R.O.C. 06
9Août/12Off

1ERE FOIRE DE PRODUCTEURS BIO DES ALPES-MARITIMES!!

Dans le cadre de la campagne nationale "Bio et local, c’est l’idéal !", Agribio 06 organise une foire de producteurs bio axée sur l’alimentation, la biodiversité cultivée et les circuits-courts.

Dimanche 23 septembre 2012 au Lycée Horticole d’Antibes
1285 avenue Jules Grec 06600 Antibes
Entrée et parking gratuit de 9h à 21h


A la une

Marché bio : 50 agriculteurs bio des Alpes-Maritimes Agribio 06 réunit dans un même marché un grand nombre de producteurs bio des Alpes-Maritimes. Toutes les filières seront représentées et vous pourrez trouver tous les produits frais de saison (une grande variété de légumes tomates, courgettes, aubergines, poivrons, oignons frais, radis, blettes, salades…) ainsi que les produits emblématiques des (Lire la suite)
Les Toques Brûlées cuisinent la biodiversité ! (dégustation) A l’heure de l’apéritif, Agribio 06 lance un nouveau défi aux Toques brûlées, ces jeunes Chefs de cuisine officiants dans tous types de tables devront improviser des préparations culinaires avec le panier du marché. A la différence près que cette fois ce sont les variétés « anciennes » qui seront mises à l’honneur ! et plus particulièrement les légumes du (Lire la suite)

Repas 100% bio local (12€ sur réservation) Repas 100% BIO local. Réservez votre repas dès maintenant en envoyant votre bulletin d’inscription téléchargeable en ligne ! Les produits qui composent le repas sont des produits locaux, cultivés par les agriculteurs bio des Alpes-Maritimes (sauf le riz bio provenant de Camargue), cliquer pour voir le menu…. Des assiettes gourmandes, sandwichs, (Lire la suite)

Quatre conférences : santé - souveraineté alimentaire - biodiversité - ruralité
« Comment manger sain en 2012 ? » (10h00) avec Dr Laurent Chevallier, Médecin nutritionniste ;
« Rurals ou la convergence des rustres » (14h00) conférence gesticulée avec Hervé Chaplais ;
"Quelle utilisation des terres en France et en PACA à l’horizon 2050" (15h30) par Charlotte Bordet de Solagro ;
Les « gardiens de semences », débat et projection du (Lire la suite)

Animations pour petits et grands !
Les agriculteurs bio et leurs partenaires partagent leur savoir faire et leur passion : Dégustation de lait de chèvre et fabrication de faisselles, Fabrication de compote/confiture, de cosmétique bio, Stand sur l’éco-construction, parc à volailles et animaux, "Oléologie", découverte de l’apiculture bio, "Tous au jardin" : atelier créatif autour des (Lire la suite)

Bourse aux semences et aux plants bio et non traité

Cet espace est dédié aux jardiniers amateurs pour favoriser la biodiversité cultivée et la multiplication de semences de variétés potagères locales et la production alimentaire de proximité. En ville aussi les habitants peuvent produire une partie de leur alimentation en bio grâce aux jardins familiaux, aux potagers de balcons et de terrasses. Bio de (Lire la suite)

RETROUVEZ TOUT LE PROGRAMME DE LA FOIRE DE PRODUCTEURS BIO SUR www.foirebioetlocal.fr

Agribio 06 a pour objectif de développer et promouvoir l’agriculture biologique dans les Alpes-Maritimes car Bio et Local, c’est l’idéal !

Contact : Agribio 06 04 89 05 75 47 / agribio06@bio-provence.org

9Août/12Off

La cour de justice contre les semences fermières

Paru sur : biosphere

LE MONDE* fait un encart sur « La justice européenne contre les semences libres ». Il ne remet pas en question les motivations croissancistes de la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) : « La Cour estime que l'objectif premier des lois européennes en vigueur "consiste à améliorer la productivité des cultures de légumes" ce qui impose l'obligation de ne commercialiser que des semences de légumes recensées dans des catalogues officiels. » Alors laissons la parole à l’association Kokopelli qui a perdu un procès qui devait être gagné :

« Un changement de cap absolu qui ne manque pas de surprendre. La Cour de Justice, par sa décision rendue aujourd'hui dans l'affaire Kokopelli c. Baumaux, vient de donner un satisfecit intégral à la législation européenne sur le commerce des semences. Pourtant, le 19 janvier dernier, son Avocat Général nous donnait entièrement raison, en estimant que l'enregistrement obligatoire de toutes les semences au catalogue officiel était disproportionné et violait les principes de libre exercice de l'activité économique, de non-discrimination et de libre circulation des marchandises. (V. ses conclusions)

