R.O.C. 06
27Avr/11Off

NON AU GAZ DE SCHISTE dans les Alpes Maritimes comme de partout dans le monde.

CONFERENCE / DEBAT PUBLIC

(Maison des associations) 288 Chemin de Saint Claude ANTIBES
VENDREDI 29 AVRIL de 18H30 à 21H00

LE COLLECTIF-06 « NON AU GAZ DE SCHISTE » et ATTAC-06 organisent cette rencontre pour sensibiliser les citoyens sur les dangers que constituent les explorations et l’exploitation des gaz de schiste.

De nombreux collectifs regroupant citoyens, organisations syndicales et associations se créent partout en France pour exprimer le refus pur et simple de ce projet et l’exigence de son arrêt immédiat.

Le PERMIS DE BRIGNOLES s’étale sur plus de 6.000 km2. Les conséquences de ces exploitations concernent la totalité du bassin Grassois et le VAR.

Le GOUVERNEMENT veut faire croire qu’il arrête l’exploitation des gaz de schiste alors qu’il gèle le processus en attendant que « l’environnement » fasse des projets de lois vides de sens.

Venez soutenir notre action pour la protection de notre santé, celle de nos enfants

ENTREE LIBRE !

http://www.gazdeschistes-collectif-06.over-blog.com/

26Avr/11Off

Exigez la démission de NKM-Jouzel !

http://www.contre-grenelle.org/?chemin=petition

Le gouvernement français appelle à faire de 2011 l'année de validation du Grenelle de l'environnement. La Ministre de l'écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet (NKM), invite à faire de la "juste adaptation" aux conséquences du réchauffement sa nouvelle priorité. Les deux premières phases sont déjà actées :

1 - consultation officielle en novembre des ex-participants du Grenelle pour convaincre notamment les ONG autoproclamées représentatives de devenir les porte-parole des politiques d'adaptation,

2 - caution scientifique apportée par Jean Jouzel, glaciologue, directeur de recherches au CEA (énergie atomique), ex-vice-Président du GIEC, mais aussi conseiller "écolo" d'Edf, président du Mouvement Universel de la responsabilité scientifique (MURS), réseau de scientifiques "scientistes", président du Haut conseil de la science et de la technique auprès de Sarkozy, parrain de la « climate week » (avec WWF, Fondation Hulot, Good Planet...), membre du Conseil de veille de la fondation Hulot... Jean Jouzel est chargé de produire d'ici juin 2011 le rapport officiel encadrant les politiques d'adaptation.

Ce processus devrait déboucher sur l'adoption du premier plan national d'adaptation au réchauffement climatique. Cette "juste adaptation" est l'aveu de l'échec des politiques néo- libérales en matière de combat contre le réchauffement. Elle est la preuve que le système ira jusqu'au bout de sa logique mortifère plutôt que de remettre en cause le dogme de la croissance.

Nous, initiateurs des deux premiers contre-Grenelle (2007 et 2009), organiserons, le 2 avril prochain, un troisième Contre-Grenelle. Cet événement aura lieu à Vaulx-en-Velin, la ville la plus pauvre du département du Rhône, signe qu'il n'y a pas d'union sacrée possible pour sauver la planète et que nous choisissons le camp des plus humbles (http://www.contre-grenelle.org/). Nous accusons la Ministre NKM d'avoir approuvé le pacte Hulot en 2006 en sachant que sous le masque du combat écolo-libéral se préparait l'adaptation de la planète, et demain, des humains aux besoins du productivisme (du toujours plus). Nous accusons la Ministre NKM d'avoir dirigé le Grenelle des dupes en sachant que sous le mirage des "technologies dites propres" se préparait l'adaptation de l'écologie aux besoins... des plus riches. Nous appelons Jean Jouzel (hier soutien de Ségolène Royal, aujourd'hui caution du système) à démissionner et à devenir un lanceur d'alerte aux côtés des autres scientifiques qui choisissent de ne plus être au service du système et de la "domination des uns sur les autres et de tous sur la planète".

Le gouvernement français appelle à faire de 2011 l'année de validation du Grenelle de l'environnement. La Ministre de l'écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet (NKM), invite à faire de la "juste adaptation" aux conséquences du réchauffement sa nouvelle priorité. Les deux premières phases sont déjà actées :

1 - consultation officielle en novembre des ex-participants du Grenelle pour convaincre notamment les ONG autoproclamées représentatives de devenir les porte-parole des politiques d'adaptation,

2 - caution scientifique apportée par Jean Jouzel, glaciologue, directeur de recherches au CEA (énergie atomique), ex-vice-Président du GIEC, mais aussi conseiller "écolo" d'Edf, président du Mouvement Universel de la responsabilité scientifique (MURS), réseau de scientifiques "scientistes", président du Haut conseil de la science et de la technique auprès de Sarkozy, parrain de la « climate week » (avec WWF, Fondation Hulot, Good Planet...), membre du Conseil de veille de la fondation Hulot... Jean Jouzel est chargé de produire d'ici juin 2011 le rapport officiel encadrant les politiques d'adaptation.

