R.O.C. 06
14Fév/11Off

Prêt à jeter, retour aux sources de la société de consommation.

ARTE F © Article Z
mardi, 15 février 2011 à 20:40
Rediffusions :  18.02.2011 à 10:30 Prêt à jeter (105mn) ARTE F
Un produit usé = un produit vendu ! Tourné aux quatre coins du monde, ce film enquête sur l'obsolescence programmée, concept vieux comme l'industrie mais toujours vivace. Une démonstration aussi implacable qu'éclairante.

A la caserne des pompiers de Livermore (Californie), une ampoule brille depuis plus de 110 ans, les premiers bas en nylon en 1940 ne filaient pas, mais la durée de vie des imprimantes d'ordinateur est programmée pour obliger l'utilisateur à en acheter une neuve. En décortiquant ces exemples, le documentaire "Prêt à jeter" de la réalisatrice allemande Cosima Dannoritzer, diffusé le 15 février sur Arte à 20h40, remonte aux sources de la société de consommation et à l'origine du concept de l'obsolescence programmée. Très vite, les producteurs ont compris qu'un produit qui ne s'use pas est "une tragédie pour les affaires".
Dans les années 1920, un cartel mondial des producteurs d'ampoules a ainsi raccourci volontairement la durée de vie des bulbes électriques pour accroître la demande du consommateur. Ce cartel Phoebus pénalisait même les membres dont les produits dépassaient 1.500 heures de fonctionnement. Une dizaine d'années de procès contre Phoebus l'ont contraint à lever les restrictions sur la durée des ampoules. Sans conséquence toutefois. Alors même que le brevet du filament inusable avait été déposé, cette ampoule éternelle n'a jamais été produite. Passés à la production en série dans les années 1950, l'industrie automobile, l'électroménager, le design et l'habillement sont devenus plus accessibles, symbolisant "l'American way of life", "liberté et bonheur grâce à la consommation sans limites.". "Celui qui croit qu'une croissance infinie sur une planète finie est possible est soit un fou, soit un économiste, le problème c'est que nous sommes tous devenus des économistes", affirme Serge Latouche, professeur d'économie et philosophe.
Loin du consumérisme, un habitant d'Accra, capitale du Ghana, se plaint, lui, "de tous ces déchets envoyés ici et qu'on n'a pas produits", devant une montagne de vieux ordinateurs arrivant régulièrement par conteneurs des pays riches. Au détriment de leur santé, une myriade d'enfants en brûle les carcasses en plastique pour récupérer les métaux vendus à des ferrailleurs. Dans un hangar, Mike a entrepris depuis quelques mois de stocker les carcasses de ces vieux ordinateurs dont les étiquettes permettent de retrouver l'entreprise qui les utilisait. "J'établis une base de données avec les numéros de téléphone de ces sociétés... pour un futur procès", dit-il. A Barcelone, Marcos a refusé de jeter son imprimante bloquée et d'en acheter une neuve. Grâce à l'internet et les réseaux sociaux, il a contacté un Russe proposant des logiciels qui permettent de contourner le blocage programmé de ces équipements après un nombre donné d'impressions.

14Fév/11Off

LA JUGE ET L’AFFAIRE DES DIOXINES

Film-documentaire qui est un reportage qui suit le combat courageux sur 5 ans d'une  population et d'une jeune juge. Elle se dresse contre sa hierarchie, la chancellerie et les politiques qui veulent étouffer le dossier dramatique de l'empoisonnement par un incinérateur d'une région en Savoie entre 1991 et 2000. (750 x le plafond de dioxine autorisé, cancers nombreux - 6% au dessus de la moyenne nationale- 6 500 têtes de bétail abattues, des millions de litres de lait détruits..) mais elle  résistera..

72 minutes -passé sur France 2 en 2010 - Révélateur sur le comportement des institutions vis à vis des incinéraTUEURS que l'on veut nous imposer..

LA JUGE ET L'AFFAIRE DES DIOXINES
10Fév/11Off

Invitation à la réunion publique du Forum citoyen 06 sur les déchets

Incinérateur de l'Ariane (06)

Incinérateur de l'Ariane (06)

Titre: Invitation à la réunion publique du Forum citoyen 06 sur les déchets
Lieu: salle CMCAS de l’EDF 8 av des Diables Bleus à Nice à 100 m de l’arrêt du Tram Risso. Stationnement à l’extérieur. Entrer par le grand portail, traverser le grand parking des voitures de fonction d’EDF, aller tout au fond puis à gauche. Suivre le fléchage.
Lien vers: Cliquer ici
Description: Les poubelles: c’est urgent, ça déborde!!!

Depuis des années la gestion des déchets dans le 06 conduit
à une situation catastrophique. Le nouveau Plan d’Elimination
des Déchets du Conseil Général prône le recours incontournable à un nouvel incinérateur. Ce choix est obsolète, dangereux pour la santé, non durable et onéreux à long terme. Des citoyens ont constitué un FORUM pour travailler à des solutions ALTERNATIVES et faire connaitre celles appliquées ailleurs avec succès.

Venez nombreux rejoindre ce FORUM et faire avancer ses propositions.

Contact : contact@forum-06-dechets.org

Heure début: 19:00
Date: 2011-02-15

7Fév/11Off

LES POUBELLES ? C’est urgent, ça déborde !

1) Etat des lieux catastrophique

Les Alpes Maritimes croulent sous le problème des déchets qui illustre l’impasse de notre société de consommation et l’incurie des instances départementales depuis plus de 10 ans. On note :

* Un incinérateur à l’Ariane, dont les fours tombent régulièrement en panne et qui pollue l’air et les sols. En urgence, le maire de Nice promet la fermeture d’un four sur les 4  pour « limiter les dégâts».

* Un incinérateur à Antibes qui  brûle depuis 1970 des fermentescibles (matières végétales imbibées d’eau) afin de  réduire la chaleur  pour éviter l’explosion, 40 ans de pollution à la dioxine (un des composés chimiques les plus virulents à dose infinitésimale) et aux furanes.

En 2009, avec 4 ans de retard et suite aux pressions exercées,  les périphériques  du four  ont  été mis enfin aux normes européennes de 2005 (celles-ci ne peuvent pas garantir l ‘innocuité du procédé mais elles devraient limiter la pollution engendrée 24 h/24 - si elles sont respectées  en continu – ce qui est loin d’être le cas partout).

Le quart du tonnage brûlé se transforme en mâchefers toxiques chargés de métaux lourds (mercure, chrome, plomb, brome..) et inutilisables sur les routes à cause des eaux de ruissellement. Les exploitants (Veolia) ne savent plus où les entreposer puisque  aucune commune n’en veut, même en décharge !

Il a fallu 7 ans de procès à Gourdon pour empêcher la décharge  des boues et donc la pollution  des sols, des nappes phréatiques et cours d’eau.

*  Un incinérateur à Monaco High-tech qui rebrûle ses dioxines et ses furanes, mais ses mâchefers exportés « Not in my backyard, pas dans mon jardin….. » contiennent encore plus de métaux lourds réinjectés. Les R.E.F.I.O.M.S (résidus  des fumées)  du four d’Antibes partent eux, par camions dangereux jusqu’à Laval (900 km).