La Cour, aux termes d'une analyse étonnement superficielle de l'affaire, et d'une décision qui ressemble plus à un communiqué de presse qu'à un jugement de droit, justifie l'interdiction du commerce des semences de variétés anciennes par l'objectif, jugé supérieur, d'une "productivité agricole accrue" ! L'expression, utilisée 15 fois dans la décision de la Cour, consacre la toute puissance du paradigme productiviste. Ce même paradigme, qui avait présidé à la rédaction de la législation dans les années soixante, a donc encore toute sa place en 2012. La biodiversité peut donc être valablement sacrifiée sur l'autel de la productivité. Cela fait 50 ans que cela dure et le fait que ce raisonnement nous ait déjà amenés a perdre plus de 75% de la biodiversité agricole européenne n'y change donc rien. (V. les estimations de la FAO)

Si la Cour mentionne les dérogations supposément introduites par la Directive 2009/145 pour les "variétés de conservation", son analyse s'arrête à la lecture des grands titres. Comment les juges n'ont-ils pas voulu voir que les conditions d'inscription des variétés de conservation, dans la réalité, étaient restées pratiquement identiques à celles du catalogue officiel normal [1]? Le critère d'homogénéité, par exemple, particulièrement problématique pour les variétés anciennes, ne connaît aucune modération. La Cour n'a-t-elle pas lu les témoignages de nos collègues européens, déjà confrontés à des inscriptions impossibles de leurs semences sur cette liste ? Cette directive est un véritable leurre, que Kokopelli et tant d'autres organisations européennes ont déjà dénoncé, et ne vise pas à permettre la commercialisation des variétés anciennes ni même à conserver la biodiversité semencière.

De plus, cette biodiversité, qui a nourri les populations européennes pendant les siècles passés, est l'objet de la plus grande suspicion. La Cour va ainsi jusqu'a écrire, par deux fois, que la législation permet d'éviter "la mise en terre de semences potentiellement nuisibles" ! Cette remarque est totalement erronée puisque, comme l'avait justement relevé l'Avocat Général, l'inscription au Catalogue ne vise pas à protéger les consommateurs contre un quelconque risque sanitaire ou environnemental, auquel la législation ne fait même pas référence ! Cette remarque, surtout, est choquante, quand on pense que les semences du Catalogue, enrobées des pesticides Cruiser, Gaucho et autres Régent, ou accompagnées de leur kit de chimie mortelle, empoisonnent la biosphère et les populations depuis plus de cinquante ans !

Le lobby semencier (European Seed Association), qui a pris le soin, pendant le cours de la procédure, de faire connaître à la Cour son désaccord avec l'avis de l'Avocat Général, se réjouit, dans tous les cas, de cette totale convergence de vues avec la Cour. (V. son communiqué et sa lettre adressée à la Cour.) Nos adversaires directs dans cette procédure, c'est-à-dire la société Graines Baumaux, mais aussi la République Française, le Royaume d'Espagne, la Commission Européenne et le Conseil de l'UE, doivent également s'en frotter les mains.

Avec cette décision, les masques tombent : la Cour de l'Union Européenne est, elle aussi, au service de l'agriculture chimique mortifère et de son idéologie corruptrice. Tout cela se comprend par l'examen du contexte dans lequel prend place cette décision : en Europe, une réforme générale de la législation sur le commerce des semences est en cours. La procédure est placée sous le haut parrainage de l'industrie semencière. Les associations de sauvegarde de la biodiversité, petits producteurs, paysans et jardiniers passionnés, qui, à travers toute l'Europe, conservent clandestinement plus de variétés oubliées que tout ce que le catalogue des variétés appropriées n'en pourra jamais contenir, n'ont pas été invitées à la table des négociations…

Verra-t-on, dans ce cadre, le législateur européen redéfinir ses priorités ? Les semenciers veilleront à ce que cela ne soit pas le cas. La France, dans ce cadre, joue un rôle particulier. Le Ministère de l'Agriculture a dépêché l'une des collaboratrices du GNIS [2], Mme Isabelle Clément-Nissou, auprès de la Commission Européenne (DG SANCO), afin de rédiger le projet de loi ! Mais les conflits d'intérêt, inadmissibles, ne semblent choquer personne au niveau des institutions européennes…

Ainsi, l'étau se resserre et les perspectives pour la biodiversité n'ont jamais été aussi sombres. Et l'Association Kokopelli, qui depuis 20 ans veille avec passion à la préservation du patrimoine semencier européen, bien commun de tous, sans la moindre subvention publique, pourrait donc bien disparaître demain, car son activité, qui gêne l'une de nos sociétés commerciales les mieux installées, ne présente pas d'intérêt pour une "productivité agricole accrue". Cette décision nous sidère, autant qu'elle nous indigne.