Ce processus devrait déboucher sur l'adoption du premier plan national d'adaptation au réchauffement climatique. Cette "juste adaptation" est l'aveu de l'échec des politiques néo- libérales en matière de combat contre le réchauffement. Elle est la preuve que le système ira jusqu'au bout de sa logique mortifère plutôt que de remettre en cause le dogme de la croissance.

Nous, initiateurs des deux premiers contre-Grenelle (2007 et 2009), organiserons, le 2 avril prochain, un troisième Contre-Grenelle. Cet événement aura lieu à Vaulx-en-Velin, la ville la plus pauvre du département du Rhône, signe qu'il n'y a pas d'union sacrée possible pour sauver la planète et que nous choisissons le camp des plus humbles (http://www.contre-grenelle.org/). Nous accusons la Ministre NKM d'avoir approuvé le pacte Hulot en 2006 en sachant que sous le masque du combat écolo-libéral se préparait l'adaptation de la planète, et demain, des humains aux besoins du productivisme (du toujours plus). Nous accusons la Ministre NKM d'avoir dirigé le Grenelle des dupes en sachant que sous le mirage des "technologies dites propres" se préparait l'adaptation de l'écologie aux besoins... des plus riches. Nous appelons Jean Jouzel (hier soutien de Ségolène Royal, aujourd'hui caution du système) à démissionner et à devenir un lanceur d'alerte aux côtés des autres scientifiques qui choisissent de ne plus être au service du système et de la "domination des uns sur les autres et de tous sur la planète".


Exigeons la démission de NKM par mattlouf

1Avr/11Off

Pour un tribunal Russell contre les crimes du nucléaire civil en 2012 ! (Pétition mondiale)

http://www.tribunalrusselnucleaire.org

En 1966, le Tribunal Russell-Sartre jugea les crimes de guerre contre l’humanité notamment commis par les Etats-Unis au Viêt-Nam. On y condamna aussi le nucléaire militaire.
En 2012, un nouveau Tribunal d’opinion doit juger les crimes du nucléaire civil. Les Tchernobyl et les Fukushima passent mais le nucléaire ne trépasse pas.
Le gouvernement japonais lui-même ne cesse de se plaindre de l’opacité que pratique la société gestionnaire donc responsable de la catastrophe humaine et écologique.
Ce nouveau Tribunal Russell est indispensable pour que la vérité succède aux mensonges.
Ce nouveau Tribunal Russell est indispensable pour que la politique succède à la peur.
La parole doit revenir d’abord aux citoyens et à leurs élus et non aux experts mercenaires.
Nous ne pouvons pas rester sans agir dans l’attente d’une nouvelle catastrophe (Etats-Unis 1979, URSS 1986, Japon 2011) alors que nous sommes le principal pays nucléocrate.
Nous entendons faire entendre notre voix d’ici 2012 et bien sûr au-delà.
Nous, citoyens, élus, intellectuels appelons donc l’ensemble de la population à signer cet appel le plus massivement possible et à le faire connaître par tous les moyens.

Paul Ariès, Directeur du Sarkophage
René Balme, Maire de Grigny 69520 (PG)

1Avr/11Off

Ils n’ont pas arrêté Fukushima, arrêtons Fessenheim.

http://www.stopfessenheim.net

Ils n'ont pas arrêté Fukushima, arrêtons Fessenheim.

Le monde entier a vu exploser le bâtiment qui abrite le réacteur de Fukushima. Mis en service en 1970, c'est l'un des plus anciens au Japon. Il devait être fermé le mois dernier.

Mais, à la demande de l'opérateur Tepco, les autorités japonaises ont accordé un permis d'exploitation pour dix années de plus. On connait la suite : séisme de 8,9 sur l'échelle de Richter, arrêt automatique de la centrale, tsunami qui inonde les installations électriques de secours, échauffement puis fusion partielle du cœur : un scénario catastrophe qui a mis les "experts" en sûreté nucléaire en défaut.

En France, le réacteur le plus ancien est celui de Fessenheim.

Il a été construit à partir de 1970 en bordure du grand canal d'Alsace, entre Bâle et Strasbourg, dans une zone d'activité sismique. Il a été construit avec les normes anti-sismiques des années 60 qui sont très éloignées des normes actuelles.

En 2000, un rapport de l'Autorité de sûreté nucléaire indiquait que certaines fonctions de sauvegarde assurant le refroidissement du réacteur pourraient ne plus être assurées en cas de séisme. Malgré la vétusté des installations et les risques sismiques, EDF a demandé à prolonger l'exploitation de la centrale. Un grand nombre d'élus et de citoyens s'y opposent.

Le 9 mars dernier, le tribunal administratif de Strasbourg a débouté les élus qui demandaient la fermeture de Fessenheim pour cause de vétusté et de dangerosité. Aurait-il prononcé le même jugement aujourd'hui ?

C'est dans quelques semaines que l'Autorité de Sûreté Nucléaire doit rendre son avis autorisant ou non une prolongation de l'exploitation du réacteur n°1 de la centrale de Fessenheim pour dix ans supplémentaires.