*  Fermeture incontournable de la décharge de la Glacière et du Jas de Madame (stockage aux pratiques illégales - procédures et quantités non respectées) et qui ont battu tous les records de pollution en arsenic et autres poisons…

* DEPUIS des milliers de semi-remorques déplacent nos déchets via L’A8 jusqu’à Septème-les-Vallons (13) ou  ailleurs .…. en aggravant la pollution  atmosphérique  de plusieurs millions de tonnes de CO2  dénoncé par ATMO PACA en plus d’un coût exorbitant pour le contribuable du 06.

*Les cimenteries des PAILLONS ((La Grave) continuent l’incinération industrielle  très contestée.

2 )  QUE FAIT  LE CONSEIL GENERAL ?

A)    Dans son plan d’élimination des déchets ménagers et assimilés, PEDMA 2011, LE SIVADES impose à l’0uest un 3° incinérateur  à 1200°, surdimensionné par rapport aux besoins locaux, avec  une cheminée de 40m qui polluera à 50 km à la ronde . Il sera donc très  coûteux et de plus toxique si on  rend publics, les  dommages  collatéraux de santé et de pollution de l’air, de l’eau et des sols alentour . Des dommages passés jusqu’ici sous silence par les pouvoirs publics, à l’Ariane , aux Semboules  et dans les Paillons.

Les résidus volatil(e)s  toxiques sont respirés par les habitants ou ingérés dans les fruits et légumes produits sur place qui s’en imprègnent  et indirectement via le lait ou la viande des animaux d’élevage nourris avec de l’herbe devenue toxique. Pour mémoire l’incinérateur d’Albertville a été la cause de la destruction de milliers de litres de « lait à la dioxine »impropres à la consommation et de l’abattage des bovins dans la vallée                   (voir l’enquête du juge d’instruction, ARTE septembre 2010). Le contraire du soutien à l’agriculture locale !!!!

B)       Le centre de tri de Cannes (SIVADES) est un progrès mais encore insuffisant en tonnage à recycler sur place. Le Centre de valorisation organique CVO, annoncé, donnera une production de compost  à destination horticole.

C)  Le CVE « centre de valorisation énergétique », maquillage verbeux pour  incinérateur, est une imposture parce qu’il  produira seulement quelques modestes centaines de KW  aux alentours, comme le fait depuis 2010 celui d’Antibes).

Le lieu d’implantation  du CVE varie selon le rejet rencontré de la part de certains élus ou l’opposition de citoyens mobilisés : La ROQUETTE, GRASSE (les ROUMIGUIERES ou  les ASPRES).IL est très coûteux et surdimensionné 80000t à brûler. Il accueillera sans aucun doute les déchets niçois ou antibois, mal triés qu’on ne sait où fourguer.

3 )  UN PLAN ALTERNATIF PLUS ECOLOGIQUE ET MOINS COUTEUX

L’incinération est une mauvaise solution à un  VRAI problème mal posé depuis 20 ans.

UN 3° INCINERATEUR (rebaptisé CVE) pour l’ouest du département est contraire aux orientations  et promesses du Conseil Général  des années précédentes annonçant qu’on n’aurait plus  recours à l’avenir à ce procédé (reconnu même dans les discours officiels), coûteux, obsolète,  polluant et dangereux.

Depuis un an, une levée de boucliers  se produit contre le nouveau PEDMA  (plan 2011). De nombreux élus   et des associations alertent la population et dénoncent :

AUCUNE ETUDE ALTERNATIVE à L’INCINERATION n’a été faite depuis plus de 15 ans, alors qu’explose le problème des déchets dans une zone touristique surpeuplée. AUCUNE CONCERTATION avec les populations concernées et une information tronquée.

Comme il est prioritaire d’assurer les volumes traités par les incinérateurs afin de respecter l’engagement de quantité contenu dans les contrats de délégation de service au privé (VEOLIA  tire 29% de marge), le tri sélectif se fait partout à minima des 2 côtés du VAR.

Ainsi le nouveau PEDMA 2011 plus écologique devrait se faire dans la concertation avec un vrai FORUM CITOYEN, des informations fiables et des débats où VEOLIA  ne serait pas le seul  formateur, juge et partie.

A) imposer la réduction des déchets à la source et pénaliser les producteurs et la grande distribution qui favorisent le suremballage. ,

B)  imposer à tous le tri sélectif au porte à porte, draconien avec une éducation à la responsabilité citoyenne et écologique qui coûtera moins cher qu’un incinérateur. D’autres agglomérations le prouvent par l’exemple vérifiable depuis 1991.

C) appliquer la réglementation stricte  des déchets industriels.

D) construire en urgence de petites unités de TRI –COMPOSTAGE et RECYCLAGE  répartis sur le département qui éviteraient le transport, créatrices d’emplois non délocalisables, et permettraient la récupération des matières premières réutilisables pour la plupart, compte tenu de l’épuisement  inéluctable des ressources de notre planète.

L’exemple du BROC 06 (SMED) est un pas en avant pour les vallées (Var -Vésubie -Tinée) réalisant un bon tri et un compostage des déchets, même si le site de décharge ultime à minima n’est pas encore réglé à Massoins. (06)

CONCLUSION PROVISOIRE :

Le problème  des déchets est complexe IL REMET EN QUESTION NOTRE CHOIX DE SOCIETE DE CONSOMMATION.

En retarder les solutions depuis 20 ans est IRRESPONSABLE et SUICIDAIRE.

Le confier aux intérêts privés qui raisonnent en terme de rentabilité immédiate et non dans l’intérêt général est ni responsable, ni écologique et DONC INNACCEPTABLE

Qui osera prôner une politique de sobriété, d’antigaspillage, pour économiser les matières premières qui commencent à manquer, en les RECYCLANT au lieu de les BRÛLER ?

Des solutions existent en France et en Europe (Madrid, Italie du Nord… . La réponse en Alsace est une politique  publique volontariste, reposant sur la pesée individuelle des ordures qui depuis 20 ans  fait payer moins à ceux qui trient plus, pour éviter l’incinération.

M. DIETMANN, biologiste et responsable de la Communauté de communes Portes d’ALSACE est venu l’expliquer à SOPHIA en oct. 20O9. Ça marche depuis 1991. Il reviendra nous expliquer la « PESEE EMBARQUEE » le 12/2 à PEYMEINADE à 19 h.

GOUVERNER c’est PREVOIR. Pourquoi laisser le pouvoir aux imprévoyants, à la botte d’intérêts privés  en situation de monopole? Les « Objecteurs de croissance »   alertent l’opinion publique en appelant à la responsabilité, en proposant une autre voie  publique et citoyenne devant l’urgence écologique.

LAISSER CONSTRUIRE UN 3° INCINERATEUR à L’OUEST DU DEPARTEMENT, C’EST CONTINUER LA GABEGIE PENDANT 30  ou 40 ANS AU MOINS .

A CONSULTER:  
www.grasse-sans-incinerateur.fr

www.ademe.fr

www.laroquettesursiagne.com

www.airpur.com

Forum citoyen sur les déchets :  

http://que-ferons-nous-de-nos-dechets.over-blog.com

(Rédigé par Héliane, Serge, Geneviève, pour R.O.C. 06)

4Fév/11Off

Association pour le maintien d’une agriculture paysanne des Alpes Maritimes (AMAP)

Association pour le maintien d’une agriculture paysanne des Alpes Maritimes

Qu’est ce que c’est? Une association pour le maintien d’une agriculture paysanne (AMAP) est, en France, un partenariat de proximité entre un groupe de consommateurs et une ferme locale, débouchant sur un partage de récolte régulier (le plus souvent hebdomadaire) composée des produits de la ferme. L’AMAP est un contrat solidaire, basé sur un engagement financier des consommateurs, qui paient à l’avance la totalité de leur consommation sur une période définie (la « saison »). Ce système fonctionne donc sur le principe de la confiance et de la responsabilité du consommateur ; il représente une forme de « circuit court » de distribution.