Kokopelli, le 13 juillet 2012

[1] La directive 2009/145 prévoit que les critères de distinction et de stabilité sont laissés à la discrétion des Etats membres et que, par contre, «pour l'évaluation de l'homogénéité, la directive 2003/91/CE s'applique» : art. 4 §2

[2] Le GNIS représente les semenciers professionnels en France et dit officiellement «défendre les intérêts de la filière semence» � V. son site Internet

* LE MONDE du 3 août 2012

8Août/12Off

Afterres2050 : Scénario d’utilisation des terres agricoles et forestières pour satisfaire les besoins en alimentation, en énergie, en matériaux et réduire les gaz à effet de serre

de Boris
Source : Solagro

Voir aussi

Dans l'attente du mémento méthodologique qui permettra de rentrer dans les entrailles d'Afterres2050 (publication programmée pour juin 2012), nous vous proposons ce document (version de septembre 2011), qui est la synthèse du "Premier" Afterres2050

Les principaux résultats peuvent se résumer ainsi :
Un mix 50 % agriculture biologique / 50 % agriculture intégrée (à ne pas confondre avec l'agriculture "Raisonnée") peut nourrir la France et quelques voisins en 2050 mais notre assiette et nos paysages sont vraiment différents,
La ration alimentaire contient plus de céréales, de fruits et légumes et beaucoup moins, de viande, de sucre et de lait.
Les sols ne sont jamais nus - notamment en hiver - et une parcelle délivre jusqu’à 6 « productions » - céréales,engrais verts, fruitiers, bois d’oeuvre, .. -, contre une aujourd’hui.
Les troupeaux ont fortement réduit leurs effectifs.
Ces « bouleversements » libèrent 5 à 8 millions d’ha susceptibles de satisfaire d’autres
besoins : production de biomasse pour l’énergie, la chimie verte ou les matériaux de
construction, …
Les émissions de gaz à effet de serre de la filière agricole et alimentaire ne sont toutefois
divisées que par 2 (et non par 4). Ce qui, dans une stratégie globale Facteur 4 peut conduire à :
déplacer certains curseurs de ce scénario déjà très ambitieux pour atteindre le facteur 4 (e qui nous semble somme toute assez difficile,...
sévériser la feuille de route énergie/climat d'autres secteurs d'activités : les transports, le bâtiment, ...
Le débat est en tous cas, ouvert.

p

31Juil/12Off

Les rencontres écocitoyennes à Mérindol

Rendez-vous de l'écologie régionale, organisé par AME (Action Mérindol Environnement) et APTE (Association pour la Promotion des Techniques Écologiques), insistant sans relâche depuis 12 ans sur les économies d'énergies, de matières premières et les énergies renouvelables, toujours plus engagées « les Rencontres Éco-citoyennes » de Mérindol accueillent chaque année de 10 000 à 15 000 visiteurs.
Thèmes abordés :
- Habiter Autrement
- Vivre Autrement avec « Le Village de la Transition »
- Solidarités Internationales
- Animations

http://www.rencontres-ecocitoyennes.org

26Juil/12Off

Solidarité avec Kokopelli : non à la marchandisation du vivant !

La marchandisation et le brevetage du vivant viennent de franchir une étape supplémentaire.

La Cour de l’Union Européenne, de fait à la botte de l’agriculture chimique mortifère et des sociétés transnationales commercialisant les OGM qui visent à breveter le vivant, vient de condamner l’association Kokopelli au profit de la société Graines Baumaux. Au-delà de ce semencier, c’est tout le lobby semencier et même Monsanto avec les sociétés qui commercialisent les OGM qui se frottent les mains.

Le Parti pour la Décroissance exprime sa totale solidarité à Kokopelli, association
implantée dans plusieurs pays émergents où elle accomplit un travail remarquable, formant les populations à de meilleures pratiques culturales et distribuant gratuitement des semences à des petits agriculteurs ruinés par les grandes compagnies semencières. Kokopelli veut sauver les semences de variétés potagères anciennes de la disparition, les protégeant contre l’hégémonie du cartel des semenciers qui réduisent gravement la biodiversité en limitant les variétés potagères à quelques hybrides F1 non reproductibles. Le but inavoué de cette manœuvre étant d’assurer la mainmise sur la population mondiale en la rendant dépendante de son alimentation comme veut le faire Monsanto en rendant les paysans dépendant de semences qu’ils ne peuvent ressemer.
Il n’y a pas de raison de soumettre des semences ancestrales à une procédure préalable de
mise sur les marchés.