Après la catastrophe de Fukushima, il n'est plus acceptable de mentir sur les dangers du nucléaire, en particulier dans les zones sismiques. L'accident de Fukushima démontre que, même dans un pays réputé pour son expertise en matière nucléaire, le risque zéro n'existe pas.

La ministre de l'écologie explique que la centrale de Fessenheim a été construite pour résister au risque sismique maximal constaté sur les 1000 dernières années, augmenté d'une marge de sécurité. C'est avec les mêmes arguments que les Japonais ont prolongé l'exploitation du réacteur de Fukushima. Le désastre japonais démontre qu'il n'est plus possible de raisonner ainsi. Voilà pourquoi les signataires demandent l'arrêt immédiat de la centrale de Fessenheim.

Michèle RIVASI députée européenne, Pierre LARROUTUROU économiste, Karima DELLI députée européenne, Jacques FERNIQUE Conseiller régional d'Alsace, Djamila SONZOGNI porte-parole Europe Ecologie Les Verts, Alain JUND Adjoint au Maire de Strasbourg, Jean-Marie BROM Réseau Sortir du nucléaire, Hélène FLAUTRE Députée européenne, Philippe MEIRIEU vice-président Région Rhône-Alpes, Gérard ONESTA et François SIMON Vice-Présidents Région Midi Pyrénées, Philippe HERVIEU Vice Président Région Bourgogne, Françoise DEDIEU-CASTIES Vice-Présidente Région Midi-Pyrénées, Jean-Paul BESSET Député européen, Marie BLANDIN Sénatrice du Nord, Jean-Marie MATAGNE Action des Citoyens pour le Désarmement Nucléaire, Hélène PELOSSE ancienne DG d'IRENA, Patrice HALIMI secrétaire général Association Santé Environnement France, Yves COCHET Député de Paris, Denis SIEFFERT Directeur de la rédaction de Politis, Emmanuelle COSSE vice-présidente Région IDF, Antoine WAECHTER conseiller régional Alsace, Peggy BRISET Bureau Exécutif EELV, Noël MAMERE Député de Gironde, Yannick JADOT Député européen, Pascal CANFIN Député européen, Bérengère DAUVIN, Thomas MAZIERE, Nadja FLANK, Nicolas DUBOURG, Evelyne COHEN-LEMOINE, Manuel DOMERGUE, Clara OSADTCHY, et déjà plus de 25 000 signataires

29Mar/11Off

Appel à la création, à la préservation et à l’extension des ceintures vivrières autour des agglomérations

Relocalisons lance un appel à une campagne nationale pour la création, la préservation et l’extension des ceintures vivrières autours des agglomérations.

http://relocalisons.wordpress.com

Celle-ci s’étendra sur plusieurs mois et commence par un appel en ligne à signer ci-dessous. Elle s’adresse à la fois aux responsables politiques, aux agriculteurs et aux citoyens.

http://manuboutet.free.fr/phpPetitions/index.php?petition=3

54 000 ha de terres agricoles disparaissent, chaque année, en France : l’équivalent d’un département est ainsi englouti sous le goudron et le béton, tous les 7 ans.

Ces terres sont remplacées, à 50%, par des maisons individuelles et, à près de 20%, par le développement du réseau routier, accompagnant cette expansion. A cela s’ajoute ici un aéroport, là une plate-forme logistique pour la grande distribution, une zone commerciale, etc.

Le nombre d’exploitations a ainsi été divisé par deux, en 20 ans, tandis que leur surface moyenne a presque doublé (42 à 77 ha).

Les anciennes ceintures maraîchères aux portes des villes ont disparu, remplacées par des cultures céréalières d’exportation sans lien avec les populations locales.

Cet urbanisme favorise la spéculation immobilière, un étalement urbain anarchique, le «tout voiture», ainsi que l’hyper concentration des terres. Cependant, cet accaparement des terres agricoles suscite l’indifférence, alors que la baisse durable et définitive des ressources en énergie fossile et les risques posés par le changement climatique nous menacent.

En revanche, que ce soit au niveau national, européen ou mondial, les politiques agricoles font depuis plus de 50 ans des choix clairs et renouvelés :
Choix d’une politique sacrifiant massivement l’emploi, au profit de la rentabilité

Depuis 20 ans, nous sommes passés de 2 millions à 1 million d’agriculteurs, tout en continuant à provoquer la faillite des exploitations, l’endettement et l’appauvrissement de très nombreux agriculteurs, ce qui pousse au suicide un agriculteur par jour en France, décourage les jeunes et empêche le renouvellement, alors même que nous nous préparons à affronter un chômage de plus en plus structurel.
Résultat, cette population vieillit : alors que 18% des exploitants avaient moins de 35 ans en 2000, ils ne sont plus que 13% actuellement. Les conséquences pour la cohésion et le dynamisme économique, social et culturel des zones rurales sont lourdes (fermeture de commerces, d’écoles, perte de sens…)
Choix d’une politique de mise en compétition internationale