Le terme « AMAP (Association pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne) » est enregistrée depuis la mi-2003 à l’INPI en tant que marque française par l’association Alliance Provence. L’usage de la marque passe par l’engagement du respect de la charte des Amap inspirée de la Charte de l’agriculture paysanne, éditée en mai 2003 par cette même association.

http://allianceprovence.org/-06-Alpes-Maritimes-.html

Villeneuve Loubet

AMAP du Loup

Consomm’acteurs :  Collectif de Solidarités de Valbonne - tél. 04 92 38 94 26
Permanence Jeudi matin - amap.du.loup@free.fr
Site internet : http://amap.nanotechinformatique.com
Maraîchers : Annie Pellegrin - 06 09 09 90 39 - annie.pellegrin@aol.com
Distribution : jeudi 18h à 19h
Lieu : Rue de l’Abreuvoir
Autres produits :
Fromages de chèvre : Mr Busy
Oeufs et volailles : Mr Fontaine
Agrumes : Bernard CUERQ
Pommes-Poires : Grégoire DELABRE

AMAP TEXAS INSTRUMENTS

Référents : Christophe CORTEMIGLIA - c-cortemiglia@ti.com Claude GIRE - c-guerin@ti.com

Auribeau sur Siagne

AMAP AURIBEL

Consomm’acteurs : Johanne Blanc - 04 93 42 36 31 - johblanc@hotmail.com
Maraîchers : Laure Orosco - 06 14 70 53 47
Distribution : mardi 18h00
Lieu : Village d’Auribeau
Autres produits :
Fromages : Sophie Guigou
Miel : Jean-Louis Lautard

et le site de l’AMAP : http://auribel.free.fr/

Grasse

AMAP Nature et Saveurs dans l’assiette

Nature et Saveurs dans l’assiette - amap.grasse@gmail.com
Consomm’acteurs :
référent légumes : Christian Schaumann christian.schaumann@wanadoo.fr
référentes fromages,poulets, oeufs, champignons,agneaul, vin :
Carole Défossé c.defosse@wanadoo.fr
Geneviève Gaymard
Maraîchers : Jeanne Hibert et Raymonde Caille

Distribution : Jeudi 18h30 - 19h30 en été et de 18h à 19h en hiver
Lieu : Parking Eglise Notre Dame des Chênes à Grasse St Jacques
Autres produits :
Fromage de chèvre : Christine Raineri amalthee1@free.fr
Poulets fermiers : Sylvie Ereteo - m.ereteo@charabot.fr
Oeufs : Stéphane et Valérie Maillard valetsteph@tiscali.fr
Agneau AB : Philippe Mertillo philippe.mertillo@cegetel.net
Champignons de Paris : Christian Boselli
Miel : Frédérique et Philippe Maure lerucherdestcezaire@free.fr
Vin : Elie et Christiane Roux jdomaineroux@free.fr

AMAP LA BANASTE

Consommacteurs
Coordinatrice Béatrice Le Moine : Beatrice@le-moine.com
Responsable Distribution : Danielle Solier - danielle.solier@gmail.com
Référentes produits :
champignons/miel : Béatrice Le Moine - Beatrice@le-moine.com
pommes/jus de fruits : Monique Louviot - monic.louviot@wanadoo.fr
poulets/œufs : Sylvie Baudet - baudet.sylvie@tele2.fr
fromages de chèvres : Isabelle Bogo - isabogo@orange.fr
viandes : Danielle Solier - danielle.solier@gmail.com
légumes/agrumes :  Béatrice Le Moine : Beatrice@le-moine.com
Email : labanaste@gmail.com
Distribution : tous les mardis de 18h30 et 19h30 à Grasse - Place Mottet - Route d’Auribeau - Quartier St Jacques
produits distribués :
Légumes (conversion AB) : Ange Galluccio
Agneau & Porc AB : Jean Rastouille
Poulets et œufs fermiers : Sylvie Erétéo
Champignons : Christian Boselli
Miel : Jean-Louis Lautard
Pommes et jus AB : Grégoire Delabre
Agrumes AB : Hélène Romanini
Fromages de Chèvres fermiers : Sophie Guigou

Mouans-Sartoux

AMAP Les Paniers de nos Campagnes

Consomm’acteurs :
Pascale Renot - 04 93 60 19 02
Gilles Guillon gilles.guillon@free.fr
Maraîchers : Yann Vidal yann.vidal@wanadoo.fr
Nouveau Site !!! www.amap-mouans.fr
Distribution : Mercredi, entre 18h30 et 19h30 (heures d’été)
Lieu : parking à côté gare
Autres produits :
Œufs : Virginie Leduc - virgin.leduc@free.fr
Fromages de chèvre : Annie Pomparat
Poulets fermiers : Sylvie Ereteo - sylvie.ereteo@wanadoo.fr
Champignons de Paris : Christian Boselli
Miel : Philippe Maure lerucherdestcezaire@free.fr
Viande bovine : Stéphane Maillard
Agneau AB : Philippe Mertillo philippe.mertillo@cegetel.net
Agrumes AB : Hélène Romanini agrumesandrea@aol.com
Pommes et poires : Grégoire Delabre et Francine Michel

Nice

AMAP Balico

Consomm’acteurs référents de base :
Lyliane Milano - capucine068@free.fr - 04 93 52 42 48
José Florini - bellevue06@free.fr - 04 93 98 59 19
Robert Idier - robert.idier@neuf.fr – 04 93 86 26 17
Josette Bourgeois (Poissons bio) – 04 93 97 50 42
Consomm’acteurs référents autres produits :
Corinne Lecointre (Ovins et salaisons bio) – blcg06@yahoo.fr
Sophie Raffray (Fromages bio) - sophie.raffray@laposte.fr
Catherine Houssin (Pains) - espaysages@aol.com
Jean-Marc Agostini (Pommes et jus bio) jean-marc.agostini@wanadoo.fr
Maraîcher : Laurent Eliot - La ferme de Manon Certifié AB
Distribution : Jeudi 18h30 à 19h30
Lieu : parvis gare des chemins de fer de Provence - 6 rue Alfred Binet – 06 100 – Nice
Blog : http://amapnice.zeblog.com
Autres producteurs :
Pommes-Jus de pommes AB : Maruska et Grégoire Delabre – Barcillonnette – 05110 - larubinette@gmail.com
Ovins et salaisons AB : Nathalie Noblet et Jean Rastouil - Briançonnet - 06 850 jean.rastouille@club-internet.fr
Fruits d’été AB : Eliane Joumont - Les jardins de Gaia - Cheval Blanc – 84 460 lepetitjardinier@wanadoo.fr
Poissons AB : Pierre Balmitgere - ferme aquacole - La Seyne/Mer - 83504 pierrebalmitgere@free.fr
Fromages de chèvre AB : Catherine Bonifassi – Gars – 06850
Pains : Michel Ferraris – Nice – 06 000 leeloonel@bbox.fr

