national, ouvert à toutes et à tous, co-organisé par la Ville de Grigny et le journal La Vie est à nous/Le Sarkophage se tiendra sur une journée pleine :

SAMEDI 26 OCTOBRE 2013 de 9h à 22h, à GRIGNY - RHONE (Centre Edouard Brenot, rue Waldeck Rousseau)

Nous partagerons le matin les expériences des pays pauvres (Bolivie, Equateur, Inde, Bhoutan, etc). Nous mutualiserons l’après-midi les expériences pour construire un bien vivre à la française. Nous solliciterons, pour le succès de ce 3e forum national de la désobéissance, des associations, des syndicats, des partis pour inventer ensemble ces nouveaux jours heureux. Nous nous saisirons de la Biennale d’art contemporain qui fera escale à Grigny, pour affirmer que la culture fait partie intégrante de cet art de vivre à construire. Cette journée se conclura par un grand banquet désobéissant et un spectacle.

Hébergement gratuit possible en gymnase sur réservation (s’équiper de son matelas et de son couchage) à : Mairie de Grigny - Protocole - tél. 04 72 49 52 75 et courriel : protocole@mairie-grigny69.fr

Contact : Mairie de Grigny - Cabinet du maire - tél. 04 72 49 52 34 et courriel : cabinetdumaire@mairie-grigny69.fr