Nous assistons à la suppression de toutes barrières douanières, couplée avec un alignement sur les prix de vente internationaux les plus bas qui favorise la spécialisation, les monocultures destinées à l’exportation et l’élevage industriel.
Cette montée des exportations agricoles, destinées aux consommateurs les plus solvables, entraîne la disparition des cultures vivrières locales, ainsi que l’accaparement des terres par des multinationales de l’agroalimentaire, provocant des famines dans les Pays du Sud, et accentuant les migrations. Cette compétition faussée par les subventions se fait au bénéfice exclusif de l’agriculture la plus industrielle et qui concerne une minorité d’agriculteurs.
Choix, en Europe, d’une politique de subventions massives orientée vers le productivisme

Les revenus agricoles s’apparentent de plus en plus à une chasse aux subventions, lesquelles représentent plus de 50% du revenu agricole moyen dans l’UE. Le système est fait de telle manière que la recherche de la productivité est sans cesse favorisée, au détriment de l’emploi, en Europe, et de la justice sociale envers les Pays du Sud vers lesquels nous exportons à bas prix nos produits subventionnés, détruisant, ou empêchant l’éclosion de leurs propres filières.
Cette politique se détourne également de la forte demande des consommateurs pour des produits sains et respectueux de l’environnement. Ainsi, malgré les promesses, en 2010, en France, l’agriculture biologique n’occupe que 2,46 % des surfaces. Les importations représentent 38% de la valeur totale des produits bio.
Une nouvelle menace : les agro-carburants

Les orientations récentes des subventions européennes en faveur des bio-carburants aggravent la pénurie de terres agricoles.
L’objectif de 5,75 % de carburants agricoles, d’ici 2010, dans les véhicules, conduirait à utiliser près de 20 % des terres arables selon l’INRA. Tout cela pour un bilan écologique quasi-nul.
En effet, selon le Réseau Action Climat, les agro-carburants supplémentaires qui entreront sur le marché de l’UE auront un impact plus néfaste pour le climat que les combustibles fossiles qu’ils sont censés remplacer.
Un constat d’échec à produire une agriculture répondant aux besoins et demandes des populations

Ces politiques agricoles productivistes sont, bien évidemment, destructrices de l’environnement et de la biodiversité. Elles empoisonnent et épuisent les sols par les pesticides et engrais chimiques. Elles polluent massivement les ressources en eau et l’atmosphère. Elles assèchent les cours d’eau et les nappes phréatiques. Elles nécessitent une production de gaz à effet de serre pour la production et le transport sur de longues distances.

Les conséquences sur la santé humaine sont toutes aussi lourdes (infertilité masculine, cancers…)
Les risques s’amplifient à mesure que de nouvelles techniques hasardeuses sont autorisées, telle que certains OGM ou l’irradiation des aliments.

Notre accès à une alimentation produite localement et contrôlable est ainsi restreint :
- par sa dépendance aux transports internationaux (au marché de Rungis, on importe entre 80 et 90% de viande de mouton, raisins, haricots verts, fraises, champignons, etc),
- par la faiblesse des stocks alimentaires (4 jours dans les grandes surfaces),
- par l’écrasante domination de seulement 6 groupes de grande distribution.
- par l’accaparement des terres, au profit de la culture d’agro-carburants.

Enfin, la délocalisation de la production de l’alimentation conduit globalement à une perte de sens pour les générations présentes et futures.

Ainsi, plutôt que de se demander quel monde laisser à nos enfants, ne faudrait-il pas mieux s’interroger sur l’état des enfants que nous laisserons au monde ?
Cet échec des politiques foncières et agricoles, conduisant à la remise en cause de notre liberté et de notre sécurité alimentaire, exige donc que chacun d’entre nous se mobilise pour préserver et étendre l’agriculture vivrière, particulièrement autour des agglomérations.

C’est pourquoi, nous vous invitons à mener une campagne nationale pour faire changer cette situation en nous adressant à la fois aux responsables politiques, aux agriculteurs et aux citoyens.

Nous demandons aux responsables politiques :
1) de prendre des mesures efficaces et immédiates pour protéger durablement les zones agricoles;
Geler tout nouveau projet (immobilier, routier, zones commerciales, fermes photovoltaïques, grandes usines à méthanisation, etc) sur des terres agricoles, susceptible de les désaffecter temporairement ou définitivement de leur vocation nourricière,
- Insérer la préservation et l’extension des terres vivrières dans des schémas d’aménagement et de développement durable (SCoT, Agenda 21, PLU, PPAEN, ZAP, etc…)

2) d’affecter les terres préservées à l’alimentation des populations locales

…par une agriculture paysanne et biologique diversifiée (maraîchage, arboriculture, céréales, etc.) dans le respect de l’environnement et de la biodiversité et en économisant l’eau et les ressources énergétiques.