AMAP des Collines

Consomm’acteurs : Sylvie Descloix amapdescollines@voila.fr
Distribution :
parking école St Isidore -
jour et heure : Lundi 18 H 00/19 H 15
Maraîcher : Pierre et Anne MAGNIANI
Autre produits
Oeufs, poulets : Aline PAGE
Fromages de chèvre : Les Granges du Scrouis

AMAP Nice centre

Pour plus d’informations voir le site http://amap-nice-centre.babiblog.fr
Consommacteur : à définir
Producteur :
Distribution prévue le Mardi 18h45 - 20h00 ; 18 rue Dalpozzo, au Bicibar

AMAP de Valrose

Consomm’acteur : Florent RENAUD
Mail : amap.valrose@gmail.com
Distribution : les mardis entre 17h et 18h30, sur le campus de l’université de Sciences de Valrose, (sous le préau, entre l’amphi de biologie et celui de géologie).
Maraîcher : Pierre et Anne MAGNIANI AB
Autres produits :
Fromage : Bastien BUREL-ANDRE
Huile d’olive, miel, confitures : Claude ASCANI
Plus d’infos sur http://amap-valrose.asso-web.com

AMAP Les Granges

Consomm’acteur : Christophe Giroguy au PECOS 06 64 30 23 74 pilesnice@wanadoo.fr
Productrice : Dorothée Valtier La Basse-cour des Granges (légumes, œufs, confitures, etc..)
Distributions : lancement de la saison début juin

N’hésitez pas à contacter ce nouveau groupe, il reste quelques places !!

AMAP du Prieuré

Consomm’acteurs :
Julie Schierer - tél. 04 93 04 49 82 06 25 57 64 59 julie.amap@gmail.com
Véronique Laurent 09 60 06 59 17
Régis Durif – tél. 04 92 09 01 37
Site internet : http://www.amapduprieure.tk
Maraîchère : Marie-Héléne Beignet - mhbeignet@wanadoo.fr
Distribution : jeudi 18h à 19h
Lieu : en cours de recherche

Opio

AMAP Opio

AMAP OPIO - http://amapopio.zeblog.com/
Consomm’acteurs : Philippe Le Bars - 04 93 77 70 35 - philippe.lebars@free.fr
Maraîchers : Rémy LEVEBVRE - 04 92 60 45 08 - lefebvre.remy@club-internet.fr
Distribution : Vendredi 18h30 - 19h30
Autres produits :
Oeufs : Stéphane Maillard
Viande d’agneau : Annie et Bruno Monjon
Poulets : Sylvie Ereteo
Abricots, pêches, nectarines, en saison : Charles Orso
Pommes : Grégoire Delabre

Valbonne

AMAP Désir de Bio

Consomm’acteurs :
Laurence Picot laurence.picot@yahoo.fr (Liste attente)
Hélène Bovis Renard borena.valbonne@orange.fr (Secrétariat)
Mireille Pocheron mpocheron@free.fr (Trésorière)
Distribution : Mardi De 18h00 à 19h00, Vendredi de 18h30 à 19h30
Lieu : Place de la Vignasse à Valbonne
Autres produits :
Légumes : François Oulmont (AB) foulmont@club-internet.fr
Pommes de Terre : Véronique Blanc info@bleudargens.fr
Fromages de chèvre AB et viande de chevreau : Charles et Véronique Wirth-Sonntag charles.wirth0449@orange.fr
Fromages de brebis : Martine Lantéri (printemps-hiver) et Marc Pérrimond (été-automne)
Poulets fermiers AB : Michel Carette mjmcarette@orange.fr
Champignons de Paris : Christian Boselli 04 93 70 11 06
Oeufs et viande de boeuf AB : Maillard Stéphane 04 93 60 39 73 - ferme.m@live.fr
Miel : Philippe Maure 04 93 60 20 81 - lerucherdestcezaire@free.fr
Viande de veau, légumes racines : Philippe Haulbert 04 92 83 61 89 phau@club-internet.fr
Poisson : Pierre Balmitgere - ferme aquacole pierrebalmitgere@free.fr
Agrumes : Bernard Cuerq 06 14 91 51 80 - bernard@cuerq.net
Ovins et porcs AB : Nathalie Noblet et Jean Rastouil jean.rastouille@club-internet.fr
Pommes-Jus de pommes : Grégoire Delabre larubinette@gmail.com
Jus de poires Henry POULAIN jus2poire@orange.fr
et... Huile d’olive, pate d’olive et olives, cerises , figues, prunes etc Eric FAUSTIN : tel 04 93 55 83 22 - faustineric@free.fr

Sophia Antipolis

AMAP Automatik Sophia Antipolis

Réservée au personnel de Schneider Automation

Consomm’acteur :
Président : Philippe Defert
Trésorière : Nathalie Franqueville
Producteurs :
Maraîcher : Yann Vidal
Distribution : elle a lieu au sein de l’entreprise le jeudi de 17h à 18h

Colomars

AMAP de Colomars

Consomm’acteurs : Hélène Buschiasso amap.colomars@orange.fr
Maraîchers : Anne Magnani anne.magnani@orange.fr
Distribution : à la Poste de Colomars, le lundi de 16h30 à 18h
Autres productions :
Oeufs : Nicolete Dominique Groux

Saint Vallier

AMAP de St Vallier

Consomm’acteurs :
Didier Benza didier@benza.fr
Danilo Piergentili danilo.piergentili@free.fr
Maraîcher : Rémy Lefebvre
Distribution : le jeudi à 19h30 à St Vallier, rue Adrien Guebhard
Autres productions :
Volailles : Sylvie Ereteo
Viande ovine : Philippe Mertillo
Champignons : Christian Boselli
Miel : Philippe Maure
Fromage de chèvres : Edith Sellier
Oeufs : Virginie Leduc
Pommes : Maruska et Grégoire Delabre
Huile d’Olive : Henri et Pierre Kornprobst
Site internet : http://www.amapsv.org

Le Tignet

AMAP Le Tignet

Consomm’acteur : Carole Defosse amapletignet@gmail.com
Maraîcher : Jeannette Hibert et Raymonde Caille
Distribution : tous les mardis de 18h à 19h, salle des ormeaux au Tignet
Autres produits :
Viande ovine : Philippe Mertillo
Poulets : Sylvie Ereteo
Oeufs : Stéphane Maillard
Miel : Frédérique Maure
Champignons : Christian Boselli
Fromages de chèvres : Christine Raineri

Plascassier

AMAP La Manne Bio

Consomm’acteur : Ivane Louveau ivanelouvo@yahoo.fr
Maraîcher : Ange Galuccio
Fromages de chèvres : Charles Wirth
Oeufs, poules, viande bovine : Stéphane et Valérie Maillard
Fromages de brebis : Marc et Carole Perrimond
Miel et pain d’épices : Florence Bonnard
Viande bovine : Philippe Haulbert
Agneau et salaisons : Jean Rastouil
Produits floraux : Michelle Cavalier
Distribution : le vendredi de 18h à 19h30, à la mairie annexe de Plascassier - chemin du Servan