Cette loi interdit de fait les variétés anciennes, héritage de nos grands-parents !

Il est essentiel de préserver les semences locales, il est essentiel de préserver la liberté des paysans d’utiliser et d’échanger leurs propres semences. C’est une réforme générale de la législation sur le commerce des semences qui est en cours. Les petits paysans, les jardiniers, les paysans africains, les associations qui conservent et distribuent des semences anciennes n’ont pas été invités à la table des négociations.

Condamnée par la loi française en 2005 en première instance, Kokopelli s’était pourvue
devant la cour européenne de justice. Avec un certain optimisme, car l’avocat général de la cour européenne, Mme Kokott, estimait elle-même que Kokopelli était dans son bon droit de commercialiser des variétés anciennes de semences potagères.

L’arrêt de la cour européenne est tombé le 12 juillet 2012. Contre toute attente, la cour donne raison aux semenciers et interdit à Kokopelli de poursuivre son activité, tout en condamnant l’association à 100 000 euro de dommages et intérêts ! Il semble que le lobbying ait
fonctionné efficacement car cette décision défie toute logique démocratique. Il laisse planer un doute sévère sur les réelles intentions des instances européennes à l’égard du brevetage du vivant et menace l’avenir de nos enfants.

Nous attendons du gouvernement « de gauche » de Jean-Marc Ayrault une prise de position claire et ferme sur ce sujet.
Quant à nous, face à cette atteinte à notre indépendance alimentaire, nous affirmons le droit des paysans et de tous les individus à utiliser, à ensemencer, à échanger et même à vendre leurs propres semences, le droit et le devoir de touTEs à désobéir à une loi scélérate.

Parti pour la Décroissance

11Juil/12Off

L’opération Terra ségurana en pleine reconquête des terres – OIN plaine du Var

L'opération Terra Segurana menée conjointement par le Collectif "O.I.N. Plaine du var : pour un débat citoyen" et le Mouvement Citoyen du Pays Niçois suit son chemin et fait de plus en plus d'émules :

Tous les week-ends au 303 avenue sainte marguerite:

Travail de la terre, Repas partagé & Discussion sur nos actions

REJOIGNEZ-NOUS UN SAMEDI ET/OU UN DIMANCHE A PARTIR DE 10H !

En savoir plus sur l'OIN plaine du var sur cocomagnanville c'est ICI et ICI


Plans et semences part 5 par f1498309762

Collectif OIN plaine du Var

11Juil/12Off

iNviTaTioN APéRO RéZo le 19/07/2012

Ce jeudi 19 juillet à partir de 19H00 au 4 rue Vernier à Nice (Tram arrêt libération)

INvITaTioN APéRO RéZo
Au local du futur café associatif
Visiter le local avant travaux prendre des nouvelles du projet court-circuit café et passer une soirée sympa autour d'une bière et d'un p'tit encas maison!!

Au programme:

19H00 Accueil ouverture du bar associatif "transitoire"
19h30 Projection du film "In transition" 45 minutes
20h15 Présentation du projet court circuit café et appel à bénévole!!
20h30 Pause apéro!
21h00 Concert : xxx

Un café associatif agriculturel, c'est quoi?
- Un lieu associatif, convivial et chaleureux, pour promouvoir des alternatives de consommation et de vie dans un contexte de transition
- Un lieu d'éducation populaire au sein duquel les gens de tout âge et de tous milieux
se retrouvent, échangent, s'informent notamment autour d'un fond documentaire, d'ateliers ou d'un bon repas !
- Une vitrine des initiatives locales, écologiques et solidaires.

9Juil/12Off

L’école du Colibri

Pourquoi cette pétition?

La disparition subite du principal mécène de l'école met en danger son action. Son soutien nous permettait de proposer des frais d’inscriptions accessibles afin de ne pas faire de cette école un projet éducatif élitiste.

L’inspection académique a reconnu cette école comme conforme pour un contrat « école privée sous contrat simple avec l’état ». Cependant, elle ne semble pas décidée à ouvrir un poste financé pour l'école pour l'année scolaire 2012/2013.

Cette pétition à pour objectif de convaincre les instances concernées de nous aider à pérenniser l'école en accélérant sa reconnaissance en école privée laïque pour la rentrée 2012 et obtenir ainsi le financement du poste de la directrice de l’école du Colibri Isabelle Peloux par l’éducation nationale pour la rentrée 2012.