3) de permettre l’installation de nouveaux / nouvelles paysan-e-s et de paysan-e-s sans terre , par la location de terres achetées par les Départements, les Régions et des coopératives d’achat.
Il devient nécessaire de refuser de rendre des terres agricoles constructibles et éviter ainsi la spéculation immobilière.
- Les SAFER, chargés de cette mission, se révèlent parfois défaillantes, il s’agit alors de rétablir la transparence et de restaurer la pluralité syndicale dans les commissions cantonales des SAFER pour éviter les délits d’initiés, la corruption et les distorsions d’information qui entravent souvent l’accès aux offres de terrains agricoles pour les porteurs de projets;

4) de permettre une alimentation saine et de proximité pour les populations locales
Assurer des débouchés aux producteurs de proximité en bio pour la restauration collective (établissements scolaires, hôpitaux, maisons de retraite, etc) et se porter garant d’un prix d’achat rémunérateur et équitable pour les producteurs;
Affecter des espaces verts à l’intérieur des villes pour développer des jardins collectifs notamment autours des habitats collectifs et s’opposer à l’interdiction de maraîchage dans les nouveaux lotissements;
Favoriser les circuits-courts : marchés & foires de producteurs, les Amaps ou distribution en circuits-courts par la mise à disposition de locaux.

5 ) d’élaborer un projet de développement pérenne de l’agriculture vivrière
Celui-ci viserait l’objectif de 30% de terre urbaines et péri-urbaines des collectivités dédiées à l’agriculture nourricière.

6) de financer, intégralement, une recherche publique agricole indépendante
La création d’un organisme, intégralement financé, par les puissances publiques permettrait de mettre l’innovation au service des citoyens, de l’environnement, et non des multinationales de l’agro-alimentaire avec des unités de recherches redéployées sur des thématiques vouées à jouer un rôle de premier plan à l’avenir, mais à ce jour délaissées, (agro-foresterie, agro-écologie, homéopathie vétérinaire, traction animale, etc.).

Nous demandons à chaque agriculteur :
de céder ou mettre à disposition une ou plusieurs de ses parcelles qu’il ne peut / ne veut pas exploiter à une réserve foncière (régie municipale, départementale ou Régionale ou coopérative) dans le but d’installer de nouveaux / nouvelles paysan-e-s.
de favoriser, dans la mesure du possible, les circuits courts, pour l’écoulement de sa production.

Nous demandons à chaque citoyen :

1) de participer à cette campagne …
- en sollicitant dans chaque ville ses élus, et les agriculteurs autour de l’agglomération et de nous faire connaître dans sa région les terres vivrières en danger.

2) de lancer ou d’appuyer partout où cela est possible des initiatives locales qui agissent pour l’agriculture vivrière de proximité :
Jardinage, qu’il soit individuel ou collectif, dans les écoles et collèges, etc. En plus des jardins partagés «classiques» (également appelés jardins familiaux, collectifs, et anciennement jardins ouvriers), créer des associations d’échanges de jardins entre voisins pour que ceux qui ne cultivent pas leurs jardins permettent à des jardiniers amateurs de le faire, pour mutualiser et partager le matériel de jardinage.
AMAP et circuits-courts,
Foire et marchés de producteurs bio.

3) de soutenir financièrement par ses achats :

l’agriculture et l’alimentation de proximité (artisans et producteurs locaux, vente à la ferme, marchés de producteurs), et de les soutenir par l’épargne solidaire dans le rachat collectif de terres agricoles orienté vers l’alimentation locale.

4) de semer des graines, planter des arbres fruitiers partout où cela est possible en ville et en périphérie urbaine (toits, parcs…)

23Mar/11Off

Gaz de schiste : non merci !

Pétition : http://www.petitions24.net/gaz_de_schiste__non_merci

Sans aucune information, sans aucune consultation, le gouvernement français a offert, à des sociétés nationales et étrangères le droit d’explorer le sous-sol français à la recherche de gaz et de pétrole de schiste.
La technique pour ramener le gaz à la surface est nouvelle, délicate et surtout, désastreuse sur le plan environnemental. La «fracturation hydraulique horizontale», consiste à provoquer des failles à l’aide d’un liquide envoyé à très forte pression, pour libérer le gaz et le pétrole pris dans la roche compacte, à environ 2000 mètres de profondeur. Trois «ingrédients» sont nécessaires pour créer ces mini séismes : des quantités phénoménales d’eau (entre 15 000 et 20 000 m3), des produits chimiques (plus de 500) pour attaquer la roche et des micro-billes pour maintenir ouvertes les failles.
Aux Etats-Unis, le bilan de l’extraction de ces énergies fossiles est catastrophique : pollution massive des nappes phréatiques et de l’air, destruction des paysages et de milieux naturels, etc. Leur exploitation, en France, conduirait inéluctablement aux mêmes dégâts ainsi qu’à des émissions accrues de gaz à effet de serre, alors même que notre pays s’est engagé à les diviser par quatre.

Les autorisations de prospection sur plus de 10% du territoire ont été accordées sans débat sur les besoins énergétiques à moyen et long terme, sans discussion sur la nécessité de lutter contre le gaspillage, rechercher une meilleure efficacité énergétique et les alternatives renouvelables.