Cannes

AMAP Cannes-La Bocca

consomm’acteurs :
Sandrine Pellegrino 06 62 36 74 62 – email : sandrinepel@yahoo.fr
Jérôme Rodriguez 06 71 72 81 70 – email : je.rodriguez@laposte.net
Producteurs :
Légumes : Yann Vidal 0664316098 ou yann.vidal@wanadoo.fr
Miel : Vincent Laget, apiculteur à Mandelieu – distribution une fois par mois
Huile d’olive : Fabrice Leroy, oléiculteur à Nice – distribution une fois par mois
Fromages de brebis : Marc et Carole Perrimond, éleveur de brebis à St-Auban (livraison à partir du printemps 2011)
Distributions : le jeudi à 18h15 place du marché à la Bocca

http://amaplabocca.unblog.fr

Saint Laurent du Var

AMAP Laurentine

Une nouvelle AMAP vient d’être créée à St Laurent du Var !
Consomm’actrice :  Viviane Fouilloux : viviane.fouilloux@gmail.com
Productrice : Dorothée Valtier - La Basse-cour des Granges (légumes, œufs, confitures,  viandes, volailles, agrumes etc..) 06.29.64.30.18
Distribution :  lundi de 17h30 à 18h00 à l’entrée de la ZI de St Laurent du Var sur le Parking en face de Telesud

http://amap.laurentine.free.fr/

Antibes

AMAP Antiboise

Consomm’acteur : Josette Vigon 06 12 06 80 48 ou lamapantiboise@gmail.com
Distribution du mardi :
Maraîcher :
Le jardin de Béa / Béarice Siméon à 06 Biot
Alexander Cornish à 06 Opio
Autres produits proposés :
fromages de chèvre : Edith Sellier - chévrerie du bois d’amon St Cézaire 06
agneau & boeuf : J. Rastouil / N. Noblet
Miel : Frédérique Maure - le rucher de St Cézaire
Oeufs et volailles : Geneviéve Grossetti - les arpents fleuris à La Martre
Huile d’olive : Alexander Cornish Opio
Poissons : Pierre Balmitgere - Sarl Tamaris Sud Fish - St Mandrier
Fruits : Les jardins de Gaia - Eliane Joumont - Cheval Blanc

Les distributions ont lieu au parking école de laTournière, de 18h30 à 19h30

La Gaude

AMAP Les Paniers d’Ecologissons

Contact consomm’acteurs : contact.ecologissons@yahoo.fr
Nathalie Béatini nathalie.beatini@wanadoo.fr
Patricia Peyrot peyrot.denis@aliceadsl.fr
Site internet : https://sites.google.com/site/ecolo...
Maraîchers partenaires :
Alan Carter (AB)
Antoine Cassar
Agnés Fiamma et Renaud Papone (AB)
Autres partenariats :
Agneaux et brebis : Ferme Girod (AB) - Production de Viande et Fromage
Miel : Les ruchers de Sallagriffon (AB) - Production de Miel et produits dérivés
Huile d’Olive : Domaine de la Chapelle st Jérome (AB)

4Fév/11Off

Ma poubelle est un trésor [Martin Meissonnier et Pascal Signolet]

Aux quatre coins du monde, la course est engagée pour créer un monde plus propre, où les déchets peuvent devenir des ressources, et remplacer avantageusement des matières premières qui elles, sont de plus en plus rares. Les décharges d'aujourd'hui sont peut-être les mines de demain.

Regardez des extraits du documentaire "Ma poubelle est un trésor", de Martin Meissonnier et Pascal Signolet qui sera diffusé sur France 3 le mardi 20 avril à 23h30.

4Fév/11Off

Simplicité volontaire et décroissance

4Fév/11Off

L’ENCERCLEMENT : La démocratie dans les rets du néolibéralisme [Richard Brouillette]

Un documentaire de Richard Brouillette
Québec (Canada), HDCam (tourné en 16mm), N&B, 2008, 160 minutes
http://encerclement.info


Avec : Noam Chomsky, Ignacio Ramonet, Normand Baillargeon, Susan George, Omar Aktouf, Oncle Bernard, Michel Chossudovsky, François Denord, François Brune, Martin Masse, Jean-Luc Migué, Filip Palda and Donald J. Boudreaux

À travers les réflexions et les analyses de plusieurs intellectuels de renom, ce documentaire trace un portrait de l’idéologie néolibérale et examine les différents mécanismes mis à l’oeuvre pour en imposer mondialement les diktats.
Déréglementer, réduire la taille de l’État, privatiser, limiter l’inflation plutôt que le chômage, bref, financiariser et dépolitiser l’économie : les différents dogmes de cette pensée prêt-à-porter sont bien connus. Et s’ils s’immiscent lentement dans nos consciences c’est qu’ils sont diffusés à travers un vaste et inextricable réseau de propagande.

De fait, depuis la fondation de la Société du Mont Pèlerin, en 1947, les instituts de recherche néolibéraux, ces think tanks financés par des transnationales et des grandes fortunes, propagent inlassablement la pensée néolibérale au sein des universités, dans les médias, auprès des parlementaires, etc.

Cette idéologie qui s’affiche évidence, forte de la sanction historique et scientifique que semble lui avoir conférée la chute de l’URSS, a su intoxiquer tous les gouvernements, de gauche comme de droite. En effet, depuis la fin de la Guerre Froide, le rythme des réformes néolibérales est allé sans cesse s’accentuant. Souvent imposée par la force, que ce soit à travers les plans d’ajustements structurels du FMI et de la Banque Mondiale, sous la pression des marchés financiers et des transnationales ou même par la guerre, la doctrine néolibérale s’étend dorénavant à la planète entière.

Mais derrière l’écran de fumée idéologique, derrière ces beaux concepts d’ordre spontané et d’harmonie des intérêts dans un libre marché, par-delà la panacée de la «main invisible», que se cache-t-il réellement ?
Pourquoi ce titre ?
Le mot rets vient du latin rete et signifie littéralement filet. Il exprime l'idée de piège tout autant que l'idée de réseau (d'ailleurs, rete a donné en français le mot réseau). Aussi, l'Internationale néolibérale s'est constituée en un vaste réseau, complexe et inextricable, qui lui permet de faire entendre sa voix polymorphe simultanément sur toutes les tribunes imaginables, à savoir : les think tanks, le système d'éducation, les médias, les partis politiques, les marchés financiers, les organisations intergouvernementales (Fonds Monétaire International, Banque Mondiale, Organisation de Coopération et de Développement Économique, Organisation Mondiale du Commerce, etc.), les transnationales, les fonds de pension et les divers autres gestionnaires de l'épargne (compagnies d'assurance, banques, fonds mutuels, etc.), les syndicats du partenariat, etc. Chacun des maillons de cette vaste chaîne se charge de relayer la doctrine à un autre maillon ou, encore, directement au public. Cette circulation de l'idéologie néolibérale à travers tous les supports de diffusion possibles lui confère une espèce de « monopole de l’apparence » (selon le bon mot de Guy Debord) qui assure sa perpétuation et facilite l’endoctrinement des masses.