L'école du Colibri

L’école du Colibri est une école élémentaire qui accueille 35 enfants depuis septembre 2006. Elle a été fondée par Michel Valentin, ancien chef d’entreprise et mécène, et sa femme Isabelle Peloux, formatrice de futurs enseignants et professeure des écoles.

Elle est soutenue par des pédagogues et personnalités renommés : Pierre Rabhi, Edgar Morin, Albert Jacquard et Philippe Meirieu.

Cette école hors les murs se trouve au centre d’une ferme en agroécologie, située dans la Drôme, dont les objectifs sont la transmission et la coopération. Sa particularité est d’apprendre aux enfants à devenir les adultes de demain dans un monde où coopérer sera indispensable.

L’école suit le programme scolaire de l’éducation nationale, c’est la manière d’enseigner, d’apprendre qui est différente car basée sur la coopération. L’école du Colibri est une véritable éprouvette du « Faire ensemble » qui possède des vertus sociales importantes.

Voici les points d’ancrage fort de son projet :

- Elle a maintenant 6 ans d’existence et participe à l’éducation de 75 enfants du territoire.

- Elle accueille des enfants en grande difficulté scolaire (environ 20% d’enfants suivis par la MDPH.)

- Il y a plus de 130 enfants en liste d'attente et l’adaptation au collège est très bonne.

- Elle propose des formations pour les enseignants en poste

- Elle accueille régulièrement des enseignants en poste pour des temps d’échanges sur leur recherche pédagogique.

- Elle permet, chaque année, à deux professeurs-stagiaires de se former.

- Elle est intégrée et reconnue par sa mairie car elle répond à un besoin local de scolarisation

Découvrez l'école : http://www.lesamanins.com/spip.php?rubrique5

Télécharger le dossier de la pétition : http://www.lesamanins.com/quelsenfants/petition/

http://www.avaaz.org/fr/petition/Permettre_a_lecole_elementaire_du_COLIBRI_des_Amanins_de_continuer_son_action/

 

4Juil/12Off

2ème forum européen contre les Grands Projets Inutiles Imposés

2ème forum européen contre les Grands Projets Inutiles Imposés
à Notre Dame des Landes (44 France) du 7 au 11 juillet 2012

Les identifier, les recenser, les combattre  !

Le week-end (7 et 8 juillet) sera une large rencontre entre la population et les différentes luttes européennes, ponctué par une grande action le dimanche matin.
Les trois jours suivants (9, 10 et 11 juillet) permettront de travailler sur de nombreuses thématiques (Rio+20, responsabilités partagées et différenciées du Nord et du Sud, GTII, transports, climat, énergie, alternatives, Grenelles passé et à venir) dans divers ateliers.

Le rassemblement sera animé tout au long par diverses concerts (Les Génisses dans l'maïs, Bred'Irie, Ke Onda, ZEP) expositions, films etc.

Tous les détails de cet évènement : http://relocalisons.wordpress.com/comment-participer/

29Juin/12Off

Le Foll interdit le pesticide Cruiser

paru sur : http://www.liberation.fr/

source AFP.

L'Agence sanitaire pour l'alimentation et l'environnement avait dénoncé les effets néfastes du pesticide pour les abeilles.

Le pesticide Cruiser OSR utilisé pour le colza et accusé de contribuer au déclin des colonies d’abeilles est définitivement interdit en France après la levée de l’autorisation de mise sur le marché, a annoncé vendredi le ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll.

Début juin, le ministère avait indiqué qu’il était favorable à cette interdiction à la suite d’un avis de l’Agence sanitaire pour l’alimentation et l’environnement (Anses), qui dénonçait l’impact néfaste sur les abeilles d’une des molécules actives du Cruiser, le thiaméthoxam.

Les arguments donnés par la société lors de la procédure contradictoire ne remettent pas en cause l’avis de l’Anses, a expliqué le ministre avant d’ajouter : «Donc, je confirme l’interdiction».

La procédure a été respectée, a-t-il également précisé. Le groupe suisse Syngenta qui commercialise le Cruiser OSR bénéficiait en effet de 15 jours pour faire part de ses observations.

L’avis de l’Anses avait été demandé fin mars par le précédent ministre de l’Agriculture, Bruno Le Maire, après la publication dans la revue Science d’une étude française attestant d’effets nuisibles du thiametoxam sur les abeilles.

Les abeilles qui consomment du nectar contenant la molécule à faible dose seraient susceptibles de troubles du comportement affectant leur capacité à revenir à leur ruche. Cet effet pourrait contribuer au déclin des colonies concernées, selon l’Anses.

Le thiametoxam est un insecticide de la famille des néonicotinoïdes, qui constitue une des trois substances actives du Cruiser OSR, utilisé pour le traitement du colza.

(AFP)