Pour toutes ces raisons, nous exigeons un débat public avec la société civile, les élus locaux et nationaux, pour dresser un inventaire complet des conséquences environnementales, sanitaires, économiques et sociales de cette «nouvelle folie industrielle».

C’est pourquoi nous demandons un gel immédiat des prospections et la suspension des permis de recherche de gaz et pétrole de schiste sur l’ensemble du territoire français.

21Mar/11Off

Défence de la médecine naturelle

http://www.defensemedecinenaturelle.eu/

Pétition du Le Collectif pour la Défense de la Médecine Naturelle

Madame, Monsieur,

Après le 30 avril 2011, de nombreux produits et compléments alimentaires à base de plantes vont devenir illégaux en France.
Pourquoi ? Parce qu'une nouvelle directive européenne, la THMPD (Traditional Herbal Medicinal Products Directive) va être transposée en droit français.
Cette directive impose aux produits thérapeutiques à base de plantes de passer par une procédure d'agrément simplifiée par rapport aux médicaments normaux, mais néanmoins extrêmement lourde pour des petits producteurs qui n'ont pas les moyens financiers, ni les bataillons d'avocats des grands groupes pharmaceutiques.
Cette directive, qui date de 2004, a déjà été partiellement transposée dans notre droit en 2008, en imposant cette procédure aux nouveaux produits entrant sur le marché européen.
La Médecine traditionnelle Chinoise (MTC) et l'Ayurveda (médecine indienne), ont été particulièrement touchés. Les patients et citoyens européens ont été privés de centaines de produits, qui auraient pu potentiellement soigner leurs maladies, sans qu'ils s'en aperçoivent.
Mais cette directive épargnait jusqu'à présent les produits qui étaient déjà commercialisés depuis longtemps sur notre continent, en particulier évidemment les plantes européennes bien connues.
Or, à partir du 30 avril, tous les produits à base de plantes, et portant des allégations thérapeutiques, même reconnues depuis des centaines ou des milliers d'années, vont devoir passer par cette procédure. On estime que cela coûtera aux fabricants entre 100 000 et 150 000 euros de faire agréer un seul produit.
Sans aucun doute, des centaines, voire des milliers de plantes vont disparaître des rayons des distributeurs. Et pour quel bénéfice ? A qui profite le « crime » ?
Toujours est-il que les multinationales pharmaceutiques peuvent se frotter les mains.
C'est pourquoi des patients et des citoyens se sont organisés pour résister et nous avons lancé une pétition que vous pouvez signer en cliquant en bas de cette page.
En Angleterre, c'est l'Alliance for Natural Health (ANH) qui mène le combat. Au niveau européen, une fondation a été créée la European Benefyt Foundation, pour la défense de la Médecine Traditionnelle Chinoise.
En France, de nombreux sites Internet et groupes de militants ont diffusé l'information. Pour notre part, nous avons créé un Collectif pour la Défense de la Médecine Naturelle.
Nous voulons simplement défendre notre droit de nous soigner autrement. Au départ, nous avions créé une vidéo, qui a beaucoup circulé sur Internet.
Mais nous avons décidé de la retirer parce que nous nous sommes aperçus que certains critiquaient notre action, au motif que la directive THMPD n'aurait pas des effets aussi radicaux que nous le disions.
Ont-ils raison ? Nous ne le pensons pas. On peut toujours discuter les détails juridiques de cette directive, et chercher à imaginer comment les administrations des différents pays européens décideront de l'appliquer.
Mais il faut bien être conscient d'une chose : il s'agit incontestablement d'une arme de plus, dans la main de nos gouvernements, pour restreindre notre liberté de choisir nos thérapies.
Aujourd'hui, les thérapeutes alternatifs, la médecine naturelle, font déjà l'objet de soupçons exagérés de la part des autorités sanitaires, selon nous.
S'il existe des charlatans, cela ne justifie pas les persécutions que subissent de nombreux producteurs de plantes et de compléments alimentaires. Toute cette vigilance profiterait plus au bien collectif si elle servait à mieux vérifier ce qui se trouve dans les médicaments issus de la pétrochimie, dont les effets secondaires sont, pour le coup, incontestables et parfois gravissimes.
Faut-il rappeler l'affaire du Vioxx, de l'Avandia, du Médiator, et, aujourd'hui, du Buflomédil ?
Nous pensons que la directive THMPD impose une procédure administrative trop lourde et trop coûteuse pour de nombreux traitements naturels qui existent depuis longtemps, et qui ne sont pas dangereux.
L'argument de notre « sécurité » nous semble être une fois de plus utilisé pour justifier des atteintes à nos droits humains fondamentaux.
Nous ne voulons pas de cette nouvelle restriction de notre liberté à nous soigner autrement.
C'est pourquoi nous vous encourageons à signer notre pétition vous aussi.
Bien entendu, nous vous encourageons à faire toutes les recherches nécessaires sur Internet concernant cette affaire, afin de vous faire votre propre opinion, sans vous arrêter aux personnes qui affirment un peu vite qu'il n'y a pas de danger !!
A notre avis, il est plus que jamais urgent de signer notre pétition.
Ainsi qu'il est spécifié, vos coordonnées resteront strictement confidentielles et ne seront jamais communiquées.

Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l'expression de nos salutations distinguées.

Le Collectif pour la Défense de la Médecine Naturelle

18Mar/11Off

Nucléaire : Nous voulons avoir le choix !

Dimanche 20 mars 2011 - Nice : Rassemblement 15h : Place Garibaldi

Nucléaire : Nous voulons avoir le choix !

En hommage aux victimes japonaises, dénonçons le risque nucléaire. Nous appelons tous les citoyen-nes, associations, partis politiques, syndicats, artistes et personnalités à manifester leur solidarité avec le peuple japonais et à se réapproprier la question du recours au nucléaire et de la politique énergétique.

Relai de l'appel national
Contact : Gérard Régnier - Attac-France
gerard.regnier2@free.fr
Tel : 09 61 36 75 98

15Mar/11Off

1 000 000 000 d’enfants, de femmes et d’hommes souffrent de faim chronique (FAO)

Pour les plus chanceux, ce n’est que le petit creux dans l’estomac qui vous avertit qu’il est l’heure de passer à table. Si vous n’avez pas autant de chance et n’avez pas assez à manger chaque jour, la faim vous affaiblit et vous empêche de vous concentrer, voire peut vous faire tomber malade. Vous ne pouvez penser à autre chose qu’à votre prochain repas. Pour des centaines de millions d’êtres humains dans le monde, cette sensation dure toute la journée, un jour après l’autre, sauf qu’ils ne savent jamais si et quand cette sensation disparaîtra. Pour eux, la faim inflige à leur santé des dommages temporaires ou permanents. Ils n’ont pas assez de nourriture pour mener une vie saine et active, et ils manquent des vitamines et des minéraux dont leur corps a besoin. C’est ce qu’on appelle la faim chronique. Lorsque la faim est extrême, après des jours de jeûne ou d’alimentation insuffisante, l’organisme commence à puiser dans ses propres ressources et à décomposer ses tissus adipeux et sa masse musculaire, ce qui finit par porter à la famine et à la mort.

Pétition : http://www.1billionhungry.org/

Même si le Réseau des Objecteurs de Croissance des Alpes Maritimes n'est pas entièrement d'accords avec le constat fait sur les raisons et les solutions à apporter à la faim dans le monde, nous aussi nous en avons assez et nous ne voulons pas laisser 1 000 000 000 d'êtres humains souffrir de la faim. Nous ne pensons pas que signer cette pétition règlera le problème de la faim, mais si elle fait avancé d'un epsilon les consciences, aussi petit soit-il,  nous l'encourageons. La torture de la faim de certain ne s'explique et ne se traduit dans le système capitaliste que par l'opulence, le gaspillage, l'avarice, l'avidité, la cupidité, l'orgueil et l'irrespect de certain.

31Jan/11Off

APPEL A SOUTIEN POUR LE DROIT A UN HABITAT CHOISI MODESTE ECOLOGIQUE ET CITOYEN !

http://lapetition.be/en-ligne/petition-7653.html

APPEL A SOUTIEN POUR LE DROIT A UN HABITAT CHOISI MODESTE ECOLOGIQUE ET CITOYEN ! LE DROIT DE VIVRE ET TRAVAILLER AU PAYS ! LEA ET TOM CONDAMNES PAR L'ETAT A DEVENIR DES SDF!!!

NON, Vous ne rêvez pas : l’Etat fabrique des SDF ! En pleine crise du logement ! En pleine crise économique !

Des jeunes qui travaillent, intégrés socialement ! Des jeunes qui ont choisi de vivre en milieu rural, donc qui revitalisent les campagnes ! Des jeunes fortement impliqués dans une démarche d’habitat écologique et de préservation de la nature !

Ont été CONDAMNES par l’ETAT devant le Tribunal Correctionnel de Foix à la DESTRUCTION DE LEUR HABITAT, une amende de 600€ et 10€ par jour de PENALITES de retard.

Leur DELIT : avoir choisi d’habiter une tente (une yourte) plutôt que de crever de froid dehors !

Ils ont comparu en première instance le 9 février 2010 suite à une plainte de la DDEA* (un service public !), sur le fondement d’articles du code de l’urbanisme pour infraction au permis de construire.

Suite à ce jugement INIQUE, ils font APPEL et réclament la RELAXE et le droit à un habitat MODESTE ET CHOISI ! pour vivre et travailler au pays !

La situation du logement en Ariège est catastrophique ; impossible de trouver des locations dans le département ; alors que les zones rurales se désertifient, les touristes dont beaucoup de touristes fortunés, font main basse sur l’immobilier.

Las de vivre en camion faute de trouver un logement, Léa et Tom qui VIVENT et TRAVAILLENT en Ariège décident en 2007 de s’installer sous une tente, une yourte. Un propriétaire toulousain leur prête son terrain en friches au milieu des bois en échange du défrichage et de l’entretien de la parcelle. Ils fabriquent une tente toute ronde, une yourte ; ils confectionnent le feutre à la filature de Belvès en Dordogne ; les perches de châtaignier sont prélevées dans le bois environnant ; un maître menuisier façonne le cercle de toit, pièce maîtresse...