Or, en déversant ce flot ininterrompu de propagande, les idéologues néolibéraux servent la cause des puissants. Car, en dénonçant l’inefficacité de l’État et des programmes sociaux, tout en glorifiant l’efficience et l’infaillibilité des marchés, en vantant les mérites de la concurrence, des inégalités sociales et du droit de propriété privé, qui, selon leurs prétentions, a préséance sur tous les autres droits, ils légitiment les réformes qui assoient le pouvoir des possédants. Ces réformes ont été adoptées en rafales à travers le monde depuis le début des années 80 et ont toujours cours, malgré la crise économique mondiale qui démontre la faillite du système néolibéral. En Occident, elles ont amené les États à abandonner des pans entiers de leur économie nationale. De l’indépendance des banques centrales dirigées par des non-élus qui fixent pourtant la politique monétaire des États, à la privatisation rampante des systèmes publics de santé, d’éducation, de transport, d’énergie et de ressources naturelles, etc., tout a été fait pour retirer des mains des citoyens le contrôle sur leur destinée économique. Mais dans les pays en développement, la situation est bien pire. Maillons essentiels du réseau néolibéral, le FMI et la Banque mondiale ont mis en chantier, à travers les plans d’ajustement structurel, des trains de réformes qui ont dévasté les États, les laissant totalement exsangues. Impuissante, la majeure partie de l’humanité a ainsi vu s’installer un colonialisme d’un genre nouveau qui, feignant l’altruisme, entretient une phénoménale déprédation. Alors qu’on vante les mérites du libre-échange, on procède à la dilapidation en bonne et due forme des ressources naturelles de territoires immenses et à l’asservissement de populations entières.

Et c'est ainsi que la pensée et la démocratie, encerclées de toutes parts par la propagande et les réformes, se trouvent prises au piège, dans les rets du néolibéralisme.

Structure
L'encerclement est constitué de dix chapitres et se divise en deux grandes parties
Première partie : portrait général de l'idéologie néolibérale
Chapitre 1 : Introduction
Ignacio Ramonet revient sur deux éditoriaux publiés dans Le monde diplomatique au milieu des années 90 et qui résument bien la problématique abordée par le film : «Régimes globalitaires» et «La pensée unique».
Chapitre 2 : Origines
François Denord retrace les origines de l'idéologie néolibérale. S'attardant d'abord sur les conditions qui en ont favorisé l'éclosion, il nous parle ensuite de ce qui constitue les deux actes fondateurs du mouvement néolibéral, le Colloque Walter Lippmann (1938) et la fondation de la Société du Mont-Pèlerin (1947) qui deviendra la maison mère de l’Internationale néolibérale.
Chapitre 3 : Au coeur du réseau néolibéral, les think tanks
François Denord nous décrit comment la Société du Mont-Pèlerin a essaimée en plusieurs associations et think tanks, dont le rôle essentiel fut de propager l'idéologie néolibérale dans la sphère publique afin de la faire adopter par le plus grand nombre. Noam Chomsky explique comment l'émergence des think tanks a permis de ramener vers la droite l'opinion publique qui, dans les années 60, se faisait de plus en plus contestataire. Puis, nous nous transportons vers un séminaire étudiant organisé par le Fraser Institute et l'Institut économique de Montréal où nous entendons Filip Palda qui énonce quelles doivent être les limites de l’État et Donald J. Boudreaux qui nous explique comment le capitalisme industriel a contribué à dépolluer l'environnement.
Chapitre 4 : Petit florilège libéral - Libertarianisme et théorie des choix publics
Martin Masse, développe sa vision du libertarianisme, philosophie qu'il épouse entièrement et qui met l'accent sur la liberté individuelle tout en prônant une extrême limitation des pouvoirs de l’État. Jean-Luc Migué, quant à lui, trace les grandes lignes de la théorie des choix publics qui énonce que l'adoption des politiques gouvernementales n'est pas motivée par l'intérêt collectif mais par les intérêts particuliers de différents groupes sociaux. Messieurs Masse et Migué se relaient pour dénoncer l’inefficacité de l’État et l’injustice engendrée par ses actions coercitives, tout en louant le droit de propriété privée et l’efficience du libre marché.
Chapitre 5 : Critiques
Normand Baillargeon, Noam Chomsky, Susan George, Oncle Bernard et Omar Aktouf se succèdent à l’écran pour échafauder une critique des théories libérales classiques reprises par les néolibéraux : la théorie de la main invisible d’Adam Smith, la théorie des avantages comparatifs de David Ricardo, le droit de propriété de John Locke, etc. Ils maintiennent entre autres que ces théories, élaborées aux XVIIe et XVIIIe siècles, qui trouvaient leur sens dans le contexte de l’économie de cette époque lointaine, ne peuvent plus s’appliquer à l’économie contemporaine.
Seconde partie : l’encerclement de la pensée et de la démocratie par le néolibéralisme
Chapitre 6 : Propagande et endoctrinement – l’éducation
Normand Baillargeon nous parle des dérives de l’éducation qui a délaissé son rôle de préparation à la vie civique pour se transformer en système de formation professionnelle au service des entreprises. Puis, il rappelle comment le désengagement de l’État en Amérique du Nord a permis à plusieurs entreprises d’entrer dans les écoles, sous le prétexte de fournir des émissions pédagogiques ou du matériel didactique, pour déverser leur propagande à des publics naïfs et captifs. Omar Aktouf évoque ensuite la panne de sens que traverse actuellement la société et revient sur le dévoiement de l’enseignement, maintenant axé sur le marché de l’emploi, qui fait des étudiants des serviteurs-reproducteurs du système.
Chapitre 7 : Propagande et endoctrinement – les médias
Normand Baillargeon revient sur la Commission Creel, qui est à l’origine des techniques modernes de façonnement de l’opinion publique qui parviennent à imposer une vision du monde, un vocabulaire, une manière de penser, etc. François Brune démontre comment l’idéologie dominante parvient à s’imposer comme naturelle, comme allant de soi. Ignacio Ramonet, enfin, nous explique comment les médias parviennent à créer la vérité en établissant l’équation « répétition égale démonstration ».
Chapitre 8 : Néolibéralisme ou néocolonialisme – la force d’imposition des marchés financiers
Noam Chomsky nous révèle comment les marchés financiers parviennent à constituer un « sénat virtuel » qui est à même de dicter aux différents gouvernements du monde les politiques qu’ils doivent adopter. Oncle Bernard nous décrit ensuite les dérapages des opérations hors-bilan des banques privées qui se soustraient au contrôle de l’État. Il aborde ensuite le sujet des produits financiers dérivés, relevant qu’une des caractéristiques fondamentales du capitalisme contemporain consiste à entretenir le risque pour pouvoir le marchandiser. Puis, Michel Chossudovsky nous explique de façon très visuelle comment sont menées les attaques spéculatives contre les monnaies, en prenant exemple sur le won coréen durant la crise asiatique de 1997. Il nous fait comprendre qu’avec ces attaques, les spéculateurs visent en fait à prendre possession de l’économie entière des pays assaillis.
Chapitre 9 : Néolibéralisme ou néocolonialisme – la force d’imposition des institutions de Bretton Woods ou le consensus de Washington
Omar Aktouf nous décrit six mesures parmi les plus importantes des plans d’ajustement structurel du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale : réduction des dépenses de l’État, privatisations, dévaluation de la monnaie, réorientation de l’économie nationale vers les exportations, vérité des prix, ainsi que libéralisation des investissements et vérité des salaires. Il détaille les effets concrets et néfastes de ces mesures pour les populations des pays en développement. Susan George nous explique ensuite comment l’Organisation mondiale du commerce se place au dessus de toutes les lois et de toutes les conventions internationales pour dicter sa propre loi et imposer des déréglementations économiques qui profitent avant tout aux transnationales.
Chapitre 10 : Néolibéralisme ou néocolonialisme – la force d’imposition de l’humanisme militaire ou « la guerre c’est la paix »
Michel Chossudovsky revient sur les accords de Dayton, qui ont mis fin à la guerre de Bosnie. Il rappelle qu’en annexe de ces accords, les militaires américains avaient eux-mêmes rédigé la constitution de la Bosnie-Herzégovine. Et comment cette constitution, qui n’avait aucune base citoyenne en Bosnie-Herzégovine, installait un gouvernement colonial en donnant les rênes de l’économie à des étrangers. Noam Chomsky conclut en rappelant que « l’humanisme militaire » contemporain, avec ses missions de paix et de libération qui se prétendent altruistes et humanistes, cache en fait des guerres de conquête.

Disponible chez : Marion

4Fév/11Off

Les Objecteurs de Croissance

3Fév/11Off

Nicholas Georgescu-Roegen

Nicholas Georgescu-Roegen (Constanţa, Roumanie, 4 février 1906 - Nashville, Tennessee, 30 octobre 1994) est un mathématicien et économiste hétérodoxe roumain dont les travaux ont abouti au concept de décroissance.

Biographie

Nicolae Georgescu naît à Constanţa le 4 février 1906. Sa mère, issue d'une famille modeste, enseignait la couture dans une école de commerce pour filles ; son père, officier dans l'armée, meurt quand Nicolae a sept ans. Élève brillant, il reçoit une remarquable formation en mathématiques qui lui servit pour ses futurs travaux en théorie économique. En 1926, alors étudiant à l'université de Bucarest, il s'inscrit ainsi à un séminaire sur les singularités des équations différentielles, sur l'enseignement duquel il se fondera pour l'un de ses plus importants articles, The Pure Theory of Consumer's Behaviour, publié en août 1936. A la même époque, il assiste aux conférences de Grigore Antipa, directeur du Muséum de Bucarest et fondateur de la Géonomie. Il obtient ensuite une bourse pour étudier à Paris.

Entre 1927 et 1930, il étudie à l'Institut de statistique de l'Université de Paris (ISUP) dont il sort docteur en statistique. Sa thèse, publiée dans le Journal de la Société de statistique de Paris, a pour titre Le problème de la recherche des composantes cycliques d'un phénomène. Son travail sur les phénomènes périodiques le convainc que les phénomènes sociaux ne pouvaient en aucun cas être décrits par les méthodes « mécaniques » de la statistique classique. Bien qu'il n'eût pris que deux cours d'économie à la Sorbonne, il aboutit à la conclusion que « les phénomènes économiques ne pouvaient être décrits par un système mathématique ».

Alors qu'il suit les cours de Karl Pearson au University College de Londres (1930-1932), son travail suscite l'intérêt des économistes du Harvard Economic Barometer – probablement du fait de l'intervention de Pearson lui-même. Il obtient une bourse de la fondation Rockefeller pour participer à ce projet. Arrivé à Harvard au printemps 1934, il apprend que le Harvard Economic Barometer n'existe plus. Il demande alors un entretien à Joseph Schumpeter qui travaillait à l'époque sur ses Business Cycles. Cette rencontre fortuite l'amène à rejoindre l'équipe de Schumpeter qui comptait dans ses rangs Wassily Leontief, Edgar Hoover, Frank Taussig, Oskar Lange, Fritz Machlup, Gerhard Tintner, Nicholas Kaldor et Paul Sweezy. C'est durant cette intense période intellectuelle (1935-1936) que Nicholas Georgescu-Roetgen devient économiste : il publie quatre articles qui jettent les bases de sa théorie de l'utilité et de la production.

Il enseigne à l'université de Bucarest puis à l'Université Vanderbilt, Nashville aux États-Unis (et furtivement à l'Institut universitaire d'études du développement de Genève en 1974 et à Strasbourg, 1977-1978). Outre ses fonctions d'enseignant, il a occupé de nombreux postes dans la fonction publique roumaine.

Travaux

Il a entre autres contribué, en économie, à l'introduction du concept physique d'entropie. Ses travaux ont contribué de façon significative à l'élaboration de la bioéconomie, qui ouvre un pont entre sciences économiques, sciences biologiques (loi de l'évolution, néodarwinisme). À ce titre, il fait partie du courant évolutionniste des économistes. Mais il lie aussi sciences économiques et sciences physiques (thermodynamique), ouvrant la voie à l'économie thermodynamique. Son ouvrage majeur est The Entropy law and the Economic Process paru en 1971 dans lequel il écrit :
« Le processus économique n’est qu’une extension de l’évolution biologique et, par conséquent, les problèmes les plus importants de l’économie doivent être envisagés sous cet angle »

— Nicholas Georgescu-Roegen, The Entropy law and the Economic Process
« la thermodynamique et la biologie sont les flambeaux indispensables pour éclairer le processus économique (...) la thermodynamique parce qu’elle nous démontre que les ressources naturelles s’épuisent irrévocablement, la biologie parce qu’elle nous révèle la vraie nature du processus économique »

— Nicholas Georgescu-Roegen, The Entropy law and the Economic Process

Pour ses partisans, ces théories réconcilieraient économie et écologie en réintégrant la science économique dans la pensée scientifique contemporaine de la révolution industrielle et de la découverte de l'évolution biologique. Elles apporteraient un éclairage novateur et fécond dont les implications pratiques dépassent l'économie politique. Elles mettraient en évidence l'impossibilité de résoudre les problèmes environnementaux par le seul progrès scientifique et technologique.

Jugeant l'économie libérale de la théorie néoclassique beaucoup trop mécanique, Georgescu-Roegen a mis en lumière la contradiction entre la deuxième loi de la thermodynamique, la loi de l'entropie – c'est-à-dire la dégradation inéluctable, suite à leur usage, des ressources naturelles utiles à l'humanité – et une croissance économique matérielle sans limites. Il appelait pour sa part à une décroissance pour tenir compte de la loi physique de l'entropie.

Certains critiques considèrent que mêler l'entropie au processus économique, caractérisé plutôt par des effets d'auto-organisation et d'adaptabilité, est précisément trop mécanique.

Georgescu-Roegen manifestait la conviction que la joie de vivre est la véritable finalité de l'activité économique. Toutefois, on trouve également sous sa plume cette phrase, concernant les moyens concrets de la décroissance :
« L'humanité devrait progressivement réduire sa population à un niveau qui lui permettrait de pouvoir être nourrie par la seule agriculture biologique. Bien entendu, les nations qui connaissent aujourd'hui une forte croissance démographique auront un effort difficile à fournir pour obtenir le plus rapidement possible des résultats dans cette direction. »

La formule, dépourvue de tout autre commentaire, est étrange, sinon inquiétante. Georgescu-Roegen avait une vision pessimiste de la nature humaine et de la vie en général ("L'espèce humaine est caractérisée par l'existence d'un conflit social irréductible").