Outre l’entretien de la parcelle, ils mettent en valeur le lieu, créant des terrasses pour cultiver un potager...

Cela a représenté un long travail de plusieurs mois avec un bilan plus que positif : la création d’un habitat bien intégré au paysage, avec un impact écologique nul ou quasi-nul sur un site dont la biodiversité a été recréée. Exemplaire !

Tom et Léa ont fait le choix de vivre là et de travailler dans la région alentour, modestement, de façon écologique et dans le plus grand respect de la nature. Ils sont bien intégrés localement : accueillis et soutenus par le maire et les habitants de la commune, ils se sont inscrits sur les listes électorales et ont demandé à payer les impôts locaux.

Les habitants de la commune les soutiennent depuis le début, une motion pour le droit au logement a même été votée par le conseil municipal.

Mais c’est sans doute trop beau ! Il faut s’acharner à détruire ces initiatives (CQFD) ! C’est ce que vont faire les services publics d’Etat, en l’occurrence la DDEA* qui fonde sa plainte sur le Code de l’urbanisme au prétexte de la nécessité d’un permis de construire alors que la yourte n'EST PAS UNE CONSTRUCTION, ce n'EST PAS UN IMMEUBLE, ce n'EST PAS UN BATIMENT en DUR avec des FONDATIONS! Il n’y a pas de MURS... C'est une TENTE! Donc un habitat réversible qui ne laisse aucune empreinte durable sur le sol. On ne construit pas une tente, on ne détruit pas une tente : on monte et démonte.

D’ailleurs, il existe un vide juridique concernant cette forme d’habitat qui n’est pas prévue dans ledit code.

On demeure pantois devant l’acharnement des services publics dans ce dossier, « quand on connaît ce que peuvent être par ailleurs les infractions au code de l’urbanisme » !… Qu’en est-il de l’égalité des citoyens devant la Loi ? L’Etat ne ferait-il pas mieux de s’en prendre aux spéculateurs qui enfreignent vraiment ce même code pour faire de JUTEUX PROFITS!

Inouï le sort réservé aux élus locaux des petites communes rurales ! Le jugement rendu ne tient aucun compte de la position du maire de la commune, de son conseil municipal et des autochtones. Qu’en est-il de la décentralisation ? Qu’en est-il de la REVITALISATION DES ZONES RURALES ? Qu’en est-il de l’EQUITE TERRITORIALE !

Ce dossier pose le problème du DROIT AU LOGEMENT, en particulier du droit des personnes aux revenus modestes dans un contexte de crise économique grave. Non seulement le montant des loyers est prohibitif jusqu’à constituer plus de 50 % des revenus des plus modestes d’entre nous mais dans certaines zones dédiées au tourisme comme en Ariège, il est IMPOSSIBLE de trouver à se loger… Qu’en est-il du DROIT AU LOGEMENT ?

Il pose aussi le problème du DROIT AU TRAVAIL, du droit à s’abriter quand on participe à la richesse locale par son travail : comment occuper des emplois, être flexible, mobile… comment créer une activité… si on n’a pas de TOIT pour s’abriter et autour duquel rayonner ?

Des jeunes qui choisissent de vivre en respectant leur devoir en matière d’écologie et de préservation de la nature sont sanctionnés et condamnés par l’Etat en Correctionnelle comme des délinquants au lieu d'être encouragés pour ces initiatives exemplaires !

Alors, il faut rappeler à l’Etat les obligations qu’il a lui-même fixées en matière de DROIT au LOGEMENT et d’ENVIRONNEMENT ! EXIGEONS !

JUSTICE POUR LEA ET TOM

EN APPEL, ILS DOIVENT OBTENIR LA RELAXE !

ET LE DROIT DE VIVRE DANS LEUR YOURTE

HABITAT CHOISI MODESTE ECOLOGIQUE ET CITOYEN

MERCI DE LES SOUTENIR en signant et diffusant largement la pétition jointe.

Sources et articles sur le sujet.

http://www.gazette-ariegeoise.fr/3446_Le-reseau-Actions-Ariege-Libertes-requisitionne-la-prefecture.html

http://www.ariegenews.com/ariege/communes/2010/20903/tom-et-lea-se-battent-pour-vivre-dans-leur-yourte-a-arrout-en-couseran.html

http://www.ladepeche.fr/article/2010/07/29/880685-Faut-il-detruire-la-yourte-d-Arrout.html

http://www.halemfrance.org/spip.php?article55#p%C3%A9tition

http://www.libetoulouse.fr/2007/2010/04/l%C3%A9a-et-tom-pionniers-de-lari%C3%A8ge-dans-leur-yourte.html

http://katipik.free.fr/docshalem/YourteTom_Arrout(09)%20france3%20regionMidiPy-23.03.2010.mp4

http://yurtao.canalblog.com/archives/2010/02/09/16850670.html#c34908507