Dans la préface à Analytical Economics, Paul Samuelson écrit :
« Le professeur Georgescu-Roegen est plus qu'un économiste mathématicien. Il est tout d'abord un économiste, et le premier à rejeter les prétentions du charabia symbolique. Les subtilités de la production marginale et de l'utilité originale n'échappent pas à son examen sceptique... Comme il a une formation mathématique très supérieure, il est tout à fait immunisé contre les charmes de séduction de ce sujet et est capable de conserver une attitude objective et terre à terre sur son utilisation... Je défie tout économiste informé de rester satisfait de soi après avoir médité sur cet essai. C'est donc un livre à posséder et à savourer. »

— Paul Samuelson, Analytical Economics

Pour Henri Guitton,
« Georgescu-Roegen a voulu remédier à l'absence de pont reliant la physique théorique à l'économie. Il nous confie s'être lancé seul dans cette aventure, courant un risque dont il est sûr qu'il n'est pas vain... Novateur il le demeure, et un novateur souffre toujours au départ de sa solitude. Mais peut-être que maintenant, des disciples se joindront à lui pour poursuivre son avance ? »

— Henri Guitton

Pour Jacques Grinevald :
« Apparemment isolée, l'œuvre de Nicholas Georgescu-Roegen doit se comprendre dans un vaste mouvement de rénovation intellectuelle. Il manquait une véritable anti-Economique ; elle survient et elle sera une bio-économique. Il faut d'abord prendre connaissance de la situation de notre connaissance si nous voulons faire servir la renaissance que nous réclamons. L'affaire Galilée n'est pas close, mais déjà s'ouvre l'affaire Georgescu-Roegen: l'enjeu vaut le combat et celui-ci sera non-violent ou ne sera pas. »

— Jacques Grinevald

L'économiste américain Herman Daly a écrit en 2007 que trop peu d'attention a été portée aux travaux de Georgescu-Roegen car ceux-ci étaient en avance sur leur temps.

Publications

On trouve une chronologie des publications de Georgescu-Roegen et de leur traduction dans La Décroissance (voir plus bas la référence.)

  • 1935, Fixed Coefficients of Production and the Marginal Productivity Theory, Review of Economics and Statistics, vol 3, pp 40-49
  • 1936, The Pure Theory of Consumer's Behavior, Quaterly Journal of Economics, vol 50, pp 533-539
  • 1966, Analytical economics. Issues and Problems. Cambridge, Harvard University Press. La Science économique : ses problèmes et ses difficultés, par N. Georgescu-Roegen, … Traduit par Mme F. Rostand, …Préface de P. Samuelson, … Préface de H. Guitton, … – Paris, Dunod, 1970. 23 cm, XV-300 p. (Collection du centre d’économétrie de la faculté de droit et des sciences économiques de Paris, association Cournot, dirigée par Henri Guitton.)
  • 1971, The Entropy Law and the Economic Process. Traduction du chapitre 1 en français dans La décroissance - Entropie - Écologie - Économie, éd. 2006, ch. I, p.63-84.
  • 1975. "Energy and Economic Myths", in The Southern Economic Journal, 1975, XLI, 3, p.347-381. Traduction française dans La Décroissance, éd. 2006, ch. II, p. 85-166.
  • 1977. "The Steady Sate and Ecological Salvation: A Thermodynamic Analysis", in BioScience, avril 1977, vol. 27, no4, p.266-270. Traduction française dans La Décroissance, éd. 2006, ch. II, p. 167-190.
  • 1979. Demain la décroissance. Entropie, écologie, économie. Traduction, présentation et annotation Jacques Grinevald et Ivo Rens. Lausanne, Pierre-Marcel Favre, 1979. 21 cm, 157 p. [La décroissance. Entropie, écologie, économie. 2e édition revue et augmentée. Traduit et présenté par Jacques Grinevald et Ivo Rens. Paris, Sang de la Terre, 1995. 21 cm, 220 p. ; 3e édition revue. Paris, Sang de la Terre et Ellébore, 2006. 22,5 cm, 304 p.] texte disponible en ligne
  • 1983. La Loi de l'Entropie et l'évolution économique", Congrès des Économistes de Langue française, Strasbourg, 7 juin 1983.

Bibliographie

  • Arnaud Diemer et Sylvère Labrune, « L’écologie industrielle : quand l’écosystème industriel devient un vecteur du développement durable », Développement durable et territoires [En ligne], Varia, mis en ligne le 30 août 2007. URL : http://developpementdurable.revues.org/index4121.html
  • Fabrice Dannequin et Arnaud Diemer, « L’analyse de la production chez Nicholas Georgescu-Roegen », Cahiers du GRATICE, no 17, 2e semestre 1999, p. 263-287.
  • Fabrice Dannequin et Arnaud Diemer, « De l’entropie à la constitution d’un programme bioéconomique : Le grand projet de Nicholas Georgescu-Roegen », Cahiers du CERAS, no 42, décembre 1999, p. 1-9.
  • Fabrice Dannequin et Arnaud Diemer, « La place de la biologie et de la thermodynamique dans la théorie contemporaine : l’œuvre de Nicholas Georgescu-Roegen », Colloque de l’association Charles Gide, les 26 et 27 septembre 1999, p. 1-8.
  • Fabrice Dannequin, Arnaud Diemer et Franck-Dominique Vivien, « N. Georgescu-Roegen : penseur de la production, penseur de la révolution industrielle », Colloque organisé par l’association Charles Gide, Strasbourg 6 et 7 novembre 1998, p. 1-43.
  • Grinevald, Jacques. 1974. « L’économiste Georgescu-Roegen : intégrer l’économie dans la problématique énergétique et écologique », Uni-information, no 36, juin-juillet 1974, p. 28-29.
  • Grinevald, Jacques. 1980.« La Perspective bioéconomique de Nicholas Georgescu-Roegen », Cahiers du GERMES, Paris, no 4, juin 1980, « Questions à la bioéconomie », p. 27-44.
  • Grinevald, Jacques. 1981. « Energy and Economic Myths, by Nicholas Georgescu-Roegen », Technology and Culture, no 22, 1981, p. 655-658.
  • Grinevald, Jacques. 1992. « La révolution bioéconomique de Nicholas Georgescu-Roegen : à propos de la première Conférence internationale de bioéconomie à Rome les 28-30 novembre 1991 », Stratégies énergétiques, biosphère & société, Genève, Hygiène et médecine, octobre 1992, p. 23-34.
  • Grinevald, Jacques. 1994. « Georgescu-Roegen : Bioéconomie et Biosphère », Silence, Lyon, avril 1993, no 164, p. 4-14.
  • Grinevald, Jacques. 1995. « Hommage à Nicholas Georgescu-Roegen (1906-1994) », Stratégies énergétiques, biosphère & société, Genève, Hygiène et médecine, 1995, p. 149-151.(En ligne : http://www.unige.ch/sebes/textes/1995/95JGRoegen.html)
  • Grinevald, Jacques, 2006, « Nicholas Georgescu-Roegen, dissident de l’Occident et visionnaire de la décroissance », dans La Revue Durable no 20, avril-mai-juin 2006, p. 8-13.
  • Maneschi, Andrea, Nicholas Georgescu-Roegen and the Filiation of Economic Ideas. Working Paper No. 00-W18, June 2000. Department of Economics, Vanderbilt University, Nashville, TN 37235.
  • (en) Mayumi, K. 1995. Nicholas Georgescu-Roegen (1906-1994): an admirable epistemologist. Structural Change and Economic Dynamics 6: 115-120.
  • (en) Mayumi, K. and Gowdy, J. M. (eds.) 1999. Bioeconomics and Sustainability: Essays in Honor of Nicholas Georgescu-Roegen. Cheltenham: Edward Elgar.
  • (en) Mayumi, K. 2001. The Origins of Ecological Economcs: The Bioeconomics of Georgescu-Roegen. London: Routledge.

Filmographie

  • « Hommage à Nicholas Georgescu-Roegen » avec Jacques Grinevald, un film documentaire de Vincent Liegey, réalisé par Debora Blake, Paris, juin 2008.

Vidéo

Décroissance : Hommage à Nicholas Georgescu-Roegen from Décroissance - Degrowth on Vimeo.